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  1. Cycle des Hautes Etudes de la Culture (CHEC)
  2. Actualités du CHEC
  3. Lieux de vie, vie des Lieux : lancement de la Session 2025-2026 du Cycle des Hautes Études de la Culture (CHEC)
Cycle des Hautes Etudes de la Culture (CHEC)

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Lieux de vie, vie des Lieux : lancement de la Session 2025-2026 du Cycle des Hautes Études de la Culture (CHEC)

Comment habiter et faire vivre les lieux ? Le premier module de la septième session du Cycle des Hautes Études de la Culture sur le thème « Rouvrir nos futurs », était consacré à l’aménagement culturel de l’espace urbain et rural. Il a permis aux auditeurs de se familiariser avec les acteurs et initiatives en place, et de réfléchir aux modes de collaboration entre les différents acteurs. Après une introduction stimulante au ministère de la Culture, c’est à la Saline d’Arc-et-Senans, en Franche-Comté, que se sont déroulées ces journées de réflexion et de débat.

Publié le 15 sept. 2025

  • Actualité

Les 53 auditrices et auditeurs de la nouvelle promotion du CHEC étaient réunis pour la première fois  jeudi 11 septembre au Salon des Maréchaux du Ministère de la culture pour le  lancement de la session annuelle 25-26. Les différents intervenants ont ouvert des horizons de réflexion sur la durabilité des lieux de vie, mettant à l’honneur tour à tour les rôles de la fiction, de la science-fiction, et celui de l’architecture stimulant la réflexion collective sur ce qui rendra le monde de demain vivable.

 

Photographie de Luc Allaire, Secrétaire Général du ministère de la Culture
Luc Allaire, Secrétaire Général du ministère de la Culture

Luc Allaire, Secrétaire général du Ministère, a introduit les travaux, soulignant la capacité éprouvée du CHEC à réunir une grande diversité et qualité de professionnels de la culture, créant chaque année un véritable esprit de promotion et une solidarité autour des enjeux culturels. La thématique inspirante de cette nouvelle session « Rouvrir les futurs » constitue un appel à la créativité et à l’optimisme pour construire ensemble un avenir plus juste et durable.

 

Photographie de Jean-Marie Schaeffer
Jean-Marie Schaeffer
Emma Pédurand

Créativité, optimisme : deux ingrédients indispensables pour rendre le présent vivable, comme la fiction nous l’apprend pourvu que nous l’invitions dans notre quotidien. Le philosophe Jean-Marie Schaeffer, directeur d’études à l’EHESS, directeur de recherche émérite au CNRS et auteur de Pourquoi la fiction ?, a offert aux auditeurs une intervention forte sur la puissance de la fiction. Il a abordé d’abord le sujet sous un angle historique, partant de l’exemple tragique de la bibliothécaire d’Auschwitz, montrant combien la puissance de la fiction était un recours salvateur pour rendre la vie vivable dans des conditions de désespoir extrême. Bien que la puissance de la fiction ne soit pas une toute-puissance, son importance ne doit pas être diminuée par peur d’éloignement de la réalité ou d’invraisemblance. Les futurs qu’ouvre la fiction, quoiqu’en grande partie improbables, relèvent de l’intérêt public en ce qu’ils ordonnent notre vision du monde et permettent de remettre en question ce que nous prenons au présent pour des données fixes. La fascination pour la fiction est d’ailleurs pour Jean-Marie Schaeffer un invariant anthropologique. Remontant aux philosophes grecs, il a rappelé que la fiction avait toujours tenu une place centrale dans la cité et que la fonction d’imitation correspondait depuis toujours à un besoin fondamental des humains comme des animaux, et pourrait être mobilisée en meilleure part dans l’élaboration des politiques publiques. L’utopie satisfait tout aussi bien l’exigence de liberté que porte la fiction que la dystopie, qui peut fonctionner comme avertissement : de quoi inspirer durablement cette session du CHEC.

