Le 17 juillet 2016, après plus de dix ans d'actions portées notamment par la Fondation Le Corbusier et l’État français, l’œuvre architecturale de Le Corbusier a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO comme "Bien transnational en série". Dix-sept éléments situés dans sept pays (Allemagne, Argentine, Belgique, France, Inde, Japon et Suisse) et répartis sur trois continents ont été inscrits. Dix composantes du bien sont présentes sur le territoire français et trois en région Île-de-France.
l’œuvre de Le Corbusier et l’universalité de son apport à l’architecture
En 2022, la France assure la Présidence de la Conférence Permanente Internationale (CPI), Présidence tournante entre les 7 États-parties du bien transnational en série. Dans le cadre de cette Présidence, la DRAC d'IDF, coordonnatrice des 10 composantes françaises de la série, a organisé le 9 décembre dernier une journée d’études à l’Institut national d’histoire de l’art (INHA). Journée qui a présenté devant la communauté internationale les principales avancées observées depuis 2016 au sein de l’ensemble de la série.
Par l'inscription de l’œuvre de Le Corbusier au patrimoine mondial de l’UNESCO, le Comité du Patrimoine Mondial a voulu refléter l’universalité de son apport à l’architecture. Les dix-sept œuvres de Le Corbusier inscrites ont été choisies car elles constituent une réponse aux enjeux fondamentaux de l’architecture et de la société du XXe siècle. Ces éléments construits ont été réalisés sur une période de près d’un demi-siècle, tout au long de ce que Le Corbusier a lui-même nommé une "recherche patiente". Ces éléments apparaissent aussi comme autant de manières par lesquelles Le Corbusier a relevé les défis
l’importance du patrimoine corbuséen en Île-de-France
Plusieurs acteurs participent à la gestion et la coordination du Bien afin d’accompagner l’inscription et soutenir la CPI. Pour rappel : la Fondation Le Corbusier a pour mission de conserver et de diffuser les œuvres et archives de Le Corbusier en tant que gardienne du droit moral des œuvres de l’architecte. L’Association des sites Le Corbusier rassemble des collectivités françaises et étrangères au-delà de la série impliquées dans cette démarche, ainsi que d’autres acteurs internationaux.
Depuis la loi du 7 juillet 2016 relative à la Liberté de la création, de l’architecture et du patrimoine (dite loi LCAP), qui a introduit pour la première fois dans le droit positif français la notion de patrimoine mondial, le plan de gestion et la zone tampon sont désormais obligatoires. Sa mise en œuvre s’est accompagnée par la désignation du Préfet de la région d’Île-de-France comme préfet coordonnateur de la série nationale pour 5 ans, en raison de l’importance du patrimoine corbuséen en Île-de-France. Cet arrêté a été reconduit en janvier 2022 pour les cinq prochaines années. La Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) Île-de-France a en charge d’assurer cette coordination entre les six DRAC concernées au sein d’un comité de pilotage national qui se réunit chaque année sous la présidence du préfet de région coordonnateur. Son rôle consiste à coordonner l’action des services de l’État et des collectivités locales liée à la mise en œuvre des plans de gestion et la gestion des zones tampons des dix sites français. Il doit également apporter une réponse adaptée au plan national aux recommandations du Comité du patrimoine mondial et aux observations d’ICOMOS international (Conseil international des monuments et des sites, organe consultatif pour la mise en œuvre de la Convention du Patrimone mondial de l’UNESCO). |
Focus sur les 3 sites franciliens
Villa Savoye, l’icône absolue du Mouvement moderne
La villa Savoye, située 82 rue de Villiers à Poissy (Yvelines) a été construite entre 1928 et 1931 et achève la période dite des villas blanches de l'architecte. Icône absolue du Mouvement moderne, immédiatement reconnue comme telle, l'édifice est situé sur un vaste terrain peu boisé de 7 hectares, libre de toute contrainte. Cette réalisation exceptionnelle de l'histoire de l'architecture du XXe siècle dans le domaine de la résidence individuelle privée, se présente sous la forme d’un simple parallélépipède aux quatre faces équivalentes, posé sur pilotis et couvert d’un toit-terrasse d’où se détachent les formes plus souples d’un solarium.
