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Identifié par F. M. Clapp (Les dessins de Pontormo, Catalogue raisonné, Paris, 1914, n° 964) comme une dérivation du Tempietto di San Pietro in Montorio, à Rome, et par J. Biscontin (L'album vasarien de Filippo Baldinucci au Louvre, Des dessins d'architecture moderne. Etude de la copie, in Dialoghi di Storia dell'Arte, 6, juin 1978, p. 34 note n° 5) comme une copie d'après une architecture peinte par D. Beccafumi dans la Sala del Concistorio du Palazzo Pubblico, à Sienne. Feuillet d'un ensemble de soixante dessins (Inv. 954-1012) d'abord attribué à J. Pontormo, puis rejeté de son oeuvre par J. Cox Rearick (The drawings of Pontormo, Cambridge, Mass., 1964, p. 403-404). Attribué ensuite à J. Zucchi (C. Goguel, Inventaire général des dessins italiens, I : Maîtres toscans nés après 1500, morts avant 1600, Vasari et son temps, Paris, 1972, n° 379, cf. p. 224 de n° 369 à 428 ; contredite par E. Pillsbury, in Master Drawings, 1974, XII, 1, p. 33 qui y voit un ensemble composite), à Domenico Rietti, dit Lo Zaga [F. Aliberti et E. Gaudioso, Gli affreschi di Paolo III a Castel Sant'Angelo, 1543-1548, cat . exp. (Rome, Museo Nazionale di Castel Sant'Angelo, 1981-1982), Roma, 1981, p. 180-181, sous n° 126] ou à S. Vini (C. Goguel, De Vérone à Florence : Sebastiano Vini dessinateur, autour du Martyre des dix-mille, in Kunst des Cinquecento in der Toskana, Munich, 1992, p. 349). F. Baldinucci ; Ier volume de sa collection, p.171 (Jacopo da Pontormo) - son fils, Francesco Saverio Baldinucci - Pandolfo Pandolfini, Camillo Pandolfini, Roberto Pandolfini, Angiolo Pandolfini, Anna Eleonora Pandolfini (épouse de Filippo Strozzi) et Eleonora Teresa Pandolfini, par héritage - Vendu par l'entremise de Filippo Strozzi, sur rapport de François Xavier Fabre, au Musée Napoléon en 1806 ; marque du Louvre (L. 1886).
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