Natacha Vas-Deyres
Emma Pédurand

Natacha Vas-Deyres, conférencière et essayiste, présidente du festival Hypermondes consacré aux mondes de l’imaginaire, a ensuite donné une conférence sur la science-fiction, l’utopie et l’anticipation. Présentant une chronologie personnelle d’œuvres de science-fiction inspirantes, elle a mis en perspective la longueur d’avance de ce champ de la création sur l’évolution de nos imaginaires. En effet, lieu de questionnement des libertés humaines et de projection dans d’autres formes de vie possibles, la science-fiction se nourrit toujours de discours scientifiques, ce qui crédibilise les devenirs possibles de la nature qu’elle met en récit. Se projetant souvent dans un avenir relativement proche, la science-fiction nous permet d’anticiper des évènements tels que des catastrophes naturelles, des pandémies ou des révolutions, ainsi que les résistances de l’ordre établi. À cet égard, Mme Vas-Deyres  a souligné l’intérêt disruptif des fictions écrites par des femmes, qui marquent un rejet des apocalypses pensées par les hommes et promeuvent la reconstruction de notre lien à la nature. La conférence s’est clôturée sur les mouvements esthétiques et culturels actuels que sont le Solarpunk et le Hopepunk dans la science-fiction portant attention aux façons dont la nature pourra être réintroduite dans les villes, en pensant par exemple des maisons autonomes, écologiques et recyclables (le Solarpunk architectural de Luc Shuitten) privilégiant des visions optimistes de l’avenir autour du thème de la cité désirable. La science-fiction serait donc bien le réalisme de notre époque comme le pense l’auteur américain Kim Stanley Robinson (Le ministère du futur). L’enjeu est désormais de produire des co-récits avec les acteurs territoriaux, de la culture et de la recherche afin de renouveler la réputation de cette littérature et encourager les politiques à s’emparer des outils qu’elle propose.

Madame la Ministre Rachida Dati
Cédric Bufkens/MC/SIPA PRESS

Cette matinée riche en échanges intellectuels a été clôturée par Mme Rachida Dati, ministre de la Culture. Elle a insisté sur l’articulation nécessaire entre politiques culturelles et politiques éducatives : la culture ne peut pas se faire sans l’ouverture aux autres, qui passe par une place accrue de l’éducation artistique dans les cursus scolaires. Là où il y a de la culture, il y a moins de décrochage scolaire et moins d’absentéisme. La culture ouvre des horizons aux jeunes. En ce sens, elle œuvre en faveur de la réduction des inégalités.

Nicola Delon et Benoit Bonnemaison-Fitte en conférence dessinée, l'Asymétrie des Baratins
Emma Pédurand

La journée s’est poursuivie avec la conférence dessinée imaginée par Nicola Delon (agence Encore Heureux) et Benoît Bonnemaison-Fitte, plaidant avec puissance, humour et lucidité la nécessité de changer de paradigme architectural pour penser le recyclage et la réutilisation de l’existant, favorisant un habitat en harmonie avec le vivant et conscient des limites des ressources matérielles et humaines.  

Les auditeurs du CHEC en visite dans la Saline d'Arc-et-Senans
Les auditeurs du CHEC en visite dans la Saline d'Arc-et-Senans
Emma Pédurand

 

Le groupe a ensuite pris la direction de la Saline d’Arc-et-Senans où il s’est installé pour deux journées de rencontres et visites inspirantes consacrées à la réflexion sur nos lieux de vie et la vie des lieux culturels.

 

 

 

 

Jean-Philippe Lefebvre, président de la FNCC
Jean-Philippe Lefebvre, président de la FNCC
Manuel Bamberger

 

Dînant le soir sur le site, les auditeurs ont pu avoir un échange de vues avec Jean-Philippe Lefebvre, venu  rencontrer les auditeurs de cette nouvelle session et expliciter le positionnement des élus et présenter le rôle de la FNCC.

