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Publié le 3 juin 2014

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  4. In Situ. Au regard des sciences sociales, appel à contributions : « Pour une approche critique des formations dans le domaine du patrimoine »

In Situ. Au regard des sciences sociales, appel à contributions : « Pour une approche critique des formations dans le domaine du patrimoine »

Le prochain numéro de la revue In Situ. Au regard des sciences sociales, prévu pour le premier semestre 2027, souhaite porter attention à l’étude critique des nombreux programmes consacrés, au sein des établissements d’enseignement supérieur, à la formation des futurs chercheurs et professionnels du patrimoine culturel. L’appel à contributions s’adresse aux chercheurs, aux praticiens et aux professionnels du patrimoine attachés à toutes les sciences sociales et humaines.

  • Patrimoines
  • Europe et international
  • Emploi, travail, formation

Sommaire

    • Jours restants 53

    • Localisation
      • France métropolitaine
      • Europe
      • Monde
    • Statut En cours

    • Date limite 15 sept. 2025

    • Jours restants 53

    • Localisation
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      • Europe
      • Monde
    • Statut En cours

    • Date limite 15 sept. 2025

    Cet appel à contributions invite à prêter attention aux institutions et programmes qui, par la formation, concourent à l’élaboration des discours autorisés sur le patrimoine. Ces discours et points de vue s’expriment de diverses manières. Ils sont inscrits dans les législations et les politiques nationales et internationales, et sont promus ou mis en scène, entre autres, par les musées et les institutions de conservation des sites et des monuments. Ils sont également au cœur des processus de transmission des savoirs qui organisent la permanence ou la variation des manières légitimes de dire, de voir ou de faire le patrimoine. L’analyse critique de ces mécanismes doit donc passer par l’étude des institutions d’enseignement supérieur qui contribuent à former les futurs professionnels du patrimoine. Quelle(s) grammaire(s) du fait patrimonial y enseigne-t-on ? Comment et par qui y sont définies les modalités de son traitement – selon quel(s) horizon(s) d’attentes, pour quel(s) public(s) et dans quelle(s) finalité(s) ?

    Dans les dernières décennies du xxe siècle, alors que le patrimoine devient une catégorie d’action publique définie en grande partie par des normes internationales, et une ressource économique en lien avec le développement du tourisme de masse, la formation aux métiers du patrimoine – soit dans un cadre universitaire, soit dans des écoles spécialisées longtemps confidentielles et/ou élitistes – se répand de plus en plus. À l’époque de leur création, ces formations étaient fortement ancrées dans les modes d’organisation de l’enseignement supérieur propres aux différentes traditions nationales. Comme tous les programmes universitaires, elles ont récemment fait l’objet d’un processus de codification, de standardisation et de normalisation qui, tout en les rendant plus facilement comparables, incite leurs promoteurs à s’inscrire dans des démarches de diversification et de certification : l’enjeu est désormais, dans un contexte mondial de concurrence accrue entre les universités, de rendre leurs programmes plus attractifs.

    Pour les enseignants comme pour les étudiants, ces formations sont des lieux de délimitation, de structuration et de normalisation des discours sur le patrimoine, le plus souvent teintés de traditions et d’influences nationales différentes. Les étudiants se familiarisent avec l’environnement économique et professionnel de leur filière. Et, avec l’appui de professionnels des établissements patrimoniaux, en tant qu’enseignants ou tuteurs de stage, ils posent également les bases de leur propre réseau de contacts professionnels.

    Enfin, en dépit de variations d’un pays à l’autre, ces formations sont liées à des institutions de recherche de tous horizons disciplinaires qui ont contribué, au cours de la même période, à faire du patrimoine un objet d’étude académique. Par conséquent, avoir une perspective de sciences sociales sur la formation au patrimoine nous oblige à abandonner – au moins pour un moment – les visées universalistes présumées des discours et des perspectives patrimoniales autorisées, et à aborder ces processus sous un angle casuistique, attentif aux contextes locaux qui organisent la transmission des discours, des gestes et des perspectives professionnels.

