2016
Rencontre avec Jack Ralite le 12 octobre 2016 à l'Université de Paris Diderot (75013) organisée avec le concours du Comité d'histoire
Rencontre avec Jack Ralite entouré de Jean-Paul Dekiss, Nedim Gürsel, Claudine Joseph, Daniel Mesguich, Pierre Musso, Jean-Claude Petit et Serge Regourd.
Le débat a été animé par Laurent Fleury, professeur de sociologie à l’Université Paris Diderot avec Bernard Faivre d’Arcier, ancien directeur du théâtre et des spectacles, ancien directeur du Festival d’Avignon, membre du Comité d’histoire.
Cette rencontre a inaugurée les Journées Diderot "Culture et Politique" du Master "Politiques culturelles" et est organisée par l’axe "Art, culture et politique" du Laboratoire du Changement Social et Politique ainsi que par le Comité d’histoire du ministère de la Culture et de la Communication.
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"Les États Généraux de la Culture se créèrent en 1987 suite à la venue en France de la 5, chaîne de Berlusconi, et contre la vente de TF1 au groupe Bouygues. Ils se déployèrent en quatre étapes aux salles pleines : Théâtre de l’Est Parisien (9 février), Tour de France en 16 villes (printemps), Théâtre de Paris (17 juin) et un Zénith comble (16 novembre).
L’élaboration d’une Déclaration des droits de la culture, en procède, traduite depuis en 14 langues, véritable sursaut éthique de tout le monde des arts et lettres, sans rivage. Les États Généraux de la Culture proclameront six obligations : audace de la création, obligation de production, élan du pluralisme, volonté de maîtrise nationale de la distribution, atout d’un large public, besoin de coopération internationale.
Pendant 20 ans, en France, notamment à Cannes et en Avignon, en Afrique (7 pays), au Chili et en Colombie, à Berlin, à Prague, en Italie et en Suisse, en URSS, aux États-Unis et au Canada, au Conseil de l’Europe, les réflexions et les actions se multiplièrent gardant à l’esprit qu’un peuple qui abandonne son imaginaire culturel à l’affairisme se condamne à des libertés précaires.
C’est ainsi qu’avec d’autres, nous avons conquis « l’exception culturelle », fait rejeter l’AMI (Accord Multilatéral sur l’Investissement), fait échouer la conférence de l’OMC à Seattle, fait en sorte de ne pas appliquer la convergence à la conférence de Birmingham, nous avons aussi réfléchi sur les nouvelles technologies et la culture, défendu le droit d’auteur, particulièrement le droit moral, et bien d’autres choses. Ces actions et d’autres ont fait que les États Généraux (ni association, ni syndicat, ni parti) ont constitué l’un des plus grands mouvements culturels que la France ait connu après la Seconde Guerre mondiale. Ce fut un chant général culturel, riche de ses diversités nationales, sans étatisme plébiscitaire, ni affairisme publicitaire, qui a toujours sa raison d’être, notamment depuis la reprise de l’AMI sous une forme encore plus pernicieuse, celle du TAFTA (Trans-Atlantic Free Trade Agreement, en français Accord commercial transatlantique)".
Jack Ralite
2015
Journée de l'étudiant le 13 octobre 2015 aux Archives nationales (93380) organisée avec le concours du Comité d'histoire
À l’occasion des journées de l’étudiant organisées par les Archives nationales, le Comité d’histoire et la mission des archives du ministère de la Culture et de la Communication animeront deux ateliers.
De 11h30 à 13 h – Histoire de l’enseignement de l’architecture
- Présentation du projet de recherche soutenu par le Comité d’histoire par Arlette Auduc, conservateur en chef (H) du patrimoine, correspondante Patrimoine au Comité d’histoire
- Présentation de fonds d’archives concernant le projet de recherche conservés aux Archives nationales par Clothilde Roullier et Marine Zelverte, Département Éducation Culture Affaires Sociales (AN)
Le but de cet atelier est de découvrir des pistes de recherches susceptibles d’intéresser des étudiants qui pourront être associés au projet de recherche
De 15h à 16h30 – L’accès aux archives à l’étranger
Comment effectuer des recherches dans les services d’archives dans d’autres pays ? Quelles sont les dispositions législatives et réglementaires ? Quelles sont les conditions d’accès et les ressources disponibles ?
