1986 : l'État et la Région décident de créer le Centre Dramatique Régional du Centre (C.D.R.C.) à Bourges. Gilles Bouillon en prend la direction
1990 : transfert à Tours. Il devient le Centre dramatique régional de Tours (CDRT),  installé au Théâtre Louis Jouvet (242 places) ; nécessité de louer des bureaux à une autre adresse.
2004 : après des travaux importants,  le CDRT occupe le Nouvel Olympia (l'ancien cinéma au centre ville) où il dispose d’une salle de 466 places, de bureaux et d’une salle de répétition
2014 : Jacques Vincey prend la direction du CDRT, et le nomme "Théâtre Olympia T°".

2017 : Le centre dramatique régional devient centre dramatique national.

Après deux ans de direction au Centre dramatique de Tours, à mi-mandat (2014-2017), Jacques Vincey est parvenu à fidéliser, diversifier et développer le public, avec plus de 35 000 spectateurs par an. Des actions menées toute l’année en direction des étudiants, des scolaires et des publics les plus éloignés de la culture ont notamment permis cette ouverture. Le Théâtre Olympia s’inscrit également dans la cité et sur le territoire, en développant son activité hors les murs et en renforçant les partenariats avec les acteurs culturels de la région. De plus, un travail sur la visibilité et une nouvelle identité visuelle ont permis de faire évoluer le regard sur le théâtre. Le Théâtre Olympia connaitra plusieurs temps forts en 2016.

Sur proposition de la Ministre de la Culture et de la Communication, la labellisation CDN (Centre dramatique national) est intervenue en mai 2017 : Arrêté du 5 mai 2017, paru au JORF du 11 mai (texte n°229).

L’ensemble des partenaires publics du CDRT, élus et services culturels soutenaient ce projet de labellisation.

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Rencontre avec Jacques Vincey (3 octobre 2014)

« Ceux qui m’entourent ont des démarches certainement complémentaires des miennes tout en ayant des esthétiques différentes. Mais surtout je crois que nous nous retrouvons sur une certaine éthique théâtrale.(...) Le théâtre est l’endroit de tous les possibles où l’on peut dire des choses que l’on ne pourrait jamais dire autrement (…) Mais cela suppose de travailler beaucoup pour arriver à faire résonner une pièce par rapport à ce qui nous semble juste » .

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