Commentaires
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Il parle de ses difficultés financières à Londres. Il parle du projet de Durand-Ruel de fonder un établissement sérieux. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 268, p. 76.) Daubigny se trouvait à Villerville lorsque la guerre contre la Prusse éclata et, comme d'autres artistes parmi ses contemporains, il se réfugia à Londres pour mettre sa famille en sécurité. Ses premières impressions sont mauvaises et le climat ne l'enthousiasme guère plus. Les possibilités de vendre paraissent inexistantes. Heureusement, l'espoir renaît avec l'ouverture de la galerie Durand-Ruel et l'espoir de commandes. C'est grâce à Durand-Ruel que des artistes comme Daubigny et Monet ne sont pas morts de faim. (Souvenirs de voyages, 1992) Lettre accompagnée d'une enveloppe Lettre présentée dans les ouvrages suivants : Moreau-Nélaton, 1925, pp. 102-103 - A. Sérullaz, V. de Chillaz, Souvenirs de voyages, Paris, 1992, p.114 Etienne Moreau-Nélaton ; legs en 1927.
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Exposition
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Souvenirs de voyage. Autographes et dessins français du XIXe siècle, Paris, musée du Louvre, Cabinet des dessins, 1992, n° 106
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