La Quinzaine du Japon en Occitanie, qu’est-ce que c’est ?
La Quinzaine du Japon en Occitanie (QJO), qui se déroule du 10 au 24 novembre, c’est plus de 280 évènements à travers toute l’Occitanie. Avec pour objectif de célébrer, renforcer et développer les relations franco japonaises notamment dans les domaines de l’économie, de la culture, de l’enseignement, de la recherche et du sport, la QJO ouvre des thèmes aussi variés que fascinants, couvrant l’écologie, le sport, les cultures populaires et traditionnelles, la gastronomie, la langue ou encore le voyage.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la conférence « Construire des relations culturelles inter-locales entre la France et le Japon ».
La conférence
La conférence prendra place à la Drac Occitanie, sur le site de Montpellier, en accès libre et gratuit, dans la limite des places disponibles.
Cette rencontre s’effectuera en deux temps : un premier temps autour de la présentation du travail de trois actrices du textile ; un second temps autour des relations culturelles inter-locales.
Lors de la première partie de la conférence, interviendront alors Delphine Talbot [chercheuse en art et spécialiste des pratiques tinctoriales au Japon], Anita Henry [conférencière, diplômée de la langue et civilisation japonaise à INALCO, collectionneuse de kimonos] et Sandrine Rozier [artiste et costumière, lauréate de la villa Kujoyama en 2018].
La seconde partie de la conférence portera sur une présentation des projets de territoires que l’association CRICAO mène depuis 2016, entre Toulouse et Okinawa, avec Stéphane Robert [directeur artistique de CRICAO], Daniel López [réalisateur suisso-espagnol vivant à Okinawa] ainsi que Jessica et Samantha May [manipulatrices du chien lion]. L’association CRICAO interroge depuis plus de 20 ans l'interculturalité à travers la production artistique, les actions culturelles dirigées vers tous les publics et les projets culturels de territoire.
📍 Conférence donnée le mercredi 22 novembre à 14 heures à la Drac Occitanie, site de Montpellier, Hôtel de Grave, 5 rue Salle l’Évêque.
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