Description
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Grande seringue à lavement, terminée par une canule ; décor de filets et listels sur corps en métal. Ces clystères proviennent des aïeux de Louis-François Gibert, ancien directeur d'une haute école de commerce de Paris, venu prendre sa retraite dans le berceau familial. Très intéressé par l'histoire de son pays, il écrivit l'histoire médiévale de Domme, Cénac, Berbiguières, et plus rapidement de Bouzic, son village natal. Au XVIIIe siècle, ses ancêtres, propriétaires terriens, produisirent du vin pour le vendre à Bordeaux. Jacques Gibert, quant à lui, bachelier en médecine en 1786, sut éviter les problèmes juridiques avec les négociants bordelais. Bachelier et non docteur, il s'en tenait aux pratiques courantes pour rétablir ou renforcer la santé : la saignée et le lavement. Ses clystères demeuraient encore dans son ancienne maison
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