Villa Savoye, Photo : Cemal Emden ©FLC/ADAGP, 2016
Les formes sont pures, immaculées, universelles. Le dégagement d’une travée entière de pilotis et le retrait du rez-de-chaussée peint en vert sombre pour en effacer la masse dans l’ombre, accuse l’impression d’élévation.La courbe du rez-de-chaussée est calculée selon l’arc de giration minimum d’une voiture. La circulation automobile devient une composante à part entière de la composition architecturale. À l’intérieur, la distribution et la conception spatiale sont définies selon les mouvements des usagers tout au long de la rampe qui du rez-de-chaussée dessert toute la villa jusqu’au solarium.
La Loge du jardinier est l’archétype du logement minimum que Le Corbusier et Pierre Jeanneret ont présenté au premier congrès des CIAM de Francfort en 1929. Elle présente les mêmes principes formels que la villa de maître, illustrant ainsi cette quête d’une architecture qui soit à la fois universelle et sans distinction sociale. Le plan compact conçu pour 3 à 4 personnes n’offre que 30 m² de surface habitable et 9,50 m² de chaufferie et débarras. Quatre petites pièces accessibles par des portes coulissantes sont flanquées de part et d’autre d’une pièce commune de 12,70 m². Rien de comparable avec les 400 m² au sol de la maison de maître voisine, mais une même communauté de pensée architecturale unit cependant ces deux réalisations.
Villa Savoye, loge du jardinier, Poissy, Photo : Bénédicte Gandini © FLC/ADAGP, 2016
Travaux en cours - Villa Savoye : D'importants travaux de gros entretien sont actuellement conduits par le Centre des Monuments Nationaux sous le contrôle scientifique et technique de la CRMH d'IDF, préalablement à la restauration générale de la Villa et de la Loge du jardinier qui lui est associée. |
L'immeuble locatif de la porte Molitor (1931)
L'immeuble Molitor, réalisé entre 1931 et 1934, est à cheval sur les communes de Boulogne-Billancourt et du XVIe arrondissement de Paris. La façade est se trouve au niveau du n°24 de la rue Nungesser-et-Coli qui marque la limite entre le 16e arrondissement de Paris et la commune de Boulogne-Billancourt. Tandis que la façade ouest donne sur la rue de la Tourelle entièrement située sur le territoire de Boulogne. Il préfigure les principes de la Ville radieuse, au cœur de la métropole. En 1931, un terrain est acquis, par la Société Immobilière de Paris, dans un nouveau quartier en cours d’aménagement, près de la porte Molitor, à deux pas du bois de Boulogne, des stades Jean-Bouin et Roland-Garros, du vélodrome du Parc des Princes, des terrains de tennis. Commande est passée à Le Corbusier et Pierre Jeanneret, pour la construction d’un immeuble d’habitation sur cette parcelle. Les deux architectes conçoivent alors un immeuble de huit étages comptant une quinzaine de logements.
Pour le nouvel édifice, Le Corbusier, applique quatre des cinq points de cette architecture nouvelle qu'il a définie : plan libre, structure ponctuelle, façade libre, pan de verre et toiture-terrasse. Finalement, le découpage retenu s'attache à trois logements pour les deux premiers niveaux, ainsi que pour les quatrième et cinquième niveaux, et deux logements pour les troisième et sixième niveaux. L'exécution du concept de "plan libre" créé par Le Corbusier permet au futur acquéreur d'aménager son appartement selon ses souhaits. L'architecte se réserve le 7e et le 8e étage, où il réalise l’appartement-atelier qui lui servira de résidence parisienne avec son épouse Yvonne Gallis jusqu'à leur décès respectifs : en 1957 pour sa femme et en 1965 pour l'architecte.