     

    Cadre général et problématiques envisagées

    Ce numéro d’In situ au regard des sciences sociales se propose d’examiner comment chaque formation au patrimoine répond à la question « Qu’est-ce que faire école ? », avec des réponses originales, s’appuyant sur des récits fondateurs, des continuités mais aussi des points de rupture par rapport aux visées universalistes de ce qu’est le « patrimoine » ou de ce qu’il convient de transmettre. À cet égard, il est important de souligner que cet appel à communication sur l’histoire et la sociologie de la formation au patrimoine comportera, presque nécessairement pour beaucoup de répondants potentiels, une dimension d’auto-analyse, à la fois réflexive et critique. De même, le dialogue entre chercheurs et professionnels du patrimoine peut être une voie de recherche fructueuse, à condition d’éviter l’écueil du simple « retour d’expérience ». L’ouverture internationale est encouragée, ainsi qu’une approche comparative entre les formations de différents pays. Les approches thématiques transversales sont privilégiées, mais les études de cas portant sur une école ou un programme, un formateur ou des groupes de formateurs, des étudiants ou des groupes d’étudiants actuels sont également les bienvenues. Les contributions peuvent porter à la fois sur la formation initiale et sur la formation continue, ainsi que sur les relations entre les deux. 

    Les contributions peuvent, entre autres, apporter un éclairage sur les perspectives suivantes, en relation avec le développement et/ou la modification au fil du temps des programmes de formation sur le patrimoine :

    • contextes et influences politiques, tant au niveau international, national que local ;
    • contextes et influences historiques ;
    • contextes et influences disciplinaires, y compris les théories fondamentales et/ou les travaux d’érudition utilisés ;
    • contextes et influences géographiques, dans une perspective de plus en plus mondialisée ;
    • composantes des programmes, tels que les programmes d’études, les méthodologies, les compétences enseignées et les résultats d’apprentissage escomptés ;
    • équilibre entre la théorie et la pratique, et notamment l’accent mis sur le caractère pratique ou « appliqué » de l’enseignement et du positionnement des étudiants ;
    • défis actuels et leurs effets, y compris les pressions économiques ;
    • discours et pratiques commémoratives propres à certaines institutions et certains programmes de formation établis de longue date.

    Axe 1 – In situ : une formation au bon endroit et au bon moment

    Il s’agira ici plus particulièrement d’examiner les circonstances qui ont conduit à la création de formations dédiées aux professions du patrimoine et de l’érudition, avec toutes les variations possibles en termes d’échelle et d’influence. À ce titre, nous accueillerons les contributions qui explorent le développement de ces formations et de ces programmes patrimoniaux dans une perspective politique, par exemple avec l’émergence des premières formations dans un cadre global qui a vu l’affirmation d’États-nations en concurrence féroce les uns avec les autres, tant en Europe que dans leurs territoires d’expansion coloniale.

    En outre, les propositions pourront se concentrer sur le contexte scientifique, notamment en ce qui concerne les influences disciplinaires (notamment les disciplines qui ont accompagné l’émergence des plus anciennes formations, telles que l’histoire de l’art, l’archéologie, l’ethnologie et la muséologie). De même, les propositions pourront explorer les influences disciplinaires à l’œuvre dans la manière dont les programmes ont pu se développer (ou changer) au fil du temps, par exemple en ce qui concerne les avancées en droit ou en économie, ainsi que dans les sciences exactes. Les contributions pourront également mettre en lumière l’affirmation progressive de disciplines connexes destinées à être à la fois des techniques de traitement (par exemple, la conservation et la préservation) de certaines catégories de biens culturels et des domaines de recherche et de travail à part entière, comme les études muséales, la théorie et la pratique archivistiques, la bibliothéconomie et, plus tard, les « études sur le patrimoine » ou les « sciences du patrimoine » (définies moins par leur propre méthodologie que par leur objet). On peut du reste souligner le rôle qu’a joué l’enseignement de la muséologie – en France et ailleurs – pour précéder et, d’une certaine manière, ouvrir la voie aux études patrimoniales au cours des dernières décennies.