4 cas pratiques
- La Belgique avec Anne Gilon, archiviste
- Le Brésil avec Angelica Marques, professeur à l’Université de Brasilia
- Les États-Unis avec Églantine Pasquier, doctorante à l’Université de Paris 1
- La Russie avec Vincent Bouat, chef de la mission des archives au ministère de la Culture et de la Communication
Inscription préalable à comitehistoire@culture.gouv.fr
Table ronde organisée en partenariat avec le Comité d'histoire le 30 septembre 2015 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
À l'occasion du centenaire de la naissance de Gaëtan Picon, le Comité d'histoire du ministère de la Culture et de la Communication, le Musée national Picasso-Paris, la Maison des écrivains et de la littérature (MEL) et l'Institut Mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) organisaient quatre manifestations (du 30 septembre au 14 octobre 2015) pour rappeler le parcours et l'influence de celui qui fut directeur général des Arts et Lettres du ministère des Affaires culturelles, directeur de revues, théoricien, essayiste, historien de l'art, écrivain.
Ce cycle était placé sous la direction scientifique d'Agnès Callu (IHTP/CNRS).
La première rencontre s'est déroulée le 30 septembre 2015 au ministère de la Culture et de la Communication.
- [Programme] (pdf)
- [Communications]
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
- Pour aller plus loin :
Admirable tremblement du temps, par Gaëtan Picon, L'Atelier contemporain, 2015
Présence critique de Gaëtan Picon : dans l'ouverture de l’œuvre, par Aurélia Maillard Despont, Classiques Garnier, 2015
Rencontre-débat organisée par le Comité d'histoire le 13 avril 2015 à la Bibliothèque nationale de France (75013)
L'histoire de la politique culturelle française depuis la fondation du ministère des Affaires culturelles par André Malraux en 1959 est faite d'images, de symboles, souvent personnifiée à travers la figure de ses ministres. Référence devenue mondiale, l’ambition première et avant-gardiste a-t-elle su relever son propre défi ? À partir de quatre séquences d’images d’archives issues des collections de l’Ina, spécialistes et témoins retraceront cette histoire en donnant à voir que le questionnement initial est resté bien souvent d’une grande actualité.
Débat organisé en partenariat avec le Comité d’histoire du ministère de la Culture et de la Communication.
En présence d’Agnès Saal, présidente-directrice générale de l’Ina et de Maryvonne de Saint Pulgent, présidente du Comité d’histoire du ministère de la Culture et de la Communication
Avec la participation de :
- Guillaume Bourjeois, secrétaire général du Comité d’histoire,
- Bernard Faivre d’Arcier, ancien directeur du théâtre et des spectacles, ancien directeur du Festival d’Avignon,
- Laurent Martin, professeur d’histoire culturelle et médiation culturelle à Paris 3,
- Jean-Claude Pompougnac, correspondant du Comité d’histoire.
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- [L'invitation] (pdf)
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
2014
Table ronde organisée en coordination avec le Comité d'histoire le 7 novembre 2014 au Cefedem Rhône-Alpes (69002)
A l'occasion de la publication du livre de Noémi Lefebvre Marcel Landowski, une politique fondatrice de l'enseignement musical, 1966-1974, co-édité par le Comité d'histoire et le Cefedem Rhône-Alpes dans la collection des Cahiers de recherches, une table ronde s'est tenue le 7 novembre 2014 au Cefedem Rhône-Alpes à Lyon.
Ce rendez-vous a réuni :
- André Dubost (Compositeur, Inspecteur de la musique),
- Geneviève Gentil (Conseiller du Président du Comité d'histoire du ministère de la Culture),
- Noémi Lefebvre (Docteur en science politique, responsable du centre d'études sur l'enseignement et les pratiques musicales au Cefedem Rhône-Alpes).
- Jean-François Marguerin (Directeur régional des affaires culturelles, ministère de la Culture),
- Jacques Moreau (Directeur du Cefedem Rhône-Alpes),
- Guy Saez (Directeur de recherche CNRS),
- Eddy Schepens (Rédacteur en chef de la revue Enseigner la Musique, professeur honoraire du CNSMD de Lyon et directeur adjoint honoraire du Cefedem Rhône-Alpes).
