Historique
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Ce petit caprice attribué parfois à Coccorante doit être placé dans l'entourage d'un Francesco Guardi à Venise ; rien ne rappelle ici le style visionnaire, luministe et tourmenté du grand védutiste napolitain : il s'inscrit au contraire, par sa mise en page, ses taches de lumière et son écriture virtuose dans la lignée directe des Guardi à Venise. (in BREJON de LAVERGNEE Arnauld (sous la dir. de), "Peintures napolitaines du musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon", 1986, p.47, notice par A. Brejon de Lavergnée)
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Bibliographie
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LAPRET Paul, Musée Jean Gigoux à Besançon, Catalogue des peintures et dessins, Besançon, Impr. Dodivers, 1902, p.25 ; MAGNIN Jeanne, La Peinture et le dessin au Musée de Besançon, Dijon, Impr. Darantière, 1919, p.236-17 ; CHUDANT Adolphe, Musées de Besançon. Catalogue des peintures et dessins : collection Jean Gigoux, Adrien Pâris, écoles anciennes, Besançon, Impr. de l'Est, 1929, p.32 ; CORNILLOT Marie-Lucie, LERAT Lucien, et al., Besançon, le plus ancien musée de France, cat. exp. [février - avril 1957, Musée des arts décoratifs, Paris], Paris, Impr. Tournon, 1957, p.117 ; BREJON de LAVERGNEE Arnauld (sous la dir. de), Peintures napolitaines du musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon, cat. exp. [3 juillet - 4 octobre 1982, Musée des beaux-arts et d'archéologie, Besançon] (réédition réalisée à l'occasion de l'exposition de ces peintures au musée d'Unterlinden à Colmar en avril - mai 1986), Besançon , musée des beaux-arts et d'archéologie, 1982, p.47
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