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Que représente le court métrage pour vous ?

Que représente pour vous, d'un point de vue artistique, professionnel et personnel, le court métrage ? C’est la question que nous avons posé à quatre des talents les plus prometteurs sélectionnés par la Fête du court métrage.

Publié le 13 mars 2023

  • Actualité
  • France métropolitaine
  • Cinéma
  • Tous publics
Lise Akoka et Romane Guéret, « Chasse royale » (2016) © Les Films Velvet

Ils sont, avec dix autres jeunes professionnels, les visages et les ambassadeurs de cette édition 2023 de la Fête du court métrage, dont ils vont accompagner, partout en France, les projections.

Comédienne, compositeur, directrice de la photo et réalisateur, chacun d'entre eux parle avec passion - et professionnalisme - d'un format qui a la vie devant soi : le court métrage.

Coralie Russier, comédienne : « Des partitions fortes à défendre »

© François Berthier

Comédienne confirmée – on l’a vue récemment dans 120 battements par minute de Robin Campillo, Mandibules de Quentin Dupieux ou encore Le bal des folles de Mélanie Laurent – Coralie Russier n’entretient pas aujourd’hui avec le court métrage le même rapport qu’au début de sa carrière. « Au départ, dit-elle, le court métrage représentait une porte d’entrée pour commencer le cinéma, un lieu d’apprentissage ainsi qu’un vivier de rencontres. Les amitiés qui se nouent durent tout au long de notre parcours ». Aujourd’hui, alors que l’opportunité de tourner dans un long métrage, plus rare en comparaison, se traduit souvent par une présence moindre à l’écran, le court métrage permet à la comédienne « de porter de beaux personnages, avec des partitions fortes à défendre, d’explorer sa palette de jeu ».

C’est exactement le cas du personnage qu’elle interprète dans Hors-jeu de Sophie Martin, qui fait partie de la programmation de cette édition de la Fête du court métrage. « C’est un personnage intense et haut en émotion. On prend cette femme au milieu de sa galère puis, au fur et à mesure, quelque chose se pose chez elle. On voit un apaisement dans son rapport au monde et à son enfant. Comme le tournage n’a duré que quatre jours, je devais veiller en permanence à ne pas tomber dans le mélodrame ou le cliché ». On entend le plaisir dans la voix de la comédienne, qui n’aime rien tant que « les ambiances de tournage des court métrages ».

Pierre Oberkampf, compositeur : « Un laboratoire des possibilités musicales »

© Clemo

Compositeur de la bande originale de deux films de la programmation de la Fête du court métrage, A cœur perdu de Sarah Saidan et Noir-Soleil de Marie Larrivé, mais aussi de nombreux autres court métrages, le goût de Pierre Oberkampf pour ce format ne fait pas l’ombre d’un doute. « J’adore le court métrage », lance comme un cri du cœur celui qui souvent se désole qu’on ne qualifie le court métrage que par rapport au long métrage. « C’est un format unique, un peu comme la nouvelle en littérature, un laboratoire pour tester des possibilités musicales pour l’image et un champ d’exploration à l’abri de la pression des producteurs. J’ai à chaque fois l’impression de me réinventer ». Un champ d’exploration qui, en définitive, offre au film « une voix de narration complémentaire qui étend le champ de compréhension ».

Comment parlerait-il des voix d’A cœur perdu et de Noir-soleil ? « A cœur perdu est un film qui sous des apparences légères cache quelque chose de plus mélancolique, j’ai essayé d’adopter ce ton musicalement ». Quant à Noir-Soleil dont il a co-composé la musique avec Maël Oudin, il se trouve qu’il en a aussi fait tout le montage son, façon en creux de reconnaître que la musique consiste parfois « à seulement s’immiscer dans le film, à créer une atmosphère ». Pierre Oberkampf qui prépare aujourd’hui la bande sonore de plusieurs films – courts et longs métrages – confie tout faire, quand il s’agit d’un long métrage, pour « garder la fraîcheur créatrice du court métrage ». C’est dire !