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- [L'invitation] (pdf)
- [La vidéo] (2h30')
Table ronde organisée par le Comité d'histoire le 5 novembre 2014 à La Documentation française (DILA) (75007)
Le 5 novembre 2014, le Comité d’histoire organisait un débat à l’occasion de la publication de Quelle politique pour la culture ? Florilège des débats (1955-2014) éditée par la Documentation française dans la collection "Doc en poche". Sous la présidence de Maryvonne de Saint Pulgent, Philippe Poirrier, professeur à l’Université de Bourgogne et coordinateur de l’ouvrage a débattu avec Laurent Martin, professeur à l’Université de Paris 3 et David Kessler, conseiller d’État, ancien conseiller culturel de François Hollande.
A l’occasion de la parution de la 4e édition revue et augmentée de La politique culturelle en débat. Anthologie, 1955-2012 (La Documentation française, 2013), théoriciens et praticiens, politiques et militants ont parcouru plus de 50 ans d’histoire culturelle. Une analyse rétrospective qui questionne le quotidien et l’avenir des politiques publiques de la culture.
En effet, en 1955, Jeanne Laurent publiait La République et les Beaux-Arts, pamphlet dans lequel elle réclamait « une autonomie administrative comme la seule solution pour construire une politique publique de la culture ». Depuis, « le ministère de la Culture et un ensemble de politiques publiques se sont installés dans le paysage administratif français » et désormais, c’est la question même de ce modèle qui est posé. Il a vécu des « changements majeurs » et « l’ensemble de [ses] acteurs évoquent en continu depuis le milieu des années 90 la question d’une crise. Mais une crise [qui dure] depuis plus de quinze ans, est-ce toujours une crise ? »
En rappelant la genèse de l’ouvrage, Philippe Poirrier explique quelle a été l’ambition du projet : sélectionner une soixantaine de textes qui permettent au lecteur de bien comprendre les débats autour des politiques culturelles, significatifs des « changements de paradigme » vécus par le ministère.
Laurent Martin, pour lequel cet « ouvrage est un véritable manuel à qui s’intéresse au sujet, qu’il soit étudiant, journaliste, militant, fonctionnaire ou simplement curieux », indique que sa lecture linéaire et exhaustive montre bien comment la politique culturelle s’est affirmée et légitimée au cours des 50 dernières années. Tout en rappelant que pour lui, cette anthologie laisse une trop grande place à la « centralité de l’État », au détriment peut-être notamment de la diversité culturelle.
Il note également le fait que nous sommes passés « d’une entreprise de politisation de pratiques sociales et culturelles à une technicisation, une professionnalisation, une institutionnalisation croissantes, qui risquent de vider de son contenu et des enjeux proprement culturels une politique culturelle qui finalement pourrait devenir simplement la gestion d’un secteur économique, social, parmi d’autres ».
A l’instar des autres intervenants, il « mesure le chemin parcouru », pointant ainsi la place aujourd’hui prépondérante des industries culturelles.
David Kessler, fort de son expérience en tant que praticien, au cœur du politique, fait part de son sentiment sur la façon dont les acteurs de la culture ont évolué depuis ces 20 dernières années. Ils ont su assimiler les évolutions qui leur étaient imposées, tout en étant parfois bousculés par des enjeux qui les dépassent. Il relève aussi quelques constantes : « la tension entre patrimoine et création », « la question de l’éducation artistique […] et celle de la démocratisation culturelle ». Il s’interroge enfin sur les « impensés » des politiques culturelles : « la déconcentration et la décentralisation », la place des établissements publics dans le paysage culturel français, observant que « le ministère n’a pas revu véritablement sa mission ».
Réagissant notamment à la fois au rôle central de l’État et à la problématique de la déconcentration/décentralisation, Maryvonne de Saint Pulgent rappelle que « l’idée que tout part de l’État est une idée des Lumières. La politique de l’art est trop sérieuse et c’est l’État qui la mène, parce qu’elle concerne le bonheur de tous les citoyens ». « L’histoire officielle » veut que tout soit à l’initiative de l’État, mais en fait il n’en est rien. De plus, elle pointe le paradoxe que nombre d’initiatives locales – notamment la création d’écoles de musique communales – ne se sont « considérées comme légitimes qu’après avoir été labellisés par l’État central, parce nous sommes dans cette idée que la légitimité de la politique culturelle vient de l’État ».
