Dossier
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Grands documents de l'histoire de France ; Armoire de fer
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N° notice
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AF-02190
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Série
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AE/I : Armoire de fer ; Carton n° 4 : Autographes.
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Cote
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AE/I/2/36
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Analyse
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Lettre signée d'Armand, comte Guilleminot, pair de France, au baron Pasquier, président de la Chambre des Pairs lui adressant son serment de fidélité à la Monarchie de Juillet, écrite à Constantinople, le 4 octobre 1830. Tampon des "Archives nationales".
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Dates document
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1830/10/04
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Accès
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original non accessible (conservé en réserve du musée)
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Reproduction
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tirage photographique; fichier numérique
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Support
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papier
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Taille
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32 x 20 cm
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Technique
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manuscrit;encre
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Type de document
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document écrit ; lettre
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Noms de personnes
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Guilleminot, Armand-Charles (1774-1840) (Comte) (lieutenant général) ; Pasquier, Étienne-Denis (1767-1862) (pair de France) ; Louis-Philippe Ier (1773-1850) (roi des Français) ; Chambre des pairs
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Noms de lieux
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Constantinople (Turquie) -- XIXe siècle ; Constantinople (empire d'Orient) -- XIXe siècle ; Turquie -- XIXe siècle ; France -- XIXe siècle ; France
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Mots clés
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France ; France -- XIXe siècle ; règne de Louis Philippe (1830-1848) ; Bourbons ; chambre des pairs ; chancelier de France ; serment ; fidélité ; gouvernement ; famille ; loi constitutionnelle ; ambassadeur ; charte constitutionnelle de 1830
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Notes
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Armand-Charles Guilleminot est ambassadeur de France à Constantinople. De par sa fonction, l'ancien militaire ne peut se rendre à Paris pour prêter serment à la Chambre des Pairs. Il accuse réception d'une "formule de serment". Comme ses collègues, le duc de Bellune (cf. AE/I/2/34) et celui de Clermont-Tonnerre (cf. AE/I/2/35), le comte Guilleminot prête donc serment par écrit au "roi des français" Louis-Philippe Ier, installé au pouvoir suite à une "heureuse révolution". Il jure également obéissance à la "charte constitutionnelle" modifiée par les chambres et "aux lois du Royaume". D'ailleurs, cette nouvelle charte constitutionnelle d'août 1830 reconnaît l'exercice collectif de la puissance législative entre le roi, la chambre des pairs et la chambre des députés. La lettre est adressée au Baron Pasquier, chancelier de France et président de la Chambre des Pairs.
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