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Dossier
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Grands documents de l'histoire de France ; Armoire de fer
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N° notice
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AF-03091
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Série
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AE/I : Armoire de fer ; Carton n° 26 : Etat civil de la famille impériale.
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Cote
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AE/I/11-12/10/1
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Analyse
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Acte de baptême de "la princesse Marie Pauline" Bonaparte, duchesse de Guastalla, née le 10 octobre 1780, rédigé en italien, traduit et vu par le préfet le 9 juillet 1806. Possible trace de cachet, aujourd'hui disparu, et plusieurs tampons dont celui de la République Française.
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Dates document
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1780/10/10 -- 1806/07/09
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Accès
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original non accessible (conservé en réserve du musée)
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Reproduction
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tirage photographique; fichier numérique
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Support
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papier
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Taille
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31,5 x 20,5 cm
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Technique
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manuscrit;encre
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Type de document
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document écrit ; acte de baptême ; acte de naissance ; état civil ; document produit par une administration
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Noms de personnes
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Bonaparte, Pauline (1780-1825) (princesse Borghèse) ; Bonaparte, Charles (1746-1785) ; Bonaparte, Maria Letizia (1750-1836)
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Noms de lieux
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Ajaccio (Corse-du-Sud) ; Corse-du-Sud (Corse - département) ; France -- XIXe siècle ; Liamone (département) -- XIXe siècle ; France -- XVIIIe siècle ; Guastalla (Italie) -- XIXe siècle ; Corse (France - région administrative)
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Mots clés
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France -- XVIIIe siècle ; France -- XIXe siècle ; Corse ; famille Bonaparte ; Italie ; maire ; état civil ; naissance ; baptême ; paroisse ; département ; préfet ; Premier Empire ; règne de Napoléon Ier (1804-1814, 1815) ; famille impériale
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Notes
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Ce document était contenu dans un dossier consacré à l'acte de naissance de "Maria Paola" Bonaparte. Née à Ajaccio le 10 octobre 1780, elle est la deuxième fille de Charles Bonaparte et de Maria-Letizia Ramolino. Son parrain était Lucien "de Bonaparte", archidiacre de la cathédrale. En 1803, elle avait épousé le prince Camille Borghèse (1775-1832), gouverneur du Piémont (AE/I/11-12/10/2). Par décret du 30 mars 1806, Napoléon a attribué au couple Borghèse la principauté de Guastalla, en actuelle Emilie-Romagne. Pour J. Tulard, cette décision de rétablir le titre de prince à tous les membres de sa famille revenait à rétablir la noblesse, "même si ces nouveaux fiefs étaient tous situés à l'étranger" (cf. J. Tulard, "Napoléon ou le mythe du sauveur", Paris, Fayard, 1987, réed. 2003, p. 329).
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