La forme adoptée est celle du testament mystique, clos au moyen d'un système d'entailles ménagées dans le parchemin afin d'y faire passer les bandes repliées du support, sous le sceau (disparu): l'ouverture du document suppose de ce fait la destruction du système de clôture. Ce dispositif imite celui utilisé pour le testament de Philippe II (AE II 214).