 

 

 

 

Hubert Tassy, directeur de la Saline royale d'Arc-et-Senans

Vendredi 12 au matin, Hubert Tassy, directeur de la Saline royale d’Arc-et-Senans, a présenté une histoire de ce lieu construit entre 1771 et 1775 sur les plans de l’architecte Claude-Nicolas Ledoux. Architecte éclectique et prolifique, Claude-Nicolas Ledoux espérait propager par son art des idées philosophiques universalistes proches de celles des Lumières. Plus qu’un lieu de labeur et d’exploitation du sel, la Saline était conçue par Ledoux comme une ville où il ferait bon vivre pour les ouvriers. Un canal permettait l’acheminement des produits jusqu’à la Saline. L’architecture du lieu n’est pas sans rappeler le projet de cité idéale que Ledoux avait imaginé deux ans plus tôt pour la ville de Chaux. La Saline dut fermer ses portes en 1895 : l’arrivée du chemin de fer amena le sel de mer dans les villes, moins cher et de meilleure qualité que le sel d’Arc-et-Senans. La Saline abandonnée connut une seconde vie au cours de la seconde partie du XXe siècle grâce à Serge Antoine, qui créa en son sein des Cercles de rencontres visant à repenser l’avenir des monuments publics.

La réunion du club de Rome sur le site, puis la déclaration d’Arc-et-Senans par Edgar Morin en 1982 (« Le futur a déjà commencé »), ont participé à faire revivre ce site remarquable, désormais inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. L’enjeu est, pour Hubert Tassy, de bâtir de fortes synergies régionales et de procurer à ce haut lieu patrimonial une valeur d’accueil pour les artistes comme pour les visiteurs. Grâce à des évènements tout au long de l’année – spectacles, marchés, expositions immersives, concerts et masterclasses internationales – mais aussi grâce à l’hôtellerie (il s’agit du seul site de l’Unesco à abriter un hôtel en son sein), la Saline a progressivement construit un modèle de lieu culturel hybride et novateur. Un site qui incarne les compromis nécessaires au fonctionnement d’un nombre croissant d’institutions culturelles aujourd’hui.

Aymée Rogé et Pascale Cuq
Aymée Rogé et Pascale Cuq
Emma Pédurand

Par la suite, Aymée Rogé, directrice régionale des affaires culturelles de Bourgogne Franche-Comté, et Pascale Cuq, directrice générale adjointe du département du Doubs, ont présenté de façon concrète la coopération entre l’Etat et les collectivités territoriales.  Mme Cuq a soulevé les défis auxquels faisaient face les lieux culturels du département, notamment le besoin de trouver un équilibre entre les différentes attentes des publics et entre activités culturelles et loisirs. Il s’agit aussi  d’ouvrir les lieux culturels à de nouvelles formes d’animation afin de renforcer l’économie de ces lieux, tout en les ouvrant au dialogue avec les territoires. Aymée Rogé, directrice  régionale des affaires culturelles a illustré concrètement les collaborations avec le département du Doubs, dans ce domaine de compétence partagé qu’est  la culture. Elle a ainsi cité certains dispositifs existants qui soutiennent cette collaboration : le soutien marqué aux musées ruraux, la contractualisation de l’EAC, le dialogue avec les représentants d’associations et d’acteurs locaux ou encore le dispositif spécial pour les arts visuels qui permet de lutter contre l’isolement des professionnels des arts visuels. Avec 55% d’habitants en milieu rural, la Franche Comté est la région la plus rurale de France. La collaboration entre l’Etat et la collectivité y est efficace, la culture faisant l’objet d’un consensus politique par-delà la diversité des acteurs. Madame Cuq a souligné plusieurs outils qui permettraient d’améliorer cette collaboration, comme une meilleure mise en relation des acteurs, dont le nombre et l’éloignement favorisent la méconnaissance mutuelle, et la clarification des problèmes à l’égard des usagers, qui doivent pouvoir comprendre les dispositifs afin de prendre pleinement part au débat.

Cet échange a permis à l’ensemble des auditeurs de prendre la mesure des enjeux de la coopération culturelle à l’échelle d’un territoire.

