Dossier
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Grands documents de l'histoire de France ; Armoire de fer
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N° notice
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AF-02112
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Série
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AE/I : Armoire de fer ; Carton n° 2 : Traités, pièces orientales.
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Cote
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AE/I/1/17/3
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Cote origine
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AE/III/46/3
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Analyse
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"Acte de ratification du traité de paix conclu à Basle entre les plénipotentiaires de sa Majesté le Roi de Prusse et de la République françoise, le 5 avril 1795". Document en français signé par Frédéric-Guillaume II de Prusse, à Berlin, le 15 avril 1795. La reliure (non visible) est en velours rose et or; la boite du sceau est en argent doré.
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Dates document
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1795/04/05 -- 1795/04/15
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Accès
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original non accessible (conservé en réserve du musée)
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Reproduction
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tirage photographique; fichier numérique
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Support
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parchemin ; tissu ; argent
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Taille
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35 x 26 x 0,5 cm
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Technique
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manuscrit; encre
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Type de document
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document écrit ; traité de paix ; document de décision de la puissance publique ; traité ; traité de Bâle ; ratification ; acte royal
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Noms de personnes
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Convention nationale (1792-1795) ; Frédéric-Guillaume II (1744-1797) (roi de Prusse) ; Barthélemy, François (1747-1830) (ambassadeur de France en Suisse) ; Hardenberg, Karl August von (1750-1822) (ministre plénipotentiaire du roi de Prusse)
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Noms de lieux
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Suisse -- XVIIIe siècle ; Bâle (Suisse) ; France-- XVIIIe siècle ; Allemagne -- XVIIIe siècle ; Prusse -- XVIIIe siècle ; Berlin ; Rhin (Suisse/France - fleuve)
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Mots clés
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XVIIIe siècle ; Prusse ; Révolution française ; Convention nationale (1792-1795) ; relations entre la France et l'Allemagne ; traité de Bâle ; traité de paix ; ambassadeur ; diplomatie ; France -- XVIIIe siècle ; Allemagne -- XVIIIe siècle
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Notes
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Le 5 avril 1795, François Barthélemy, ambassadeur de France en Suisse, et Karl August von Hardenberg, ministre du roi de Prusse, signent un accord de "paix et [de] bonne harmonie" entre leurs deux pays (cf AE/I/1bis/17/1). La Prusse accepte d'abandonner à la République française ses possessions à l'ouest du Rhin. En contrepartie, la Prusse, retirée de la coalition anti-révolutionnaire menée par l'Autriche, prend le contrôle des territoires français conquis à l'est du Rhin. Ce document comprend également des clauses commerciales et militaires. Frédéric-Guillaume II y appose sa signature dix jours après l'accord de fait validé par son représentant à Bâle (cf AE/I/1/17/2). Ce traité est alors considéré par les grandes monarchies comme une trahison et laisse Frédéric-Guillaume II moralement isolé, peu de temps avant sa mort, survenue en 1797.
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