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Réponse n° 873
Domaine

archéologie ; sculpture ; romain

Dénomination

tête

Titre

Portrait d'époque théodosienne

Période création/exécution

4e quart 4e siècle ; 1er quart 5e siècle

Millésime création/exécution

375 entre ; 425 et

Découverte/collecte/récolte

France ; Haute-Garonne ; Martres-Tolosane ; (Villa de Chiragan, lieu de découverte) ; fouilles ; (avant 1828, date de découverte)

Matériaux/techniques

marbre blanc, ronde-bosse

Description

Seul un buste byzantin de jeune femme du Metropolitan Museum of Art de New York, est véritablement comparable à ce portrait. L'oeuvre est à la croisée de la sculpture romaine et de l'art byzantin. Elle pose la question du rapport artistique entre l'Empire romain d'Orient et l'Empire romain d'Occident, définitivement séparés après la mort de Théodose en 395. Les analyses révèlent que ce portrait fut taillé dans un marbre de Saint-Béat (Haute-Garonne). Cette seule information prouve que non seulement la villa de Chiragan était encore en activité durant cette époque tardive mais qu'elle représentait encore un lieu de prestige au service duquel des ateliers venus d'Italie concevaient toujours des portraits officiels. Une tête de même type, mais maladroite et taillée par un sculpteur local dans du calcaire, a été mise au jour, en 2005, lors d'une fouille à Beauzelle, aux portes de Toulouse. Elle témoignerait de la notoriété de ce personnage ou au moins de ce type de portrait. Celle qui pour nous aujourd'hui est une inconnue devait être un personnage éminent, appartenant au milieu impérial. Pascal Capus, 2015.

Dimensions

Hauteur en cm 33.5 ; tête 31.5 ; Largeur en cm 30 ; Profondeur en cm 30

Sujet représenté

portrait (femme)

