Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Culture, adresse ses plus vives félicitations aux lauréats du palmarès de la 74ème édition du Festival international du Film de Cannes, dont le jury était présidé par Spike Lee.
Les films sélectionnés répondaient, cette année encore, à l’ambition historique du Festival de Cannes de valoriser des films de grande qualité esthétique qui font résolument évoluer notre regard sur le monde.
La ministre félicite tout particulièrement les équipes des six films français ou soutenus par la France qui ont été distingués par le jury.
Elle salue ainsi la réalisatrice Julie Ducournau pour son deuxième long métrage « Titane » : benjamine de la compétition, elle est la deuxième réalisatrice de l’histoire du Festival à se voir décerner la Palme d’Or, après Jane Campion pour « La leçon de piano ». La ministre adresse également ses félicitations à Leos Carax : le Prix de la mise en scène remporté grâce à « Annette » vient récompenser un brillant exercice de renouvellement de la comédie musicale. Ces deux œuvres proposent aux spectateurs un nouveau regard sur le « film de genre ».
Enfin, la ministre tient à remercier le jury du Festival 2021 pour un palmarès qui consacre le rôle irremplaçable de l’Aide aux cinémas du monde comme dispositif phare de soutien au cinéma d’auteur mondial, à travers les films d’Asghar Farhadi (Grand prix du jury pour « Un héros »), d’Apichatpong Weerasethakul (Prix du jury ex-aequo pour « Memoria »), de Nadav Lapid (prix du jury ex-equo pour « Ha’Berech ») et de Joachiem Trier (prix d’interprétation féminine pour Reinsve Verdens dans le film « Julie en 12 chapitres »).
Roselyne Bachelot-Narquin tient également à saluer les réalisateurs récompensés dans les sections parallèles : Hafsia Herzi qui a reçu le Prix d’Ensemble pour son film « Bonne mère » dans la section Un certain regard ; Vincent Maël Cardina réalisateur « Les Magnétiques », Prix SACD à la Quinzaine des réalisateurs et Julie Lecoustre et Emmanuel Marre distingués par l’aide Fondation Gan à la Diffusion pour leur film « Rien à foutre » présenté à la Semaine de la Critique.