    Enfin, le contexte géopolitique et les influences qui y sont associés pourront également faire l’objet de propositions. Par exemple, il apparaît nécessaire d’analyser les stratégies d’implantation de programmes à l’échelle mondiale et avec une portée mondiale, dans le passé, quand certaines institutions ont été établies pendant des périodes de domination coloniale/impériale, mais aussi, plus récemment, quand les créations de formations sont liées à la concurrence du marché entre les universités, y compris à travers le développement de programmes permettant la délivrance de diplômes ou de certification en ligne (virtuels). Dans le même ordre d’idées, les propositions pourront se concentrer sur l’impact des politiques internationales en matière de patrimoine, telles que celles promues par l’Unesco, sur l’organisation et le contenu de l’enseignement.

    À l’échelle de chaque institution, les débats portent également sur la recherche de l’implantation dans l’espace la plus appropriée pour ces programmes et ces cours : les universités sont-elles les mieux placées pour les accueillir, ou convient-il de les implanter aussi près que possible des musées et des autres institutions de conservation, de restauration et de diffusion du patrimoine (par exemple, en opérant à partir de ces institutions) ? Dans le même ordre d’idées, des questions importantes sont également soulevées par la circulation des connaissances, de celles et de ceux qui les transmettent et qui les reçoivent, entre les différents types d’institutions liées au patrimoine.

    Axe 2 – Au cœur des ateliers de formation au patrimoine

    Tout aussi importantes sont les analyses qui plongent au cœur des programmes de formation au patrimoine pour en examiner le fonctionnement et les différentes composantes. Parmi les aspects des programmes relatifs au patrimoine, on peut citer :

    • les méthodes utilisées pour sélectionner les étudiants, notamment en ce qui concerne le niveau de compétence requis, les acquis de l’apprentissage attendus et les modalités d’évaluation ;
    • leurs programmes d’études, tels que les disciplines utilisées et enseignées et les exercices considérés pour leur valeur canonique (par exemple, travaux d’érudition, commentaires d’œuvres, constats d’état) ;
    • l’équilibre entre la théorie et la pratique, avec une attention particulière à la question des stages, et la place accordée à la recherche scientifique au cours de la formation ;
    • les conditions d’entrée des étudiants sur le marché du travail et le suivi éventuel par l’institution de leur évolution de carrière et de leur vie professionnelle.

    De fait, l’un des traits les plus caractéristiques de nombreuses formations est leur approche « pratique » ou « appliquée » de l’étude et du travail dans le secteur du patrimoine, ainsi que le désir des responsables de transmettre des compétences managériales aux étudiants. Il s’agira ici de se demander comment et dans quelle mesure les discours et les pratiques managériales influencent la manière dont ces cours, historiquement ancrés dans les sciences humaines, sont désormais conçus et dispensés.

    En outre, une attention particulière pourra être accordée aux conditions matérielles d’acquisition et de transmission des connaissances, du savoir-faire et des compétences interpersonnelles en matière de patrimoine, telles que l’emplacement des installations d’enseignement, l’agencement des ateliers, des laboratoires, des centres de documentation, le développement des possibilités d’apprentissage à distance. Enfin, l’examen des petits « ateliers » – par exemple les écoles de terrain et autres cours intensifs de courte durée – impliqués dans la production du discours sur le patrimoine pourra s’étendre à la compréhension de leur intégration dans les réseaux politiques, administratifs et universitaires, à l’échelle nationale et internationale.

    Axe 3 – Les mises à l’épreuve comme révélateurs, des récits d’autocélébration à questionner

    Les périodes de grands défis économiques politiques et sociaux, comme celle que nous vivons actuellement, peuvent également fournir des occasions précieuses pour analyser l’identité d’une institution ou d’un groupe social. Dans le cas des formations, des programmes et des cours dédiés au patrimoine, nous pensons notamment aux conflits de compétence entre professions opérant dans le même secteur, mais liées à des formations différentes ; aux réformes administratives qui ont pour effet direct ou indirect de dévaloriser certains diplômes par rapport à d’autres ; aux crises de recrutement ou du marché du travail, dont les raisons peuvent être multiples ; ou encore aux délocalisations de programmes, qui sont souvent le résultat de contraintes matérielles ou économiques devenues des facteurs de fragilisation, mais qui constituent toujours des moments de grand stress institutionnel.