Précision sujet représenté


Alexandre du Mège, qui la fit entrer au Musée de Toulouse, décrivait en 1828 et 1835 cette tête un peu plus grande que nature comme " environnée d'une coiffure orientale ", une " coiffure ronde et élevée en forme de turban ", et l'attribuait à une " statue persique ". Il notait encore : " les traits n'offrent point cette ligne gracieuse qui dessine les figures grecques et romaines ; les pommettes sont très-saillantes et l'on voit bien que l'artiste a voulu donner un air étranger à cette tête ". Avec les connaissances qui étaient les siennes et celles de son temps en matière de sculpture antique, avec surtout une sensibilité imprégnée de néo-classicisme, il avait immédiatement perçu la différence qui éloignait cette ouvre d'une expression plus habituelle de l'art romain. Il la jugeait néanmoins " d'un travail remarquable " et la classait " parmi les monuments les plus rares du Musée de Toulouse ". Son successeur Ernest Roschach la rejeta au contraire vers une catégorie artistique inférieure à ses yeux : dans son catalogue de 1865, il en fit " un portrait de femme indigène exécuté par un sculpteur réaliste ", d'un " travail extrêmement barbare ", avec une " coiffure très volumineuse et si grossièrement traitée qu'on n'en peut déterminer la nature... " et une " arcade sourcilière creusée avec une exagération brutale ". S'il ne l'apprécia guère, du moins y reconnut-il plus nettement que Du Mège un portrait. L'identité et la date de celui-ci demeuraient cependant fort obscures... En 1908, Émile Espérandieu avança le IIe siècle après J.-C., sans aucune argumentation. Ami de Toulouse-Lautrec, le peintre François Gauzi estima au début du XXe siècle cette tête singulière et d'un art primitif : " . asymétrique, bizarre, brutale. La chevelure lourde, de travers, tombe d'un côté et paraît être maintenue par une étoffe en forme de turban.../... il est permis de supposer qu'un tailleur de pierre aquitain a reproduit le visage d'une patricienne romaine en résidence dans la Gaule occidentale. C'est une ouvre qui pourrait figurer au Salon d'automne. Encore novice, le sculpteur primitif a dû s'arrêter avant d'avoir atteint le but. Les sculpteurs d'arrière saison, gonflés comme des pantins de baudruche, se lancent en avant, le dépassent et crèvent. Les extrêmes se touchent. " Au-delà de l'opinion de Gauzi, de nombreux artistes et amateurs d'art du XXe siècle furent saisis d'admiration devant la modernité des volumes de cette sculpture, sans doute parce qu'ils évoquaient certaines tendances de l'art contemporain. Il fallut attendre 1968 pour que cette tête retrouvât une place cohérente dans l'histoire du portrait romain. Ce fut grâce à l'intérêt que lui porta alors Elisabeth Alföldi-Rosenbaum, professeur à l'Université de Toronto, à l'occasion de l'acquisition par le Metropolitan Museum of Art de New York d'un curieux buste byzantin de jeune femme, de l'époque de Justinien, dont la coiffure se rapprochait de celle de la tête toulousaine. Mais seule la coiffure, et encore avec d'importantes différences, établissait un lien entre les deux ouvres. En effet, malgré toutes les comparaisons faites jusqu'à ce jour, notamment avec celle (non voilée) d'un buste des musées du Capitole1, celles d'Aelia Arisuth, peinte dans son tombeau de Gargaresh, et d'une autre défunte peinte dans une chambre funéraire de Silistra, ces deux dernières caractérisées par le voile blanc qui emprisonne complètement ou presque la chevelure2, pour ne rappeler ici que les plus suggestives, la coiffure du portrait de Chiragan n'a pas, strictement, d'équivalent connu. Le buste du Capitole permet de comprendre comment est coiffée la grande dame de Chiragan. Vers l'avant, les cheveux, très longs, sont divisés par une raie axiale, puis tirés latéralement en formant un triangle sur le front, ramassés au-dessus des tempes et des oreilles, qu'ils recouvrent complètement. Ils sont ramenés ensuite vers la nuque. Là, une cassure du marbre pourrait correspondre à l'attache qui mai ntenait rassemblé l'ensemble capillaire. En dessous naissent de fortes tresses plates qui remontent, de chaque côté, vers le sommet du crâne. La tête de Chiragan se distingue cependant de celle du Capitole par le fait que presque toute la chevelure ainsi coiffée est enfermée dans un voile, serré au plus près, qui en épouse toutes les formes. On en suppose l'étoffe suffisamment épaisse car les mèches et tresses ne transparaissent pas à travers sa texture : dans l'axe du front seule apparaît la raie médiane à proximité de laquelle les incisions pratiquées par le sculpteur traduisent la tension du tissu autant que celle des cheveux. Ces derniers ne s'échappent à peine du " bonnet " de