Julia Mingo, directrice de la photo : « Une école de liberté »

© Ariane Vergallo

Julia Mingo, directrice de la photo, mais aussi monteuse et étalonneuse, a tout lieu d’être heureuse : Sam la fugue de Vincent Tricon, le court métrage dont elle signe la photo, qui est présenté lors de cette édition de la Fête du court métrage, concourrait lors de la dernière cérémonie des Césars pour le prix du meilleur court métrage de fiction, et Retour à Reims de Jean-Gabriel Périot auquel elle a participé, en lice quant à lui dans la catégorie meilleur film documentaire, a tout simplement obtenu le prix. Pour chacun de ses métiers, la jeune professionnelle considère le court métrage comme « une école ». Le plus formateur, ajoute-t-elle, « c’est la liberté, l’absence de pression commerciale ». Celle qui au départ faisait des courts métrages qui lui permettaient « d’avoir davantage confiance en elle », considère aujourd’hui ce format comme un vrai terrain de jeu.

Illustration avec Sam la fugue. « Avec le réalisateur, dit-elle, nous voulions être libres de suivre le comédien, le personnage était notre moteur. Le tournage avait lieu la nuit, l’équipe était légère, j’utilisais une caméra sensible, il y avait dès le départ cette acceptation que tout ne soit pas bien vu ». Quant à Retour à Reims, si le réalisateur n’a, en définitive, conservé de son travail que des plans de la ville, Julia Mingo n’en prend pas ombrage, elle est heureuse d’avoir fait partie de l’aventure. Pour l’heure, elle est sur les starting-blocks : elle est la directrice de la photo du prochain court métrage de Lucie Plumet, réalisatrice en 2022 de Donovan s’évade, dont le tournage est imminent : « On est prêt, tout reste à faire ! »

Ilias El Faris, réalisateur : « Faire connaissance avec soi-même »

Les trois films, dont Sukar qui fait partie de la sélection de cette édition de la Fête du cinéma, qu'Ilias El Faris a réalisés, ont tous été primés. Mais le jeune réalisateur, trop modeste pour y reconnaître la part de son talent, préfère y voir des raisons plus prosaïques : « En termes de possibles, l’échelle du court métrage est plus abordable que celle du long métrage ». Mais, ajoute-t-il bientôt, le court métrage, est aussi une « façon de faire connaissance avec soi-même ». Ainsi, pour son premier film Azayz récompensé du prix du jury au Doclisboa 2016 [festival du documentaire de Lisbonne NDLR], tourné avec une simple caméra Super 8, il a eu la possibilité « de faire les choses de façon artisanale et spontanée ». Le défi est toujours de « trouver de la justesse », assure-t-il, en ajoutant que « le court métrage permet de saisir plus facilement ce désir qui surgit dans notre vie ».

De désir, il est justement question dans Sukar : « On suit une galerie de personnages pendant une journée sur la plage de Casablanca avec au centre un couple d’adolescents : ils se désirent, voudraient exprimer ce désir, mais se sentent observés, on reste dans un pays qui interdit les baisers en public. ». Le réalisateur travaille actuellement sur un projet de long métrage qui s’inspire du contexte d’Azayz. Nul doute que son désir de court métrage aiguise celui qu’il a aujourd’hui pour le long métrage.

Fête du court métrage : qui sont les talents prometteurs en 2023 ?

La Fête du court métrage, c’est aussi une formidable pépinière pour les talents du cinéma de demain, qu’ils soient réalisateurs, scénaristes, comédiens, directeurs de la photo ou compositeurs de musiques de films. A noter, cette année, l’apparition des talents étrangers, signe du virage international de la fête. Qui sont les 14 talents 2023 ?

Ilia El Faris, réalisateur
Marie Larrivé, réalisatrice
Tristan Thil, réalisateur
Julia Mingo, directrice de la photo
Valentine Cadic, réalisatrice
Coralie Russier, comédienne
Sarah Saidan, réalisatrice
Valéry Carnoy, réalisateur
Idir Azougli, comédien
Pierre Oberkampf, compositeur
Vincent Tricon, réalisateur
Geordy Couturiau, réalisateur
Aurélie Reinhorn, réalisatrice

 

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