André Carrel est une figure marquante du journalisme militant, engagé dans tous les combats, profondément attaché au pluralisme de la presse. Sa disparition ne marque pas la fin d’une époque car plus que jamais la presse française et ses lecteurs ont besoin d’une presse citoyenne engagée dans le débat démocratique qu’il a si bien incarnée au cours de sa longue carrière.

Fervent défenseur d’une presse militante populaire, proche de ses lecteurs, il s’est battu tout au long de sa carrière pour faire vivre les grands principes du pluralisme de la presse, dans un parcours qui l’a mené du quotidien Le Peuple, à la Marseillaise, puis à l’Humanité. C’est notamment son rôle à la rédaction de l’Humanité dimanche, qu’il dirigea pendant près de 25 ans, qui aura été le plus marquant. Participant activement à la rénovation et au développement de la «petite sœur » du journal de Jaurès et Marcel Cachin, il impose progressivement l’hebdomadaire devenu aujourd’hui un des piliers du quotidien l’Humanité.
Nous n’oublierons pas non plus son engagement au sein des Amis de L’Humanité et ses années de lutte durant l’occupation qui lui ont valu d’être d'être nommé à la vice-présidence du Comité parisien de Libération. Nous partageons l’émotion de ses amis, de ses frères de combat, et de ses confrères journalistes.....

Fervent défenseur d’une presse militante populaire, proche de ses lecteurs, il s’est battu tout au long de sa carrière pour faire vivre les grands principes du pluralisme de la presse, dans un parcours qui l’a mené du quotidien Le Peuple, à la Marseillaise, puis à l’Humanité. C’est notamment son rôle à la rédaction de l’Humanité dimanche, qu’il dirigea pendant près de 25 ans, qui aura été le plus marquant. Participant activement à la rénovation et au développement de la «petite sœur » du journal de Jaurès et Marcel Cachin, il impose progressivement l’hebdomadaire devenu aujourd’hui un des piliers du quotidien l’Humanité.
Nous n’oublierons pas non plus son engagement au sein des Amis de L’Humanité et ses années de lutte durant l’occupation qui lui ont valu d’être d'être nommé à la vice-présidence du Comité parisien de Libération. Nous partageons l’émotion de ses amis, de ses frères de combat, et de ses confrères journalistes.....