Précision inscriptions
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légende sous chaque image, traduction : Maintenant, demoiselle cousine, je dois m'en aller le coeur lourd! Qu'elle pense toujours à moi: moi, elle me reste à l'esprit, tant que les larmes coulent de ses yeux humides! Si une demoiselle cousine veut te voler ton coeur, appliques le même art dont tu uses d'habitude Quand tu veux honorablement t'énamourer d'un canasson Un douillet que celui qui ménage son bras Et ne veut pas taper le ballon avec notre brosse Car les corvées des paysans font bien plus de peine L'art de frapper la balle avec la raquette Est aussi une affaire à laquelle, dans la jeunesse S'il n'y a point d'abus! - l'on ne veut pas entièrement renoncer Qui donc nous ferait reproche, braves étudiants, Lorsque nous brûlâmes la claire chandelle au son de la musique, Pour cette dame que nous connaissions en tout honneur Un gentilhomme ne doit point oublier savoir se battre De sorte qu'à l'occasion, quand son ennemi veut le manger Il puisse sans hésiter se mesurer à lui avec son épée Bienvenue par la corbeille où vous êtes tombé La chère tête le sait avant tous les autres membres Et vos pieds ne le balbutieront pas comme votre langue Le cheval au galop, le paon dans ses plumes - brillent; La demoiselle dont la vertu égale la beauté, Sont comme on dit, tout de fierté parés. A la nonne là haut vous souhaitez pareilles facéties amoureuses Elle est enfermée dans sa chapelle d'art Car avant elle, au mieux maintes y ont goûté Que vous êtes fous, duellistes furieux! Comment pour de faux amours s'indigner avec témérité! Faire cela n'est qu'affaire de forts mauvais chrétiens. Lorsque les femmes sont maîtres et que d'aucuns lansquenets rôtissent Et que le froc des curés recommande la guerre Ces actes de bravoure connaissent une fort méchante issue Le monsieur-serviteur, de même la homme, le femme , Mi-curé et mi-soldat aimeraient accéder à ce pouvoir, Que tout dans l'univers cède à leur malice La marche des pieds de Léonore chérie Ses yeux et ses mains font de vous trois des sots: Et celui qui ne veut le croire a perdu tout esprit. Il est beaucoup de chutes étonnantes dans cette vie: L'un tombe à travers et l'autre à côté; Mais celui qui tombe dedans peut planer au-dessus Dieu pare la vraie noblesse de doubles vertus Celui qui accomplit des actes héroïque, celui qui se pare d'esprit Celui-là, je l'écris librement, ravit vraiment la noblesse (M Rapp) Corneli, comment donc nommer ce colportage, Qu'avec les deniers amers des parents tu n'as rien étudié Que la vanité du monde, qui mène droit en enfer. Que celui qui est chanceux auprès des demoiselles ne joue pas aux cartes: Ces choses ne s'accouplent jamais pas vraiment Et la bourse peut à peine suffire pour une seule Ma veille maman, pour vos colliers en or Je ne m'achèterai pas un furet (????) sans fin Dont seule la mort pourrait me sauver Chaque fois que je suis joyeux, je ne sais qui Fait franchir ma porte par Valentin. Maintenant il doit me payer Quand ma vieille maman dans sa lettre me grondera Comme personne ne veut de moi ni au lit ni à table Je vous vends, monsieur, les meilleures serpillères Et je frappe fortement Car je peux courber la serpette (?) Je fais mon affaire tant bien que mal Voilà pourquoi je resterai toujours un pauvre valet Comme cette femme court toujours après la prostitution Cela lui coûte maintenant son nez , celui qui nous es donné Ce serait une mauvaise loi si l'on devait vivre sans nez Ton argent, oh vieux (!) vieillard, je l'accepterais volontiers Mais comme il entraîne des peines et cent mille soucis J vais sans réfléchir me contenter du jeune Un bon verre de vin, le son charmant du luth Une demoiselle si éloquente: qui veut railler ces trois là Doit trouver ailleurs des divertissements réjouissants Je ne veux préciser le sens de cette pièce M'est d'avis qu'il ne faut pas inciter la jeunesse A ce qui la réjouit dangereusement Menez la belle en tout bien tout honneur Si vous ne savez le faire en douceur, qu'elle vous l'apprenne Mais ne vous lais sez séduire (ensorceler) par aucune oeillade Que voilà une belle bataille qui en fait rire plus d'un S'il peut avoir une dague en butin Et sur des terres étrangères se vanter de telles affaires L'un cherche dans les eaux, l'autre dans les airs, les troisième dans le feu, le quatrième dans les rochers Ce qu'ici-bas lui offrir la plénitude
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