- [L'invitation] (pdf)
Journée de l’étudiant le 14 octobre 2014 aux Archives nationales (93380) organisée avec le concours du Comité d'histoire
A l'occasion de cette journée organisée par les Archives nationales, le Comité d’histoire a présenté "Les politiques de la culture" dans le cadre de l'Atelier de l’histoire.
Présidence et intervention de Jean-Claude Pompougnac, (correspondant du Comité d’histoire) : Synthèse des séances 2012-2013 et 2013-2014 du séminaire ''La démocratisation culturelle au fil de l’histoire contemporaine''
Avec la participation de :
- Laurent Martin, (professeur à Paris 3) : Les industries culturelles
- Pierre Moulinier, (correspondant du Comité d’histoire) : Histoire de la territorialisation de la culture
- Malcolm Théoleyre, (doctorant, Sciences-Po), et Marie Poinsot, (chef du département des éditions du Musée de l’histoire de l’immigration) : Multiculturalisme et diversité culturelle
- Laurent Martin et Élisabeth Caillet, (membre fondateur du Collectif Culture) : Fonds d’archives : le « Collectif Culture »
- Audrey Clergeau, (adjointe au chef de la mission des archives du ministère de la culture et de la communication) : Guide des sources sur les Grands Travaux culturels
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- [L'invitation] (pdf)
- [Les communications]
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La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
Table ronde organisée en partenariat avec le Comité d'histoire le 13 mai 2014 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
La mission de la communication interne du ministère a organisée dans le cadre des "Midis de la Culture" en partenariat avec le Comité d'histoire une table ronde à l'occasion de la publication de l'ouvrage d'Angéline Escafré-Dublet "Immigration et politiques culturelles", paru à la Documentation française en 2014.
Angélique Escafré-Dublet, auteure de la thèse "Culture et immigration : de la question sociale à l'enjeu politique, 1958-2007", est docteur en histoire, chargée du projet européen "Divercities", à l'Institut d'urbanisme de Paris. Ses recherches portent sur l'immigration et la diversité culturelle, en France et en Europe. Elle est l'auteure d'articles sur de nombreux thèmes, notamment les politiques publiques en direction des immigrés, en français et en anglais, dans les revues "Genèses", "Raisons Politiques", "Histoire@Politiques", "Annales de démographie historique" et "Diversities". Elle enseigne à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.
Animation par Marie Poinsot (docteur en sciences politiques, responsable du département Éditions du Musée de l'histoire de l'immigration et rédactrice en chef de la revue "Hommes et Migrations"), et Jean-Claude Pompougnac, correspondant au Comité d'histoire, qui a évoqué l'intérêt de l'approche historienne pour clarifier les relations complexes entre les politiques culturelles en direction des populations immigrées, le soutien aux "cultures immigrées" et les différentes conceptions de la diversité culturelle.
A l'occasion de la parution de l'ouvrage «Le cinéma : une affaire d’État», le Comité d’histoire organisait le 31 mars 2014 une rencontre où se côtoyaient historiens et professionnels du cinéma. (Ré)écoutez le débat animé par Jean Lebrun.
Dès 2010, le Comité d’histoire a souhaité travailler sur le cinéma et notamment sur le rattachement du Centre national de la cinématographie (CNC) au ministère des Affaires culturelles en 1959 duquel découleront un certain nombre de politiques publiques en faveur du cinéma. Ce chantier a été réalisé en collaboration avec l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, et plus particulièrement avec le laboratoire HiCSA (Histoire culturelle et sociale de l'art), sous la direction scientifique de Dimitri Vezyroglou.
Dans le cadre de ce chantier ont été organisées les 23 et 24 janvier 2013 à l’INHA deux journées d’études intitulées "Autour de la politique du cinéma en France (1945-1970) : enjeux et contextes".
En mars 2014, les différentes communications de ces journées d’études ont été publiées dans la collection Travaux et documents sous le titreLe cinéma : une affaire d'État, 1945-1970. Sous la direction de Dimitri Vezyroglou, et en collaboration avec Alain Auclaire, y ont contribué Laurent Creton, Sébastien Denis, Pauline Gallinari, Frédéric Gimello-Mesplomb, Frédéric Hervé, Pascal Legrand, Mélisande Leventopoulos, Stéphanie-Emmanuelle Louis, Gaël Péton, Aurélie Pinto, Léo Souillés-Debats et Guillaume Vernet.
