« La Preuve par sept » est une démarche expérimentale d’urbanisme et d’architecture initiée par l’architecte honoraire Patrick Bouchain et conduite par l’association Notre Atelier Commun. « La Preuve par sept » accompagne des porteurs de projets urbains, d’équipements, d’habitat, sur 7 échelles territoriales. Son objectif est de promouvoir le recours à des approches innovantes pour le montage de projets et d’initier de nouvelles manières de construire la ville collectivement.
Une démarche novatrice soutenue par le ministère de la Culture
Soutenue pour 3 ans par le ministère de la culture et le ministère de la Cohésion des territoires ainsi que par la Fondation de France, « la Preuve par sept » propose de soutenir l’émergence de projets portés par un triptyque d’acteurs locaux volontaires : des décideurs politiques engagés, des opérateurs mobilisés et des « forces vives » publiques ou privées, usagers et riverains fortement impliqués.
« La Preuve par sept » accompagne ces projets locaux afin de les inscrire dans un réseau national pour leur donner ainsi une légitimité supplémentaire à agir en dehors des méthodes traditionnelles. Au-delà de l’accompagnement de ces premiers projets, la démarche a vocation à essaimer et à transformer des expérimentations ponctuelles en supports pour de nouvelles façons de mettre en œuvre les politiques publiques.
Sept sites retenus en France
Les sept sites retenus, en fonction de leurs échelles, sont les suivants (voir annexe 1) :
- Montjustin (Alpes-de-Haute-Provence) – Échelle du village.
- Pérignat-sur-Allier (Puy-de-Dôme) – Échelle du bourg.
- Saumur (Maine-et-Loire) – Échelle de la ville moyenne.
- Gennevilliers et Bagneux (Hauts-de-Seine) – Échelle de la commune de banlieue
- Orléans (Loiret) – Échelle de la métropole régionale.
- Mayotte (Localité à identifier) - Département et Région d’Outre-mer
- A identifier : Un site concernant la réutilisation d’un bâtiment public désaffecté (Gare, école, Poste)
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