toile qu'au sommet du front et, en délivrant une petite mèche rebelle, au-dessous des oreilles. Du buste du Capitole elle diffère aussi par une masse chevelue bien plus importante et ronde, surtout vers l'arrière et, de façon dissymétrique, vers sa gauche. De ce côté, tout le volume de cheveux semble se déporter, en générant un puissant gonflement qui renforce l'abstraction déjà conférée à la sculpture par le voile lisse. Nous n'avons malheureusement pas connaissance du buste ou de la statue qui portait cette tête, mais l'on pourrait penser que cette dernière se tournait et s'inclinait vers sa gauche pour expliquer ce mouvement de la coiffure. La tête retrouve en effet un bel équilibre lorsqu'on la regarde vers sa droite et de trois-quarts. Le sculpteur a peut-être aussi joué de cette asymétrie en opposant les courbes inégales des deux registres de la coiffure qui encadrent un visage assez rigoureusement composé. Celui-ci, inscrit dans un bel ovale, attire autant l'attention que la rareté de la coiffure. Il s'en dégage de prime abord une expression assez sévère, presque dédaigneuse. Le regard dirigé vers le haut accentue cette distance et spiritualise le personnage. L'ensemble est fermement construit, avec une nette saillie des pommettes et du menton qui ponctuent le triangle de la face. La bouche, intacte, joliment dessinée, bien qu'asymétrique, adoucit les traits. Des cernes sous les yeux, une certaine lourdeur des paupières et les sillons naso-labiaux traduisent semble-t-il l'âge déjà atteint par cette femme : peut-être entre trente et quarante ans. Plus caractéristique est l'amplitude des arcades sourcilières, qui se prolongent en un nez fin et long. Elle géométrise et stylise indéniablement une physionomie cependant individualisée. L'ouvre croise de façon originale des données propres aux portraits romains traditionnels et d'autres qui tendent vers un idéal féminin développé par l'art byzantin. Au terme de cette exposition et auprès d'une sélection de monnaies byzantines du médaillier du musée, cette ouvre qui fascine tant pose donc d'une certaine manière la question du rapport artistique entre l'Empire romain d'Orient et l'Empire romain d'Occident, définitivement séparés après la mort de Théodose en 395. À défaut de visages féminins quelque peu similaires en Occident, Elisabeth Alföldi-Rosenbaum a recherché des comparaisons avec des portraits orientaux de la période théodosienne, notamment celui de Valentinien II d'Aphrodisias et celui, plus connu encore et d'une extraordinaire perfection, d'Arcadius ou dit d'Arcadius du musée archéologique d'Istanbul. Elle a ainsi convaincu de l'appartenance du portrait de Chiragan au " beau style " ou au " style subtil " qui se sont diffusés sous les règnes de Valentinien II (375-392), de Théodose le Grand (379-395) et de ses deux fils, Arcadius (395-408) et Honorius (395-423), et à l'origine desquels les sculpteurs orientaux semblent avoir pleinement contribué. Cela revient à se demander si le portrait de Chiragan a été élaboré en Orient ou en Occident, voire en Occident par un sculpteur d'origine orientale. Probablement répondrait-on plus facilement à cette question si l'on pouvait identifier le personnage représenté. Le caractère officiel de la plupart des nombreux portraits découverts à Chiragan (empere urs, impératrices, personnages connus dans tout l'Empire) d'une part, la grande qualité de l'ouvre considérée d'autre d'art, invitent à y reconnaître l'une des nombreuses femmes de premier plan, épouses ou filles des empereurs des familles valentinienne et théodosienne. Bente Kiilerich et Jutta Meischner y voient plutôt un portrait privé. Cette question n'a malheureusement à ce jour pas reçu de réponse solide et la recherche doit se poursuivre. Cette belle dame, qui cache si soigneusement, et avec une certaine austérité, ses cheveux aurait-elle eu quelque rapport étroit avec le christianisme et son étrange coiffure traduirait-elle sa respectueuse piété ? Ou bien l'étoffe utilisée pour maintenir celle-ci, par sa préciosité, dont le marbre ne permet de juger, était-elle la marque d'une mode et d'un luxe nouveaux qui se propageront tout particulièrement au cours des premiers siècles de l'Empire byzantin ? Comme l'a rappelé récemment, lors de l'exposition Aurea Roma, Marianne Bergmann, là sont aussi les limites de l'interprétation d'une ouvre antique exceptionnelle. En elle-même et par son lieu de découverte, non loin de Toulouse, dans une villa aux allures de palais et une région où les rois wisigoths, venus d'Orient au début du Ve siècle, hésitèrent dans un premier temps entre la fidélité à l'Empire et la création d'un nouvel État, elle demeure un véritable mystère. [Daniel Cazes]

