• Contenu
  • Menu
  • Recherche
  • Pied de page

Ministère
de la culture

Menu

  • Retour

    Actualités

    Voir tout
    • À la Une
    • Dossiers
  • Retour

    Nous connaître

    Voir tout
    • Rachida Dati, ministre de la Culture
    • Découvrir le ministère

      Voir tout
      • Organisation du ministère
      • Histoire du ministère
      • Événements nationaux
      • Protections, labels et appellations
      • Le budget du ministère de la Culture
    • Emploi et formation

      Voir tout
      • Emploi - Apprentissage
      • Concours et examens professionnels
      • Le répertoire des métiers
      • Les agents témoignent
      • Service civique
      • Formations professionnelles
  • Aides & démarches
  • Retour

    Documentation

    Voir tout
    • Rechercher une publication
    • Statistiques ministérielles de la Culture
    • Bases de données
    • Sites internet et multimédias
    • Répertoire des ressources documentaires
  • Événements nationaux
  • Régions

    • Drac Auvergne - Rhône-Alpes
    • Drac Centre-Val de Loire
    • Dac Guadeloupe
    • DRAC Île-de-France
    • Drac Normandie
    • Drac Occitanie
    • Mission aux affaires culturelles de Polynésie Française
    • Drac Bourgogne-Franche-Comté
    • Drac Corse
    • DCJS Guyane
    • DAC Martinique
    • DRAC Nouvelle-Aquitaine
    • Dac de La Réunion
    • Drac Provence-Alpes-Côte d'Azur
    • Drac Bretagne
    • Drac Grand Est
    • Drac Hauts-de-France
    • DAC Mayotte
    • Mission aux affaires culturelles de Nouvelle-Calédonie
    • Drac Pays de la Loire
    • Mission aux Affaires Culturelles de Saint-Pierre-et-Miquelon
  • Secteurs & métiers

    • Archéologie
    • Architecture
    • Archives
    • Arts plastiques
    • Audiovisuel
    • Cinéma
    • Danse
    • Design
    • Industries culturelles et créatives
    • Livre et lecture
    • Métiers d'art
    • Mode
    • Monuments & Sites
    • Musées
    • Musique
    • Photographie
    • Presse écrite
    • Théâtre, spectacles

    Politiques publiques

    • Circulation des biens culturels
    • Conservation-restauration
    • Culture et territoires
    • Développement culturel
    • Education artistique et culturelle
    • Éducation aux médias et à l'information
    • Egalité et diversité
    • Enseignement supérieur et Recherche
    • Ethnologie de la France
    • Europe et international
    • Innovation numérique
    • Inventaire général du patrimoine
    • Langue française et langues de France
    • Mécénat
    • Patrimoine culturel immatériel
    • Sciences du patrimoine
    • Sécurité - Sûreté
    • Transition écologique
  1. Industries culturelles et créatives
  2. Dossiers thématiques
  3. Le « spam »
  4. Le cadre juridique : Législation de l’Italie en matière de spam
Industries culturelles et créatives

Menu

  • Retour

    Les industries culturelles et créatives en France

    • Stratégie d'accélération des Industries culturelles et créatives
    • Etats Généraux des industries culturelles et créatives
    • Les actions en faveur de la découvrabilité des contenus culturels francophones
  • Retour

    Pour les professionnels

    • Dossiers thématiques
    • Laboratoires et incubateurs de la Culture
    • Rapports et études
    • Appels à projets
  • Actualités des industries culturelles et créatives

Le « spam » (10/13)

En juillet 2003, le gouvernement a adopté, à l’occasion du Comité interministériel pour la société de l’information, une série de mesures visant à lutter contre le spam, dont la mise en œuvre a été confiée à la DDM. Un groupe de contact rassemblant les principaux acteurs de l’Internet, publics et privés, a notamment été mis en place. Les travaux de ce groupe de contact ont permis de concevoir une solution concrète : une plate-forme nationale de signalement automatique des spams.