Le 31 mars 2014, en collaboration avec le CNC, le Comité d’histoire a organisé à l'INHA une table-ronde animée par Jean Lebrun, journaliste et historien, producteur de "La Marche de l'histoire" sur France Inter, avec :
- Pierre-Jean Benghozi (directeur de recherche au CNRS et professeur à l’École Polytechnique),
- René Bonnell (docteur en sciences économiques),
- Pascal Ory (professeur à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne),
- Béatrice de Pastre (directrice adjointe du patrimoine cinématographique),
- Alain Sussfeld (directeur général du groupe UGC),
- Dimitri Vezyroglou (maître de conférences à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne).
Après une présentation historique depuis 1945 par Pascal Ory, le débat s’est orienté sur les enjeux du cinéma aujourd’hui. Défini comme à la fois un fleuron industriel dans sa manière d’opérer et un des fers de lance de la vitalité culturelle française, il est une exception reconnue au niveau international. Il a su s’adapter aux évolutions technologiques qui se sont développées depuis la deuxième moitié du XXe siècle, de l’apparition du « petit écran », puis du magnétoscope, plus tard des DVD. Aujourd’hui, la mise à disposition massive de films en VOD annoncerait-elle la mort du cinéma ?
Parce que l’histoire interroge le présent, c'est sous le regard de l'historien que témoins et praticiens ont échangé des réflexions sur cette «industrie créative».
- [L'invitation] (pdf)
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La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
2013
Table ronde organisée à l'initiative du Comité d'histoire en hommage à Jacques Rigaud le 13 décembre 2013 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
La ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, avec le concours du Comité d'histoire, a rendu hommage à Jacques Rigaud (1932-2012) lors d'une table ronde le 13 décembre 2013.
Présidée par Maryvonne de Saint Pulgent (conseiller d'Etat, présidente du Comité d'histoire), cette soirée a réunie :
- Catherine Tasca (ancienne ministre et sénatrice), témoignage,
- Pierre-Michel Menger (professeur au Collège de France), Le service de l'Etat et le service de la culture : une trame biographique,
- Philippe Labro (écrivain, journaliste et cinéaste), Jacques Rigaud à R.T.L.,
- Guy Saez (directeur de recherche au CNRS), Jacques Rigaud et le développement culturel.
- [L'invitation] (pdf)
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[Les actes de cette table ronde au format imprimé sont disponibles sur demande dans la limite des stocks disponibles]
Table ronde organisée en collaboration avec le Comité d'histoire le 19 décembre 2013 à l'Institut national d'histoire de l'art (75002)
A l’occasion de la sortie de l’ouvrage "1913. Genèse d’une loi sur les monuments historiques", publié à la Documentation française avec le soutien de la Direction générale des patrimoines et du Comité d'histoire du ministère de la Culture et de la Communication, une table ronde s'est tenue 19 décembre 2013 à l'INHA.
Les auteurs de l’ouvrage ont dialogué avec :
- Stéphane Duroy (professeur à l’Université de Paris-Sud),
- Ruth Redmond Cooper (directrice de l’Institute of Art and Law),
- Maryvonne de Saint Pulgent (conseiller d’état, présidente du Comité d’histoire),
- Luciano Segreto (professeur à l’Université de Florence),
- Eric Gross (directeur de l'INHA) a ouvert le débat qui était animé par Guy Boyer (directeur de la rédaction de la revue Connaissance des Arts).
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- [L'invitation] (pdf)
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La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
2012
Table ronde organisée par le Comité d'histoire et la Direction générale des patrimoines le 22 octobre 2012 à l'Institut national d'histoire de l'art (75002)
Tenue à l'occasion de la publication de l'ouvrage de Michel Melot Mirabilia, essai sur l'Inventaire général du patrimoine culturel (éd. Gallimard, 2012), cette table ronde a réunie sous la présidence de Yvon Lamy (professeur émérite de sociologie à l’Université de Limoges) :
- Isabelle Balsamo (conservatrice générale du patrimoine),
- Robert Damien (philosophe et écrivain),
- Karine Gloanec Maurin (présidente de la FNCC de 2008 à 2011),
- Françoise Lapeyre-Uzu (conservatrice régionale de l'Inventaire général en Auvergne en 1990, puis de l'Inventaire Rhône-Alpes en 2005),
- Michel Melot (conservateur, puis directeur du département des estampes et de la photographie à la Bibliothèque nationale, chargé de la sous-direction de l'Inventaire général puis de la sous-direction de l'Architecture et du patrimoine au ministère de la Culture de 1996 à 2003),
- Jean-Jacques Rioult (conservateur en chef du patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Bretagne).
