Commentaires
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Il a décidé de n'envoyer ni aquarelles ni eaux-fortes à Londres. Il refuse de se regrouper en société d'aquafortistes et de faire une exposition. Vous savez bien que les anglais n'ont jamais goûté quoi que ce soit de nous ! (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 3513, p. 383.) Fait partie d'un ensemble de trente lettres adressées à Théodore Duret (1870-1886) (Aut. 3491 à 3520) Lettre présentée dans l'ouvrage suivant : Bailly-Herzberg, 1980, I, p. 144 Le numéro de représentation est : BS.b20.L.21 bis Paris, Hôtel Drouot, 22 février 1935, n° 114 ; achat par le musée du Louvre.
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