Réponse n° 24529
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Domaine
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peinture
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Dénomination
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tableau
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Titre
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Le Christ acceptant son supplice
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Auteur/exécutant
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DELABORDE Henri
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Précision auteur/exécutant
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Rennes, 1811 ; Paris, 1899 ; Né en 1811 à Rennes, d'une famille d'origine bourguignonne, il entra en 1829 dans l'atelier de Paul Delaroche. Après de longs séjours en Italie, il exposa régulièrement entre 1836 et 1852, au Salon où il obtint plusieurs médailles. Pour raison médicale, il orienta ensuite sa carrière vers la critique d'art, l'étude et l'érudition. En 1855, il devint conservateur du cabinet des estampes de la Bibliothèque Nationale puis membre de l'Institut, en 1868. Reconnu et honoré, Henri Delaborde mourut à Paris en 1899
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Ecole
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France
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Période création/exécution
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2e quart 19e siècle
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Millésime création/exécution
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1849
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Matériaux/techniques
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peinture à l'huile (toile)
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Dimensions
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H. 90 ; l. 120.5
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Inscriptions
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signé ; daté
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Précision inscriptions
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Inscription peinte en noir sur fond marron clair en bas à gauche : Henri Delaborde ; Ecrit à la suite de la signature : - 1849 -
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Sujet représenté
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scène biblique (Christ, Passion, rocher, olivier, apôtre, agonie, ange)
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Précision sujet représenté
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Pour cette commande de 1848, Jésus-Christ, au jardin des oliviers, voyant les crimes et les erreurs des hommes, accepte sa passion, suit précisément le texte des évangiles : après la Cène, Jésus se rend avec trois de ses apôtres, dans un jardin, situé un peu en dehors de Jérusalem, sur les pentes du mont des oliviers. Il s'éloigne d'eux à la distance d'un jet de pierre. Tandis qu'ils s'endorment, face à la mort qu'il sent venir, il est pris d'une grande angoisse et prie Dieu d'éloigner de lui la coupe de douleur - selon Luc, une sueur de sang coule sur son visage - ce combat intérieur marque le début de son agonie qui se poursuivra jusqu'à la croix. En grec, le mot agon signifie agitation de l'âme, anxiété ; cette tension est plastiquement rendue dans la peinture, par la composition diagonale en deux parties distinctes et opposées. En bas, à gauche, les éléments statiques précisent la solitude de l'homme ; le rocher minéral monte en escalier de trois marches, et symbolise l'autel des futures églises. La lune éclaire les disciples endormis sous les arbres, indifférents au drame et l'ange, le visage caché, s'agenouille dans le faisceau de lumière divin. En haut , à droite, la vision habite le regard de Jésus ; un groupe compact de corps humains est parcouru de passions négatives : l'oppression, la révolte, la passivité, la désespérance, le vol et même le meurtre. Dans la lumière, en symétrie, un couple de jeunes gens couronnés et triomphants semblent s'échapper de ce cauchemar. Composite, l'oeuvre peinte au milieu du 19e siècle est marquée par des influences diverses où domine le courant romantique
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Source sujet représenté
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Nouveau Testament
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Lieu de conservation
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Mâcon ; musée des Ursulines
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Musée de France au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002
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Statut juridique
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propriété de la commune ; achat ; Mâcon ; musée des Ursulines
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Date acquisition
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1977 entrée matérielle
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Anciennes appartenances
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DHIKEOS Nikos
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Numéro d'inventaire
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13493
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Commentaires
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Le Christ acceptant son supplice fut présenté deux fois, au Salon par Delaborde, en 1848 et en 1850
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Exposition
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Salon de 1848 ; salon de 1850 100 peintures des collections, musée des Ursulines, Mâcon, 28 mai/26 Septembre 1999
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Bibliographie
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100 peintures des collections, musée des Ursulines, Mâcon, 28 mai / 26 septembre 1999 / Marielle Blaise Kroïchvili, Amandine Borgeot, Florence Goyon, Marie Lapalus, Françoise Rouge, Nane Tissot
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Copyright notice
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© Mâcon, musée des Ursulines, © Direction des musées de France, 2003
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Crédits photographiques
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© Tournier Pascal - utilisation soumise à autorisation, musées de Mâcon
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Demande de photographie et/ou de conditions d'utilisation
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Renseignements sur le musée
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Contact musée
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Cet artiste aux Archives Nationales (base Arcade)
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Site complémentaire
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Musées en Bourgogne
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01720003595
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