Publié le 4 avr. 2007

  • Dossier

Sommaire

  1. Le cadre juridique : La législation de l’Allemagne en matière de "spam"
  2. Le cadre juridique La législation des Etats-Unis en matière de "spam"
  3. Les actions menées pour lutter contre le "spam" : Les « boîtes à spam »
  4. Les actions menées pour lutter contre le "spam" : Le Gouvernement français s’engage dans la lutte contre le « spam »
  5. Introduction
  6. Comment ça marche ? Comment se protéger ?
  7. Deux approches de la réglementation du « spam » : « opt-in » et « opt-out »
  8. Pour en savoir plus : études et rapports sur le "spam"
  9. Pour en savoir plus : liens
  10. Le cadre juridique : Législation de l’Italie en matière de spam
  11. Le cadre juridique : Législation de la Lituanie en matière de spam
  12. Le cadre juridique : La législation française en matière de "spam"
  13. Le cadre juridique : La législation du Royaume-Uni en matière de "spam"

10.Le cadre juridique : Législation de l’Italie en matière de spam

1) Fondements juridiques de la lutte contre le spam :

 

Définitions du spam

On assiste en Italie à une extension de la définition du spam du point de vue du support de communication (fax, mail, sms, ou mms) et du contenu du message (propagande, liens vers des sites payants ou pornographiques, communications politiques).

  •  Du point de vue du support de communication :
     L’article 130 du Code pour la protection des données personnelles prévoit en son alinéa 1 que "l’envoi par des systèmes automatiques et sans accord préalable du destinataire de matériel publicitaire, de vente directe ou visant à conduire une étude de marché" est illégal. L’alinéa 2 précise que cette disposition s’applique également "aux communications électroniques par poste électronique, fax, messages de type mms, sms ou d’un autre type".
     
  •  Du point de vue du contenu :
     Si la définition "classique" du spam ("unsollicited commercial mails") consiste en l’envoi systématique de mails non sollicités à caractère commercial ou publicitaire, l’AGPDP plaide pour une définition plus large. Le critère déterminant serait alors l’absence de consentement préalable du destinataire indépendamment du type de support et de contenu.

Loi applicable au spam

L’Italie renforce son dispositif de sanction contre les spammeurs.

  •  Le Code pour la protection des données personnelles en vigueur depuis le 1er janvier 2004 (mettant en œuvre le décret-loi n°196 du 30 juin 2003 qui transposait la directive européenne 2002/58 sur la vie privée et les communications électroniques) précise la définition du spam (cf. ci-dessus).
     
     Ce texte abroge les deux lois antérieures en matière de protection de la vie privée : la loi de 1996 et le décret-loi du 13 mai 1998 transposant la directive 97/66/EC sur la protection des données personnelles.
     
     Le système d’opt-in est retenu en Italie, sauf pour les communications suivant un contrat commercial (opt-out) : une entreprise est autorisée à procéder à l’envoi d’un message non sollicité si elle propose des services ou des produits analogues à l’objet du contrat dès lors qu’elle précise les modalités d’opposition à tout mail ultérieur.
     
     Le décret-loi n°196 de 2003 prévoit la rédaction d’un code de déontologie des pratiques sur internet.
  •  Des lois sur le commerce électronique sont aussi applicables au spam :
    • L’article 10 du décret-loi du 22 mai 1999 (transposant la directive de 1997sur la protection des consommateurs dans le respect des contrats à distance) dispose que l’utilisation par un fournisseur de certains moyens de communication à distance (incluant le mail) nécessite le consentement préalable du consommateur. Ce texte s’applique aux contrats à distance concernant la fourniture de biens ou de services.
    • Le non-respect de ces dispositions est puni d’une amende administrative pouvant aller de 2582 à 5164 euros. Ces amendes peuvent être doublées en cas d’infraction importante ou répétée. La police administrative dispose de l’autorité et des pouvoirs légaux de prononcer et faire appliquer les amendes, sur saisine d’office ou sur plainte.
       
