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Il lui parle de son fils, lui demande un service : une recommandation auprès du préfet de l'Eure pour obtenir un permis de circuler : Pour moi, je n'ai pas besoin de vous [dire] combien je vous suis reconnaissant de toutes vos obligeances. J'avais pensé venir à Paris ces jours-ci mais pris par de vives douleurs rhumatismales j'ajourne ce projet à des jours plus cléments, d'autant que la circulation dans Paris ne paraît pas très facile, surtout pour le vieux bonhomme que je suis. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 3292, p. 357.) Fait partie d'un ensemble de vingt sept lettres adressées à Etienne Clémentel, ministre du Commerce et de l'Industrie, (1916-1924) (Aut. 3282 à 3308) Lettre présentée dans l'ouvrage suivant : Wildenstein, 1979, IV, p. 401, n° 2292 Madame James Barrelet, née Marie-Thérèse Clémentel et Madame Jacques Arizzoli, née Marie-Adrienne Clémentel ; don en 1988.
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