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- [L'invitation] (pdf)
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
Table ronde organisée à l'initiative du Comité d'histoire en hommage à Émile Biasini le 26 mars 2012 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
Le ministère de la Culture et de la Communication a rendu hommage à Emile Biasini (1922-2011) avec le concours du Comité d'histoire lors d'une table ronde le 26 mars 2012 axée sur deux thèmes :
- Emile Biasini : bâtir des maisons de la culture
- Emile Biasini : l’homme des Grands Travaux
Participaient à cette table ronde :
- Guy Brajot (membre du Comité d'histoire, ancien collaborateur d'Emile Biasini au ministère des Affaires culturelles et au secrétariat d'Etat aux Grands Travaux, a été directeur du Théâtre, des Maisons de la culture et des Lettres),
- Agnès Callu (conservateur du patrimoine, docteur en histoire contemporaine),
- Dominique Jamet (journaliste et écrivain, a été président de l'établissement public de la Bibliothèque de France de 1990 à 1994),
- Chérif Khaznadar (président de la commission culture de la commission française pour l'Unesco, a été directeur de la maison de la culture de Rennes et président de la Maison des cultures du monde),
- Michel Laclotte (conservateur général honoraire du patrimoine, membre du Comité d'histoire, a été conservateur en chef du département des Peintures, puis directeur du musée du Louvre de 1987 à 1992)
- Jack Lang (député, ancien ministre de la Culture et de la Communication, des Grands Travaux et du Bicentenaire),
- Michel Macary (architecte et urbaniste, a été architecte du Grand Louvre associé à Ieoh Ming Pei),
- Pascal Ory (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire culturelle et sur l'histoire politique, a été chargé de mission au cabinet d'Emile Biasini, secrétaire d'Etat aux Grands Travaux de 1991 à 1993),
- Dominique Perrault (architecte et urbaniste, a remporté le concours de la Bibliothèque nationale de France),
- Maryvonne de Saint Pulgent (conseiller d'Etat, présidente du Comité d'histoire, présidente de la Maison de l'histoire de France),
- Catherine Tasca (sénatrice, ancienne ministre de la Culture et de la Communication, a été chef du bureau des Maisons de la culture de 1967 à 1972, puis directrice de la maison de la culture de Grenoble de 1973 à 1977),
- Ariette Téphany (metteur en scène et comédienne, présidente de l'Union des artistes, a été collaboratrice de Guy Rétoré au Théâtre de l'Est Parisien - TEP - et coordinatrice du Centre dramatique national du Limousin).
[L'invitation] (pdf)
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Lire les actes de cet hommage
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
2011
Rencontres organisées par l'Observatoire des politiques culturelles en partenariat avec le Comité d'histoire le 1er décembre 2011 à Grenoble (38000)
Les parcours et travaux d’Augustin Girard et de René Rizzardo ont largement nourri la réflexion sur la culture et les politiques culturelles en France et au-delà. Ce temps de forum a permis d'évoquer leurs figures à travers les témoignages des participants du colloque. Les témoignages n'ont pas été sollicités à l’avance de manière formelle, chacun étant invité à participer spontanément à ce temps d’échanges et d’hommage.