Immeuble locatif à la Porte Molitor, Boulogne-Billancourt Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Les façades Les deux façades sur les rues Nungesser-et-Coli et des Tournelles sont entièrement vitrées (trois types de verres sont utilisés : verre armé, brique de verre et glace claire) et diffusent une belle lumière homogène. La façade principale sur la rue Nungesser-et-Coli est composée des parties saillantes. Les 2e et 6e étages sont dotés d'un balcon. les 3e et 4e étages possèdent une fenêtre en arc qui fait office de balcon pour le 5e étage. Le 7e étage correspond à l’atelier de peinture de Le Corbusier, tandis que le 8e étage laisse entrevoir la chambre d'ami derrière laquelle se trouve le toit-jardin. L'accès principal de l'immeuble se fait par la rue Nungesser-et-Coli, l'entrée donnant sur rue des Tournelles permet d'accéder aux garages et aux "logements des domestiques". Le Corbusier considère que toutes les fonctions liées au service (buanderies, conciergerie et chambres de domestiques) doivent être rassemblées au rez-de-chaussée. L'architecte rompt avec la tradition de l'architecture du XIXe siècle dans laquelle il était d'usage d'aménager les "chambres de bonnes" sous les toits. Le hall d'entrée possède une hauteur sous plafond de 3,50 m. À gauche de l'entrée se trouve la loge du concierge et à la droite, un studio que Le Corbusier baptise "la garçonnière". Dans le fond, le hall est orné d'un panneau mural consacré au "Poème de l'angle droit", œuvre de l'architecte, qui fut accroché là après sa mort. On accède aux six niveaux par un ascenseur, tandis qu'un dernier escalier mène directement à l’appartement-atelier de Le Corbusier. |
L'appartement de Le Corbusier L'appartement-atelier d'une surface d'environ 240 m2 réparti sur les deux derniers niveaux (les 7e et 8e) réunis par un escalier intérieur, est construit par Le Corbusier pour son usage personnel. L'accès se fait par un escalier de service depuis le 6e étage (dernier niveau desservi par l’ascenseur). Un système d’éléments mobiles constitués de portes en bois permet de séparer ou de relier le logement à l'atelier. Ainsi, Le Corbusier pouvait en fermant l'une de ses portes, orienter le sens de la visite soit vers son atelier de peinture, soit vers les espaces de réception de son logement. L'entrée dans l'appartement se fait par une grande porte pivotante. A gauche, l'escalier mène au niveau supérieur, puis le salon disposant d'un coin cheminée. Celui-ci est prolongé par une salle à manger ouvrante. Une cuisine et un office y sont attenants sur la gauche. Sur la droite, derrière une porte-placard, la chambre conjugale. Ces trois dernières pièces ouvrent sur un balcon loggia. L'atelier est caractérisé par trois éléments : - une grande voûte blanche - deux pans de verre qui s’ouvrent respectivement à l’est sur le stade Jean-Bouin et à l’ouest sur la cour de l'immeuble - un grand mur de moellons et de briques laissés apparents. L’espace de l’atelier est divisé en trois sous-espaces : le premier est réservé à la peinture - le deuxième est un coin bureau - le troisième comprend une chambre de domestique et d'un espace de rangement. Le niveau supérieur donne accès une chambre d'ami, ainsi qu'à un toit-jardin. La conception du mobilier est confiée à l'une de ses collaboratrices, l’architecte d’intérieur Charlotte Perriand. |
Travaux en cours - Immeuble locatif de la porte Molitor : Après la restauration générale de l'appartement de Le Corbusier, labellisé Maison des illustres, qui s'est achevée en 2018, celle des 2 façades et des parties communes débutera début 2023 (en commençant par le rue de la Tourelle) pour s'achever en 2024. |
Maisons La Roche - Jeanneret
La Maison Jeanneret est jumelée avec la Maison La Roche, mais contrairement à cette dernière, elle ne se visite pas puisqu'elle abrite aujourd'hui la Fondation Le Corbusier. Elles sont considérées aujourd'hui comme un exemple prestigieux d'architecture moderne en France, dans lequel on trouve pour la première fois l'expression architecturale des cinq points pour une architecture nouvelle. C'est également pour Le Corbusier l'occasion de développer avec la villa son idée de promenade architecturale : "C'est en marchant, en se déplaçant que l'on voit se développer les ordonnances de l'architecture".
