Commentaires
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Il parle du prince Stirbey qui l'héberge et de ses problèmes financiers. Il souffre attrocement : Je ne me vois plus dans une voie de convalescence. Le mal est trop intense. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 151, p. 54.) Lettre présentée dans les ouvrages suivants : Chesneau, 1880, p. 172 repr. -- Clément-Carpeaux, 1935, II, p. 116 Etienne Moreau-Nélaton ; legs en 1927.
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Exposition
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De Corot aux Impressionnistes. Donations Moreau-Nélaton, Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 1991, n° 401.
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