Elizabeth Pelegrin-Genel et Dom Palatchi
Emma Pédurand

L’après-midi du vendredi a donné l’occasion au groupe de réfléchir à l’aménagement urbain du futur, en commençant par une conférence inspirante sur la construction de villes vivables, menée par Mesdames Elizabeth Pelegrin-Genel, architecte urbaniste et psychologue du travail, et Dom Palatchi, architecte d’intérieur et présidente de la revue d’architecture Archinov.

Présentant avec clarté les aspirations contemporaines des usagers des villes, en s’appuyant sur de nombreuses études récentes, Elizabeth Pelegrin-Genel a montré qu’il était désormais question de réhabiliter les bâtiments existants, de trouver de nouveaux usages et de partager l’habitat : la stabilité du paysage est une priorité pour les français. Plutôt que de détruire et reconstruire, l’urbanisme doit donc s’atteler à inventer des façons de mieux occuper l’espace, par exemple en investissant les écoles en dehors des journées de classe, puisque ces bâtiments ne sont occupés que 30% du temps de l’année. L’architecte invite à s’appuyer sur la prospective afin d’arriver à une vision culturellement partagée, ambitieuse, à long terme. Dom Palatchi a prolongé ces réflexions en présentant les coopératives entre habitants urbains, à l’image d’Utop et Habicoop, autant d’initiatives pour nous aider à repenser nos façons d’habiter.

Comment rendre les villes et espaces ruraux habitables ? Ce fil rouge a continué d’infuser les ateliers qui ont suivi. Les auditeurs ont travaillé par petits groupes Avant de restituer leur réflexion à l’ensemble  du collectif.

  • avec Pascal Le Brun-Cordier, professeur associé à l’école des arts de la Sorbonne et auditeur, approche de l’urbanisme culturel, mouvement né il y a quelques années visant l’encapacitation de toutes les parties prenantes pour passer des villes fonctionnelles à des villes plus inclusives. Il s’agit de trouver des moyens de traduire le langage des œuvres dans l’espace public.
  • avec Chloé Bodart, architecte urbaniste et auditrice, appréhension d’une méthode en sept étapes pour permettre la transparence et le dialogue démocratique autour d’un projet architectural de sa conception à sa réalisation.
  • avec Lucie Garzon, paysagiste-concepteur pour l’agence d’architectes Ejo coopérative, exploration de démarches visant à aménager l’espace rural avec l’aide des habitants, en leur faisant confiance pour guider la réhabilitation des terrains et des espaces, adaptant ces derniers aux usages et non l’inverse. Le travail de l’architecte n’étant pas une évidence en milieu rural, il s’agit de trouver des façons d’en communiquer la valeur, tout en se montrant volontaire pour (re)valoriser l’architecture existante et promouvoir la préservation des savoir-faire locaux.
  • avec Camille Offret, responsable d’études chez Plateau Urbain, étude de projets d’installations temporaires pouvant concourir à la reconversion du patrimoine. Les projets sont porteurs d’un urbanisme de transition ayant la vertu de promouvoir efficacement le patrimoine en le redynamisant.
  • avec Stéphane Aubertin, conseiller architecture et patrimoine de la DRAC Bourgogne Franche-Comté, atelier sur les besoins de réaménagement de l’espace public afin de le rendre plus inclusif et cohérent avec la diversité des usagers d’un même lieu. 
Photographie de groupe des auditeurs du CHEC dans les jardins de la Saline
Les auditeurs du CHEC dans les jardins de la Saline
Emma Pédurand

Le dernier jour du module a été celui de la découverte par les auditeurs de leur groupe de travail pour l’année, et l’occasion d’une première séance de travail en groupe. Le module s’est terminé par la visite guidée des jardins de la Saline (Un Cercle Immense, inspiré des travaux de Gilles Clément) porteurs d’un projet collaboratif inspirant et d’une approche douce de l’aménagement du paysage, respectueuse des propriétés du terrain et revalorisant certaines plantes autrefois considérées comme de mauvaises herbes.

 

 

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