Historique
|
Sans doute est-ce le fragment d'une oeuvre plus importante, qui fut collée par l 'artiste sur une toile de fond. Exécutée à Rome en 1839, cette belle étude de femme au visage douloureux se retrouve dans la décoration de la galerie des Fêtes de l'Hôtel de ville, réalisée en 1852 et connue par des gravures
|
Bibliographie
|
J. Magnin, Musée Magnin. Peintures et dessins de l'école française, Dijon, 1938 (n° 611) M.-M. Aubrun, Henri Lehmann 1814-1882, catalogue raisonné de l'oeuvre, Nantes, 1984 (n° 194) I. Julia et J. Lacambre, dans cat. exp. Les années romantiques, Nantes, Paris, Plaisance, 1995-1996 (p. 473 (répertoire)) L. Starcky, Dijon musée Magnin. Les Peintures françaises, catalogue sommaire illustré, préface d'Emmanuel Starcky, avec la participation d'Hélène Isnard, Paris, 2000 (n° 320, p. 126 repr.) Etrange visage. Portraits et figures de la collection Magnin, Dijon, musée Magnin, 2012 (n° 10, p. 58 et 130) R. Cariel, "Aux marges du portrait peint. Territoire d'un genre, au prisme d'une ancienne collection privée", in Bulletin des Musées de Dijon, n° 13, 2012-2013 (2014), p. 85-93 (p. 88 fig. 7)
|