Maisons La Roche-Jeanneret, Paris Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Le Corbusier et son cousin Pierre Jeanneret, ont d'abord envisagé de construire un grand ensemble architectural, mais développent finalement un projet pour deux maisons voisines, qui présentent néanmoins des programmes différents. La Maison La Roche est destinée à un collectionneur célibataire Raoul Albert La Roche, propriétaire d'une collection de peinture. La Maison Jeanneret doit abriter une famille avec enfants et comporte un grand nombre de pièces, c'est la maison destinée à Albert Jeanneret, frère de Le Corbusier, son épouse et leurs deux filles.
La Maison La Roche se situe sur un terrain situé au fond d'une impasse, au 10 square du Docteur-Blanche à Paris. Afin de satisfaire la double demande d'une maison familiale et d'une maison/galerie, les architectes ont décidé de distinguer les fonctions : ainsi les espaces d'habitation se trouvent regroupés sur la même bande de terrain tandis que la galerie s'élève sur pilotis dans l'axe du terrain.
La Maison Jeanneret se situe au 8, square du Docteur-Blanche à Paris. Pour cette commande, c'est la première fois que Le Corbusier expérimente le concept de "plan retourné" qui renverse la disposition traditionnelle de la maison. Ainsi, le jardin occupe désormais le sommet du bâtiment au lieu de sa base. L'étage réservé aux espaces de vie et de réception gagne le dernier niveau juste sous le toit-terrasse.
Travaux en cours - Maisons La Roche et Jeanneret (siège de la Fondation le Corbusier depuis 1968) : Ces 2 maisons ont fait l'objet d'une importante restauration générale (achevée en 2016) qui a permis de révéler la polychromie d'origine des 2 maisons et l'ouverture à la visite de l'ensemble des espaces de la maison La Roche. Des travaux d'entretien se poursuivent sous le contrôle scientifique et technique de la CRMH d'IDF. |
L’œuvre architecturale de Le Corbusier au patrimoine mondial
Les dix-sept œuvres de l'architecte franco-suisse Le Corbusier inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, l'organisation des Nations-Unies pour l'éducation, la science et la culture
La Maison Jeanneret est jumelée avec la Maison La Roche, mais contrairement à cette dernière, elle ne se visite pas puisqu'elle abrite aujourd'hui la Fondation Le Corbusier. Elles sont considérées aujourd'hui comme un exemple prestigieux d'architecture moderne en France.
Maisons La Roche-Jeanneret, Paris Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La villa Le Lac est une villa construite pour ses parents en 1923 à Corseaux près de Vevey, dans le canton de Vaud, en Suisse.
Petite villa au bord du lac Léman, Corseaux Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La cité Frugès - Le Corbusier, à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux, est l’un des deux lotissementsa construits par l’architecte franco-suisseLe Corbusier en 1926 (en collaboration avec son cousin Pierre Jeanneret, architecte également) pour le compte de l’industriel sucrier Henry Frugès.
Cité Frugès, Pessac Photo : Cemal Emden ©FLC/ADAGP, 2016
La maison Guiette, aussi connue comme Les Peupliers, a été imaginée en 1926 par Le Corbusier et construite en 1927 pour l'artiste et critique René Guiette, à Anvers (Belgique).
Maison Guiette, Anvers Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La Weißenhofsiedlung (en allemand "la cité de Weißenhof", du nom d'un quartier de Stuttgart, ou plus littéralement "la cité de la cour blanche") est un lotissement de maisons pour travailleurs qui a été construit à Stuttgart en 1927 dans le cadre de l'exposition "Die Wohnung" (l'habitation, en allemand).
Maisons de la Weissenhof-Siedlung, Stuttgart Photo: Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La villa Savoye, située 82 rue de Villiers à Poissy (Yvelines) a été construite entre 1928 et 1931 par l'architecte Le Corbusier et son cousin Pierre Jeanneret. Cette construction achève la période dite des villas blanches de l'architecte.
