- La série spéciale Ramaillages du 22 au 26 novembre sur online
- Les Rencontres du film ethnographique avec Izza Genini seront diffusées sur la plateforme du festival partir du 24 jusqu'au 29 novembre.
- Cette année laisse place à une nouvelle section Regards de terrain qui accueille trois films du 26 au 30 novembre sur online.
- L'atelier démontage d’un montage est maintenu du 1er au 6 décembre à distance.
- La section Premiers regards du 4 au 6 décembre en collaboration avec l'université Paris-Nanterre offre la projection de quatre films hors compétition et une conférence sur "le silence" avec Eliane de Latour.
- Le 24 novembre a eu lieu la soirée de remise des prix de la compétition internationale du 39e festival Jean Rouch. Découvrir le palmarès
Lauréats de la 39e édition du Festival
Rediffusion sur la chaîne YouTube du festival
La plateforme du Festival diffuse le 13 novembre à 20h30 la soirée d'ouverture.
Cette plateforme permet de visualiser 30 documentaires de la programmation 2020 jusqu'au 6 décembre. Chaque film est mis en ligne pour une durée de 5 jours tout au long du Festival. Le programme est consultable sur le site du Festival.
Cette édition c'est aussi : Des débats avec les réalisateurs et des intervenants invités, animés sur Zoom. Le calendrier et les inscriptions sont accessibles depuis la page dédiée du site du Festival.Une chaîne YouTube : avec des vidéos de présentation des films par leur réalisateur et la soirée d'ouverture du Festival à revoir.
Le festival 2020 a pour parrain l’anthropologue Philippe Descola. Eliane de Latour, cinéaste et chercheuse au CNRS a été nommée à la présidence du Comité du Film Ethnographique, organisateur du Festival International Jean Rouch.
Initié par Jean Rouch, cinéaste, ethnologue, fondateur du Comité du film ethnographique et père du cinéma anthropologique, le Festival a d’abord pris la forme d’un Bilan du film ethnographique, au musée de l’Homme.
Cette édition est dédiée à Marc-Henri Piault, décédé le 4 novembre dernier. Anthropologue et cinéaste, directeur de recherche au CNRS, il fut président du Comité du Film ethnographique de 2004 à 2010. Il donna un nouvel élan au Bilan du Film Ethnographique, devenu à partir de 2008, sur sa proposition et en hommage à son fondateur, le Festival International Jean Rouch.
© Réalisation de la bande-annonce : Dimitri Artemidore
Dédié au cinéma documentaire lié aux sciences humaines et sociales, il propose chaque année une programmation originale et exigeante composée d’une compétition internationale, de master classes, de séances spéciales et de rétrospectives. Depuis sa création en 1982, il est un lieu original et vivant de découvertes, d’échanges des savoirs scientifiques et cinématographiques, d’éducation à l’image documentaire, de rencontres et de dialogues entre cinéastes, chercheurs et public. Un lieu où s’écrit une histoire du documentaire, où sont partagés émotions et moments de référence qui construisent une sensibilité par l’image, et où le spectateur-citoyen peut enrichir sa relation à la complexité et à la diversité du monde.
Le Festival a pour ambition de rendre compte de la diversité des modes de vie des femmes et des hommes et de leurs activités sociales, politiques et culturelles, comme de leurs relations à l’environnement. Tous les films programmés, pour leur écriture engagée et singulière, pour leur regard humaniste et averti, ont pour intention la rencontre de l’Autre et de nous-même.
Depuis 2011, des Hors les murs en régions et à l’étranger permettent de faire découvrir au plus grand nombre ces documentaires encore trop souvent ignorés par les salles de cinéma et la télévision.
La programmation 2020
Plateforme de la manifestation
La Compétition internationale : 25 documentaires issus de la production internationale des deux dernières années. Ils concourent pour huit prix – En ligne du 14 au 23 novembre.
Notamment :
Cris et chuchotement, de WEN Hai et ZENG Jinyan, Trish McAdam : un manifeste politique de la résistance de femmes dans la société chinoise et hongkongaise, elles racontent leur combat pour l'autonomie.
Fils de Garches, de Rémi Gendarme-Cerquetti, avant-première française : plongée dans l’univers des enfants handicapés devenus grands qui se faisaient "redresser" à l’hôpital de Garches, le réalisateur part à la rencontre de ses anciens camarades d’hospitalisation et de ses soignants.
Nous la mangerons, c’est la moindre des choses, de Elsa Maury : le parcours d’une bergère consciencieuse de prodiguer le meilleur à ses moutons, jusqu’à leur abattage. Ses gestes sont ceux d’une éleveuse qui aime et qui mange ses bêtes.
Une nouvelle section Regards de terrain s'ouvre à côté de la Compétition internationale afin de mettre en avant des films issus d’investigations de terrain menées par des chercheurs professionnels ou non, qui gardent en tension le cinéma et la logique discursive de la pensée – En ligne du 26 au 30 novembre.
Rétrospective Izza Génini et master class présentent le parcours original et personnel, entre cinéma et musique, de la réalisatrice marocaine – En ligne les 28 et 29 novembre
IMPORTANT :
Regards comparés. Au fil du Niger, portraits d’un fleuve : qui devaient se tenir à l’auditorium de l’Inalco ont été reportés à l’année prochaine.
La programmation complète de la 39e édition est disponible sur comitedufilmethnographique.com
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