Domaine
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vie politique - administrative ; croyances - coutumes ; ethnologie ; Asie orientale
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Dénomination
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sceptre
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Appellation
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sceptre ruyi
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Lieu création / utilisation
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Asie, Chine (lieu d'exécution)
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Epoque/style/mouvement
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époque Ming
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Genèse
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objet en rapport
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Historique
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voir aussi : dessin (2002.14.62)
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Matériaux/techniques
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alliage ferreux, argent, soie, coton, damasquiné, tressé
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Description
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Sceptre Ruyi, dit magique. Sur l'endroit, longue inscription damasquinée d'argent en caractères chinois anciens ; au revers, décor de rosaces entrelacées, également damasquinées. Une passementerie de soie laisse s'échapper des fibres de coton
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Dimensions
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Longueur en cm 48.5 ; Largeur en cm 11 ; Hauteur en cm 5.7 ; Poids en gr 1083
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Inscriptions
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inscription (chinois)
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Précision inscriptions
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inscription manuscrite, Au dessus : longue inscription damasquinée d'argent en caractères chinois anciens
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Utilisation/destination
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objet du culte
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Précision utilisation/destination
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Contrairement à ce que pensaient les Occidentaux, ce genre de sceptres n'étaient pas des symboles impériaux mais plutôt des marques d'amitié et de bienveillance. Objets purement décoratifs souvent sculptés dans du jade, ils étaient offerts lors de cérémonies d'anniversaire ou autres occasions à propos. Appelés joo-ee, " selon votre souhait ", ils étaient échangés comme marque d'amitié ou d'hommage. Le sceptre ruyi n'était donc pas un symbole de pouvoir comme le sont les sceptres occidentaux ; cette croyance fut pourtant perpétuée par les artistes chinois eux-mêmes qui n'hésitaient pas à détourner des éléments de leur propre culture afin de satisfaire les clients occidentaux. Pour attirer le bonheur conjugal, la famille du fiancé, autrefois, remettait un sceptre à la famille de la fiancée. Objet rituel du culte bouddhique et emblème de l'autorité monastique, le sceptre ruyi est aussi l'insigne de dignité du mandarin, fonctionnaire civil ou militaire
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Précision sujet représenté
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La tête a la forme d'un champignon de longévité stylisé
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Etat de conservation
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En 2012 : Etat moyen
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Lieu de conservation
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Nantes ; musée départemental Dobrée
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Musée de France au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002
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Statut juridique
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propriété du département ; legs ; Loire-Atlantique ; musée départemental Dobrée
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Date acquisition
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1896
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Anciennes appartenances
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Louirette M., vente Louirette, 1864, (D'après une lettre à Giraud de Savine, 12 Mars 1864 L'acquisition du "sceptre des Ming, objet très curieux en lui-même" se fit lors de la vente Louirette, qui est une cause de grands regrets pour Dobrée. "J'avais dans mon plan de maison un petit salon que je nommais la Chine, parce que mon intention était de l'orner de bronzes et de porcelaines de cet étonnant pays, mais je vais avec tristesse effacer le nom témérairement donné". En revanche, il faut souligner ses relations, à cette occasion, avec le collectionneur Jacquemart.) ; Dobrée Thomas II
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Numéro d'inventaire
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896.1.955
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Commentaires
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Fiche papier inventaire de Dominique Costa : ép XIXs
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Exposition
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Thomas Dobrée 1810-1895. Un homme, un musée, 1997, Nantes
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Bibliographie
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Catalogue général des collections du Musée Th. Dobrée. par P. de Lisle du Dreneuc, conservateur, Mr l'Abbé Durville et M.P. Soullard, 1906. Nantes, imprimerie moderne. (p. 80, n° 520) "famille verte" et "famille rose", 1644-1912, Paris, Fribourg, 1986 (p. 292) "Voyage à la Chine" 1817-1827 Collection Th. Dobrée, Marie Richard, Nantes, 1988 (p. 63) Thomas Dobrée (1818-1895) un homme, un musée, 1997 ( p.265 n°465) ou Trésor du symbolisme chinois, Paris, 2001. (pp. 98 à 100) -21 et 22 Septembre 2002, Groupe Servarts Beaux Arts, Bruxelles, 2002 (n° 94)
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Rédacteur
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Pacor Elodie ; Campanini Viviane ; Bagrin Sylvie
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Copyright notice
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© Nantes, musée départemental Dobrée, © Service des musées de France, 2012
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Crédits photographiques
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© Chantal Hémon
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demande de photographie et/ou de conditions d'utilisation
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Renseignements sur le musée
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Contact musée
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07450040523
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