Lieu de conservation

Toulouse ; musée Saint-Raymond

Musée de France
au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002

Statut juridique

propriété de la commune ; mode d'acquisition inconnu ; Toulouse ; musée Saint-Raymond

Numéro d'inventaire

Ra 82 ; Mesuret 30139 (Ancien numéro)

Exposition

Rome face aux Barbares, Abbaye de Daoulas, 1993.
Le regard de Rome à Tarragone, Mérida, Toulouse et Rome, 1995-1996,
Musées en ballade dans le cadre de la septième édition de L'invitation au Musée organisée par le ministère de la Culture et de la Communication, Musée Toulouse-Lautrec à Albi, novembre-décembre 1997, sans catalogue.
Exposition Périple méditerranéen. Antiquités d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, 28 novembre 2003-4 avril 2004, (n° 364.)
Exposition Périple méditerranéen. Antiquités d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, Musée archéologique de Tarragone, avril - août 2005.
Exposition Périple méditerranéen. Antiquités d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, Musée archéologique de Barcelone, septembre 2005-janvier 2006.
Rome et les Barbares, Palazzo Grassi, Venise, 26 janvier - 20 juillet 2008.

Bibliographie

L'essentiel des collections 2011, musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, les guides du MSR.1. (p. 48, 49.)
Du Mège (Alexandre), Notice des monumens antiques et des objets de sculpture moderne conservés dans le Musée de Toulouse, Toulouse, 1828, (p. 100, n° 242.)
Du Mège (Alexandre), Description du Musée des Antiques de Toulouse, Toulouse, imprimerie de Jean-Matthieu Douladoure, 1835 (une autre édition du même catalogue, en 1835, chez F. G. Levrault à Paris), (p. 134-135, n° 239.)
Roschach (Ernest), Catalogue des Musées Archéologiques de la Toulouse, Musée des Augustins, Musée Saint Raymond. Toulouse, 1864, Ed. en 1892. (p. 38, n° 79.)
Espérandieu (Emile), Recueil général des bas-reliefs de la Gaule romaine, t. II, Paris, 1908, (p. 100, n° 1030.)
Rachou (Henri), Catalogue des collections de sculpture et d'épigraphie du musée de Toulouse, Toulouse, éd. Privat, 1912, (p. 52, n° 82.)
Gauzi (François), Images et Boniments au Pays d'Oc, Toulouse, éd. Privat, s. d., Toulouse, (p. 84-85.)
Delbrueck (Richard), Spätantike Kaiserporträts von Constantinus Magnus bis zum Ende des Westreichs (Studien zur Spätantiken Kunstgeschichte, 8), Berlin-Leipzig, 1933, (n° 49 f, fig. 19.)
Eydoux, (Henri-Paul), Monuments et trésors de la Gaule. Les récentes découvertes archéologiques, Paris, Editions Plon, 1958. (couverture.)
Eydoux (Henri-Paul), La France antique, Paris, Editions Plon, 1962, (chap. XI, p. 179.)
Alföldi-Rosenbaum (Elisabeth), "Portrait Bust of a young lady of the time of Justinian" et, en appendice, "Portrait Head of a Woman in Toulouse", dans Metropolitan Museum Journal, vol. 1/1968, (p. 35-40, fig. 25-28.)
Heintze (H. von), "Ein Spätantikes Mädchenporträt in Bonn. Zur stilistischen Entwicklung des Frauenbildnisses im 4. und 5. Jh", dans Jahrbuch für Antike Christentum, 14, 1971, (p. 90, n° 104.)
Stutzinger (Dagmar), "Das Bronzebildnis einer spätantiken Kaiserin aus Balajnac im Museum von Nis", dans Jahrbuch für Antike Christentum, 29, 1986, (p. 155, n° 37, pl. 26 b.)
Meischner (Jutta), "Das porträt der theodosianischen epoche II (400 bis 460 N. CHR.)", dans Jahrbuch des Deutschen Archäologischen Instituts, band 106, éd. De Gruyter, Berlin, 2001, (p. 403 et pl. 92-fig. 2.)
Kiilerich (B.), Late fourth century classicism in the plastic arts, Odense, 1993, (p. 123-124 et p. 354, fig. 68 bis.)
Catalogue d'exposition Rome face aux Barbares, Abbaye de Daoulas, 1993, (n° 85.07.)
Catalogue d'exposition Le regard de Rome, Tarragone, Mérida, Toulouse et Rome, 1995, (p. 45, n° 7.)
Baratte (François), Histoire de l'art antique : l'art romain, Paris, coll. "Manuels de l'Ecole du Louvre", 1996, (p. 250-251.)
Cazes (Daniel), Le musée Saint-Raymond, Musée des Antiques de Toulouse, éd. Somogy/musée Saint-Raymond, Toulouse/Paris, 1999, (p. 145-147.)
Archistra, n° 184-185, juin-juillet 1999. (n° 184-185.)
Mussot-Goulard (Renée), Les Goths, éd. Atlantica, Biarritz, 1999, (p. 114.)
Bergmann (Marianne), dans le catalogue de l'exposition Aurea Roma. Dalla città pagana alla città cristiana, éd. L'erma di Bretschneider, Rome, 2000, (p. 243.)
Balmelle (Catherine), Les demeures aristocratiques d'Aquitaine. Société et culture de l'Antiquité tardive dans le Sud-Ouest de la Gaule, dans Aquitania, supplément n° 10/Ausonius, Bordeaux-Paris, 2001, (p. 229-230 et p. 83, fig. 22.)
Meischner (Jutta), Bildnisse der Spätantike. 193-500. Problemfelder Die Privatporträts, éd. bnb, Berlin, 2001, (p. 113-116.)
Delbrueck (Richard), Spätantike Kaiserporträts von Constantinus Magnus bis zum Ende des Westreichs (Studien zur Spätantiken Kunstgeschichte, 8), Berlin-Leipzig, 1933, (n° 49 f, fig. 19. (bibl. de comp.).)
Popova-Moroz (Vania) et Bachvarov (Ivan), "Roman portraiture from Durostorum -Silistra- and its territory" dans Dacia, Revue d'archéologie et d'histoire ancienne, nouvelle série XXXVI, éd. de l'Académie roumaine, 1992, (p. 13-21. (bibl. de comp.). Il s'agit d'un portrait sculpté féminin de Silistra qui, vu de face, pourrait faire penser au portr ait de Toulouse, mais qu'il faut sans doute dater du Haut-Empire.)
Catalogue d'exposition Périple méditerranéen. Antiquités d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient au musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, Toulouse, musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, imp. Escourbiac, 2003, (p. 198-201, n° 364.)
Massendari (Julie), Carte Archéologique de la Gaule, pré-inventaire archéologique publié sous la responsabilité de Michel Provost, Professeur d'histoire à l'Université d'Avignon, La Haute-Garonne (hormis le Comminges et Toulouse), 31/1, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 2006, (p. 249, fig. 118.)
Veyne (Paul), Die Kunst der Spätantike. Geschichte eines Stilwandels, Stuttgart, 2009, (p. 112.)

Rédacteur

équipe du musée Saint-Raymond

Copyright notice

© Toulouse, musée Saint-Raymond, © Service des musées de France, 2017

Crédits photographiques

© Photo Jean-François Peiré CC BY-NC-SA

 

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