Népalais
Le népalais ou népali (autonyme : नेपाली, nepālī) est une langue de la famille indo-iranienne parlée au Népal, en Inde et au Bhoutan. C'est la langue officielle du Népal. En Inde, plus de deux millions de personnes ont pour langue maternelle le népalais qui est de ce fait une des langues administratives et est notamment la langue officielle de l'État du Sikkim ainsi qu'une des langues officielles additionnelles dans le district de Darjeeling (Bengale-Occidental). Le népalais s'écrit en devanagari, la même écriture que pour le hindi. Elle est la langue maternelle de douze millions des Népalais (45 % de la population népalaise). Le népalais est parlé par un peu plus de 35 millions de personnes dans le monde. Le népalais a plusieurs noms : khaskura (« langue des Khas »), gorkhali ou gurkhali (« langue des Gurkhas »), népali (« langue du Népal »), et parbatiya, (« langue des montagnes »). Le népalais est la plus orientale des langues pahari, un groupe de langues et dialectes parlés le long de l'Himalaya depuis l'est du Népal à travers les États indiens de l'Uttaranchal et du Himachal Pradesh.Le tchèque (en tchèque : čeština /ˈtʃɛʃcɪna/ Écouter) fait partie des langues slaves occidentales, avec le kachoube, le polonais, le slovaque et le sorabe, branche de la famille des langues indo-européennes. Il est principalement parlé en Tchéquie, ce qui représente environ onze millions de locuteurs. Le tchèque est très proche du slovaque et, à un moindre degré, du polonais et du ruthène. La plupart des adultes tchèques et slovaques sont capables de se comprendre mutuellement sans difficulté. En effet, ils ont été, à l'époque de la Tchécoslovaquie, en contact permanent avec les deux langues par l'intermédiaire de la radio et de la télévision nationale. Les écoles également proposaient aux enfants des contes dans la seconde langue pour les familiariser. Chacun était bilingue jusqu'à la partition de la Tchécoslovaquie le 1er janvier 1993. Aujourd'hui encore, Tchèques et Slovaques ont des programmes de télévision communs. Malgré cela, les plus jeunes qui n'ont pas connu l'époque de la Tchécoslovaquie peuvent éprouver des difficultés de compréhension lors de l'emploi de certains mots très différents, ou d'une expression orale trop rapide. Cependant, le tchèque pouvait[réf. nécessaire] encore s'employer dans une communication officielle avec les autorités slovaques et tous les documents de la Tchéquie doivent être acceptés grâce à la loi 270/1995 et la loi additionnelle 318/2009. En raison de sa complexité, le tchèque est considéré comme difficile à apprendre. Cette complexité provient principalement d'une grande variété dans la morphologie et dans la syntaxe. Comme dans toutes les langues slaves (à l'exception du bulgare moderne et du macédonien moderne), les mots (les noms, pronoms et adjectifs) se déclinent selon leur rôle dans la phrase. Sous cet aspect, la grammaire du tchèque et des langues slaves est plus proche des origines indo-européennes que les autres langues indo-européennes, dans lesquelles les déclinaisons se sont appauvries (comme en allemand), ou même ont pratiquement disparu (comme en français).
Source : Wikipedia francophone
Alphabets
- devanagari
- alphabet tchèque
Codes de langue
SOURCE | Code | URL |
---|---|---|
code iso 639-1 de la langue | cs, ne | |
Code iso 639-2 | ces, cze, nep | |
Code iso 639-3 | npi |