Dynamiques, innovantes, avec d’importantes retombées économiques dans les territoires et une forte capacité de projection sur les marchés extérieurs et dans les territoires, les ICC ne sont pas toutes aussi bien armées pour faire face aux défis auxquels elles sont confrontées : conséquence des attentats de 2015 sur la fréquentation des lieux culturels, transformation radicale des modes de consommation et apparition de nouveaux acteurs opérant à l’échelle mondiale. 

La structuration des différents secteurs de l’économie de la culture et de la création en une véritable filière s’accompagne en outre de nouvelles mesures de financements qui viennent compléter les dispositifs existants et qui traduisent la volonté de l’Etat en faveur du développement des industries culturelles et créatives.
 

« Les industries culturelles et créatives sont les forces vives de notre culture. Architecture, livre, cinéma, musique, audiovisuel, presse, radio, jeu vidéo, arts visuels ou encore spectacle vivant : les secteurs qu’elles représentent pèsent 640 000 emplois et 91 milliards d’euros de chiffre d’affaires. C’est pour leur faire bénéficier pleinement de ce potentiel économique que nous lançons, les États généraux des ICC. »

Franck Riester, ministre de la Culture