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Réponse n° 4
Dossier Grands documents de l'histoire de France ; Armoire de fer
N° notice AF-02185
Série AE/I : Armoire de fer ; Carton n° 4 : Autographes.
Cote AE/I/2/31
Analyse Lettre non signée du " ministre secrétaire d'Etat de l'Intérieur" au duc de Richelieu, président du Conseil des ministres au sujet d'une demande de secours formée par Albaret, à Paris le 7 avril 1820.
Papier à en-tête "Ministère de l'Intérieur" et tampon des Archives.
Dates document 1820/04/07
Accès original non accessible (conservé en réserve du musée)
Reproduction tirage photographique; fichier numérique
Support papier ; papier à en-tête
Taille 31,5 x 20,5 cm
Technique manuscrit ; encre ; crayon noir ; en-tête imprimé
Type de document document écrit ; lettre ; document produit par une administration
Noms de personnes Richelieu, Armand Emmanuel du Plessis (1766-1822) (duc - homme politique) ; Siméon, Joseph Jérôme (1749-1842) (comte - homme politique) ; Ministère de l'intérieur
Noms de lieux Paris (France) -- XIXe siècle ; France -- XIXe siècle ; France
Mots clés France ; France -- XIXe siècle ; règne de Louis XVIII (1814-1824) ; Restauration (1814-1830) ; ministre de l'intérieur ; ministre ; pension ; prêtre
Notes Cette lettre, adressée au duc de Richelieu, président du conseil des ministres depuis février 1820, lui rappelle la demande de "secours du Sr. Albaret, desservant de la commune de Fayet (Ardèche)". Le comte de Siméon, ministre de l'intérieur de ce deuxième ministère Richelieu, s'est chargé de faire parvenir 100 francs à ce prêtre. Depuis 1817, une nouvelle convention, dite concordat de 1817, avait été signée entre Louis XVIII et le pape portant sur l'Eglise catholique en France. Elle n'avait néanmoins pas annulé l'organisation du Concordat de 1801 (cf.AE/II/1501).
Le document n'est pas signé. Il comporte plusieurs annotations à la plume et au crayon de différentes mains. On lit en note que "Monsieur Albaret demandait [au duc] une pension équivalente à son traitement et qui lui permit de se retirer. Il n'a que soixante ans. [...]"
Richelieu avait souhaité être informé des affaires marquantes au ministère de l'intérieur. Pour cela, il avait adjoint à Siméon son ami Claude Mounier. Ce dernier avait reprit en 1820 la direction de la police après avoir refusé le ministère de l'intérieur (cf. Fonds baron Mounier, 234 AP, aux Archives nationales).

Notices 1   2   3   4   5   6   7   8   9   10   11   12   13   14   15   16   17   18   19   20   21   22   23   24   25   26   27   28   29   30   31   32   33   34   35   36   37   38   39   40   41   42   43   44   45   46   47   48   49   50   51   52   53   54   55   56   57   58   59   60   61   62   63   64   65   66   67   68   69   70   71   72   73   74   75   76   77   78   79   80   81   82   83   84   85   86   87   88   89   90   91   92   93   94   95   96   97   98   99   100  
Groupes 1-100  101-144