    •  L’article 9 du décret-loi du 9 avril 2003 (transposant la directive de 2000 sur le commerce électronique) dispose que les communications commerciales non sollicitées par mail doivent être clairement et distinctement identifiées. Elles doivent de plus contenir une mention que le destinataire peut s’opposer à l’envoi de communications futures. La charge de la preuve du caractère sollicité des communications pèse ex lege sur l’expéditeur.
    • Le non-respect de ces dispositions est puni d’une amende administrative d’un montant pouvant aller jusqu’à 10 000 euros. La police administrative dispose de l’autorité et des pouvoirs légaux de prononcer et faire appliquer les amendes, sur saisine d’office ou sur plainte.
       
  •  Autres textes applicables :
     
     
    •  L’article 2043 du code civil italien, pour tout acte volontaire ou non qui cause une perte injuste, permet à la personne qui a subi cette perte d’obtenir la réparation du dommage par son auteur. Mais la victime doit prouver non seulement la perte et le lien de causalité mais aussi le comportement négligeant ou volontairement dommageable de l’auteur.
    •  Le droit des contrats permet en cas de non-respect des conditions générales des contrats conclus avec les fournisseurs d’accès à internet d’interrompre le contrat.
    •  Par ailleurs, une réforme de la loi sur la protection de la vie privée est en court. Elle soumettrait les entreprises à l’obligation de respecter certains critères minimaux de sécurisation de leurs systèmes informatiques.

Efforts de coopération internationale

L’AGPDP a mis en place un département international qui développe ses efforts dans plusieurs directions comme le renforcement des relations bilatérales avec les pays tiers pour favoriser le partage d’informations, et une présence marquée auprès de la Commission européenne.

L’Italie est par ailleurs membre de l’Internet Society et participe au SMSI (sommet mondial de la société de l’information) organisé par l’Union internationale des télécommunications.

2) Autorité indépendante

Il n’existe pas en Italie d’autorité administrative spécifiquement en charge du spam. Cependant, différents organismes jouent un rôle dans la lutte contre le spam :

  •  l’Autorité garante pour la protection des données personnelles, qui vise à réguler les activités susceptibles de constituer une atteinte à la vie privée, joue un rôle croissant dans la lutte contre le spam ;
  •  la Police des postes et des communications, dépendant du Ministère de l’Intérieur, contrôle les activités en réseaux ;
  •  l’Osservatorio sulla Criminalità informatica (OCIT) qui a été institué par le Forum sur les technologies de l’information, sur toutes les activités illégales sur internet en collaboration avec l’université Bocconi ;
  •  le Comité national pour l’informatique dans l’administration publique (CNIPA) exerce des fonctions de conseil auprès du gouvernement notamment pour la sécurisation des réseaux.
     Les associations de consommateurs ou d’usagers des réseaux informatiques sont aussi de plus en plus présents.

Partager la page

  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur Linkedin
  • Partager sur Instagram

Abonnez-vous à notre lettre d’information

Vous décidez des envois que vous voulez recevoir… Ou arrêter. Votre adresse email ne sera bien sûr jamais partagée ou revendue à des tiers.

S'abonner

Suivez-nous
sur les réseaux sociaux

  • x
  • linkedin
  • facebook
  • instagram
  • youtube

  • Stratégie d'accélération des Industries culturelles et créatives
  • Etats Généraux des industries culturelles et créatives
  • Les actions en faveur de la découvrabilité des contenus culturels francophones

  • Dossiers thématiques
  • Laboratoires et incubateurs de la Culture
  • Rapports et études
  • Appels à projets

Ministère
de la culture

  • legifrance.gouv.fr
  • info.gouv.fr
  • service-public.fr
  • data.gouv.fr
  • Contact
  • Mentions légales
  • Accessibilité : partiellement conforme
  • Politique générale de protection des données
  • Politique d’utilisation des témoins de connexion (cookies)
  • Plan du site

Sauf mention contraire, tous les contenus de ce site sont sous licence etalab-2.0