    En particulier, nous souhaitons porter l’attention sur les évolutions apparues dans le sillage de la pandémie de 2020, ainsi que le développement de programmes en ligne sur le patrimoine au cours des dernières décennies. Quel est leur impact sur le marché de la formation au patrimoine ? De telles études révèlent l’évolution des programmes de formation dans un secteur de l’enseignement supérieur de plus en plus soumis à la pression concurrentielle : trajectoires ascendantes ou descendantes, crises surmontées au prix de fusions, conquête de nouveaux marchés, entre autres.

    Quant aux programmes de formation au patrimoine les plus anciens et les plus reconnus, y compris ceux qui ont traversé les siècles, ils entrent désormais dans l’ère des commémorations. C’est à cette occasion que les récits historiques de célébration sont produits, souvent avec rigueur mais pas toujours avec distance. Comme dans les périodes difficiles, ces moments d’autocélébration – d’où, par principe, toute forme de tension doit être absente pour ne pas gâcher la fête – doivent être interrogés : quels sont les récits d’origine qui sont mis en avant et qui occupent le devant de la scène ? Quelles figures sont particulièrement célébrées, et qui est oublié ? Comment et où célébrons-nous, et où sont les angles morts et les squelettes dans le placard ?

     

    Coordination scientifique

    • Christian Hottin : conservateur en chef du patrimoine, direction générale des Patrimoines et de l’Architecture, membre du CTHS, membre associé d’Héritages (UMR 9022)
    • Gaspard Salatko : enseignant statutaire en sciences sociales à l’École supérieure d’art d’Avignon, membre du projet ANR « Sacralités par destination. Mises en récits et mises en scène des matérialités de Notre-Dame de Paris – SACRADE »
    • Michelle Stefano : spécialiste du « Folklife », American Folklife Center, Library of Congress; professeure associée, Cultural Heritage Management Master’s Program, Johns Hopkins University, Washington DC

     

    Propositions de contributions

    Le numéro spécial  In situ au regard des sciences sociales consacré à l’étude critique des formations, paraîtra au premier semestre 2027.

    Les résumés feront l’objet d’une évaluation en aveugle par les membres du comité éditorial du numéro, après quoi les auteurs seront invités à soumettre leur contribution complète avant le 1er 2026.

    Date limite de réception des résumés de 1500 signes : 15 septembre 2025

    Si vous souhaitez contribuer à ce numéro, nous vous remercions d’envoyer avant le 15 septembre 2025 un résumé de 1500 signes au maximum, ainsi qu’un court CV :

    • par courriel :

    insitu.arss@culture.gouv.fr

    • ou par voie postale :

    Ministère de la Culture
    Direction générale des Patrimoines et de l’Architecture,
    Revue In Situ. Au regard des sciences sociales
    à l’attention de Nathalie Meyer
    182, rue Saint-Honoré
    75001 Paris – FRANCE

    Les textes des articles correspondant aux propositions retenues sont attendus pour le 1er mars 2026. Vous pourrez rédiger votre contribution en français ou dans votre langue d’usage. Les articles proposés devront contenir une part inédite de recherche, d’hypothèse ou de mise à jour ; ils ne sauraient reprendre la totalité d’un texte déjà paru.

    Elle sera publiée dans sa version originale et dans sa traduction française. La taille des articles sera comprise entre 15 000 et 35 000 signes, espaces, notes et bibliographie compris.

    Les recommandations aux auteurs concernant le nombre de pages, les illustrations, l’insertion de notes et de liens, etc., sont consultables sur le site de la revue : https://journals.openedition.org/insituarss/276

     

    En savoir plus :

    Appel en français : https://journals.openedition.org/insituarss/4676

    Appel en anglais: https://journals.openedition.org/insituarss/4682

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