Villa Savoye, Poissy Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Villa Savoye, loge du jardinier, Poissy Photo : Bénédicte Gandini © FLC/ADAGP, 2016
Fondation Le Corbusier
L'immeuble Clarté, aussi appelé maison de verre, est un immeuble réalisé entre 1930 et 1932, à Genève en Suisse. Situé aux numéros 2 et 4 de la rue Saint-Laurent, dans le quartier des Eaux-Vives, cet immeuble utilise quatre des cinq points de Le Corbusier : plan libre, structure ponctuelle, façade libre, pan de verre et toiture-terrasse.
Immeuble Clarté, Genève Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
L'immeuble Molitor réalisé, entre 1931 et 1934, est à cheval sur les communes de Boulogne-Billancourt et du XVIe arrondissement de Paris. Il préfigure les principes de la Ville radieuse, au cœur de la métropole.
Immeuble locatif à la Porte Molitor, Boulogne-Billancourt Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Plus connue sous le nom de Cité radieuse, l'unité d'habitation est le nom donné à un principe moderne de bâtiments d'habitation conçu par Le Corbusier, en collaboration avec le peintre et architecte portugais Nadir Afonso, qui a servi de modèle à plusieurs cités désignées par ce nom.
Unité d’habitation, Marseille Photo: Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La Manufacture Claude-et-Duval est une bonneterie située à Saint-Dié-des-Vosges, dans le département des Vosges. Le bâtiment est le seul bâtiment industriel conçu par Le Corbusier.
Manufacture à Saint-Dié, Saint-Dié, Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Il s'agit d'un des deux seuls bâtiments de Le Corbusier sur le continent américain, l'autre étant le Carpenter Center for the Visual Arts à Cambridge, Massachusetts.
Maison du Docteur Curutchet, La Plata Photo : Olivier Martin-Gambier © FLC/ADAGP, 2016
La chapelle Notre-Dame du Haut, construite de 1953 à 1955 sur la colline de Bourlémont à Ronchamp, est érigée à l'emplacement d'un ancien sanctuaire romain et d'une ancienne chapelle reconstruite une première fois dans l’entre-deux-guerres.
Chapelle Notre-Dame-du-Haut, Ronchamp Photo Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Cabanon situé à Roquebrune-Cap-Martin (Provence-Alpes-Côte-d'Azur / Alpes-Maritimes), labellisé "Maison des Illustres" en 2012. Cette construction en bois de 15 mètres carré, à l’origine cadeau d’anniversaire pour sa femme, est devenu un lieu privilégié de travail et de repos pour l'architecte, qui passe tous ses étés dans le Cabanon.
Cabanon de Le Corbusier, Roquebrune-Cap-Martin Photo : Olivier Martin-Gambier © FLC/ADAGP, 2016
Ensemble de bâtiments construit à la suite de l'indépendance de l'Inde en 1947. Le complexe est notamment constitué du Palais de l'Assemblée, de la Haute Cour du Pendjab et de l'Haryana et du Secrétariat. La structure La Main ouverte symbolise le complexe.
Complexe du Capitole, Chandigarh Photo Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Construit dans la seconde moitié des années 1950, cette construction de béton est l'une des œuvres significatives de l'architecte Le Corbusier.
Couvent Sainte-Marie-de-la-Tourette, Eveux Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
Le musée national de l'Art occidental est un musée d'art spécialisé dans l'art occidental fondé en 1959 et situé à Tokyo. Il occupe comme bâtiment principal un bâtiment conçu par Le Corbusier.
Musée National des Beaux-Arts de l’Occident, Tokyo Photo : Cemal Emden © FLC/ADAGP, 2016
La maison de la culture et de la jeunesse est un établissement culturel. C'est le seul édifice conçu par l'architecte à Firminy qui ne soit pas une réalisation posthume.
Centre de recréation du corps et de l’esprit de Firminy-vert, Firminy Photo : Olivier Martin-Gambier ©FLC/ADAGP, 2016
Partager la page