Depuis, il s’est agi de mettre ce siècle en lumière et de l’apprécier à sa juste valeur, en passant par l’étude de ses différents courants – affublés du préfixe « néo » (néogothique, néo-Renaissance…) ou du mot revival – et par le regard rétrospectif apporté par les enseignements tirés des restaurations.
Trois chapitres forment le numéro.
Le premier est composé d’articles généraux, notamment sur la lente et laborieuse reconnaissance du XIXe siècle.
Le deuxième chapitre est consacré à la question de la reconnaissance et de la protection de la production architecturale, urbaine et décorative du XIXe siècle, en abordant plusieurs typologies d’architectures : religieuse, civile, industrielle, etc.
Le troisième s’attache à diverses opérations récentes de conservation-restauration : l’église Saint-Ouen à Rouen, l’église des Réformés à Marseille, les décors des églises parisiennes, l’Hôtel de Matignon, le pont Colbert de Dieppe, la manufacture des tabacs de Strasbourg, la filature Levavasseur à Pont-Saint-Pierre...
Les atouts du numéro
- Croisement d’approches historique, artistique et technique
- Regard neuf sur le sujet, avec des sujets transversaux : industries et ponts, églises, orgues, vitraux, peintures et décors
- Actualités des chantiers de restauration actuels en France
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