Le premier volume numérique « Places fortes des Hauts-de-France » a été publié.

Suite aux premières journées d'études sur les places fortes des Hauts-de-France, conduites en octobre 2016 par la Direction régionale des affaires culturelles Hauts-de-France - Pôle Patrimoines et Architecture - Service régional de l'Archéologie et l'Institut de recherches Historiques du Septentrion à l'Université de Lille SHS Villeneuve d'Ascq, le premier volume numérique « Places fortes des Hauts-de-France » a été publié

 « Ce cinquante-septième volume de la collection IRHiS regroupe les communications des premières journées d'études consacrées aux places fortes de la région Hauts-de-France. Ces journées ont été organisées les 6 et 7 octobre 2016 par le Service régional de l'Archéologie Hauts-de-France (Direction régionale des Affaires culturelles, Pôle Patrimoines et Architecture) et l'Institut de recherches historiques du Septentrion (UMR 8529, Univ. Lille, CNRS). Elles ont accueilli universitaires, historiens, archéologues, doctorants et associatifs qui ont présenté actualités et recherches inédites sur les places fortes du littoral et de l'arrière-pays (Pas-de-Calais et Somme).

Les treize contributions réunies dans cet ouvrage reflètent la diversité des champs d'investigation de la fortification médiévale et moderne et offrent des éléments de réflexion à l'élaboration future d'une synthèse régionale commune. Elles livrent les résultats de plusieurs opérations archéologiques récentes, préventives (motte et château de Saint-Omer, château d'Hardelot et donjon de Bours) et programmées (enceinte urbaine de Boulogne-sur-Mer, châteaux de Boves, d'Eaucourt-sur-Somme, d'Étaples et de Fressin, porte de Montrescu à Amiens). Elles présentent les conclusions de recherches thématiques (les origines du château en Picardie occidentale à travers les exemples de Méaulte, Démuin, Airaines, Clairy et Toutencourt, la fortification des faubourgs amiénois, les embrasures de bouches à feu du château de Montcavrel, des remparts de Montreuil et de la motte de Guînes). Enfin, elles exposent les objectifs des programmes de recherche – en cours ou à venir – des villes fortifiées de la région (Ardres, Béthune et Thérouanne) ».

Ouvrage accessible sur le site de l’IRHIS :  http://books.openedition.org/irhis/813