[Programme] (pdf)
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Augustin Girard, un regard visionnaire sur le développement culturel
Pour introduire le temps de témoignages :
- Guy Saez, directeur de recherche à PACTE-CNRS
- Laurent Martin, chargé de recherche au Centre d’histoire de Sciences Po
- Olivier Donnat, sociologue au Département des études, de la prospective et des statistiques (DEPS) du ministère de la Culture et de la Communication
Animation par : Bernard Faivre d’Arcier, membre du Comité d’histoire du ministère de la Culture et de la Communication, ancien directeur du festival d’Avignon
- [La vidéo]
- [Biographie] d'Augustin Girard (pdf)
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René Rizzardo, un engagement culturel
Pour introduire le temps de témoignages : Catherine Tasca, vice-présidente du Sénat, ancienne ministre de la Culture et de la Communication
- « L’homme de la montagne », animation : Jean-Olivier Majastre, anthropologue
- « Le militant, l’expert, le médiateur », animation : Jean-Pierre Saez, directeur de l'Observatoire des politiques culturelles (OPC)
- [La vidéo]
- [Biographie] de René Rizzardo (pdf)
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Un fonds documentaire comprenant ouvrages, articles et documents audiovisuels autour des travaux de René Rizzardo et d'Augustin Girard est disponible pour consultation sur rendez-vous au Comité d'histoire
Table ronde organisée par le Comité d'histoire en hommage à Jean-Philippe Lecat le 22 novembre 2011 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
Le Comité d'histoire a rendu hommage au travers d'une table ronde le 22 novembre 2011 au premier ministre de la Culture et de la Communication, Jean-Philippe Lecat (1978-1981), décédé le 26 mars 2011. Le Président Valéry Giscard d'Estaing a tenu à honorer de sa présence cette manifestation.
Animée par Jean Lebrun, historien et journaliste, cette table ronde a permis à de nombreuses personnalités de retracer les principaux aspects de la politique mis en œuvre par Jean-Philippe Lecat, qui reste pour beaucoup l'initiateur de "l'année du patrimoine".
- [L'invitation] (pdf)
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(La publication des actes téléchargeable ci-dessous est également disponible sur demandeau format imprimé dans la limite des stocks disponibles)
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
2010
Soirée organisée en hommage à Michel Guy le 23 novembre 2010 à la Cité de la musique (75019) avec la collaboration du Comité d'histoire
Le choix de la modernité
Avec cette soirée du 23 novembre 2010, le ministre Frédéric Mitterrand a voulu rendre hommage à celui dont il a dit : « Dans la querelle entre les Anciens et les Modernes, dans l’opposition entre tradition et création, dans l’alternative entre l’État et les territoires, Michel Guy ne choisit pas, il construisit. Si Malraux sut donner à la politique culturelle son prestige, Michel Guy sut lui donner sa modernité, ou du moins faire de la modernité un choix délibéré. Son héritage est plus que jamais d’actualité. »
Au cours de cette soirée organisée à la Cité de la musique en partenariat avec le Comité d'histoire, lectures et prestations musicales se sont succédé, Frédéric Mitterrand lisant quant à lui en clôture un texte de Michel Guy, intitulé « Un festin de la création. »
Le ministre a également annoncé que le nom de Michel Guy serait donné au studio de répétition de l'Ensemble intercontemporain. Consacrée à la musique du XXe siècle, cette formation a été créée par Pierre Boulez en 1976 avec l'appui de l'ancien secrétaire d'Etat à la Culture de Valéry Giscard d'Estaing.
Une vie au service de la culture
Michel Guy est né à Paris le 28 juin 1927. Une fois bachelier, il entame des études de Droit qu’il interrompt à 19 ans quand son père tombe malade. A 21 ans il fait son premier voyage en Italie.
En 1950, à 23 ans, Michel Guy prend la direction de l’entreprise familiale d’horticulture, qu’il conservera jusqu’en 1972. En 1964 et jusqu’en 1971, il est, auprès du directeur du Festival international de danse de Paris, chargé d’assurer la programmation de la partie contemporaine du festival. Il invitera à se produire au Théâtre des Champs-Elysées Paul Taylor, Merce Cunningham ou encore Alvin Nikolaïs.
En 1971, il fonde à la demande de Georges Pompidou, et avec le soutien de Jacques Duhamel, le Festival d’Automne qui associe étroitement Arts plastiques et Arts du spectacle. Il programme en 1972 Xenakis, Chéreau, Grotowski, Béjart, Dubuffet et, en 1973, le compositeur John Cage, le peintre Jasper Johns et le chorégraphe Merce Cunningham. En 1974, quand Valéry Giscard d’Estaing est élu Président de la République, et Jacques Chirac nommé Premier Ministre, il devient secrétaire d'État à la Culture.
Il laisse alors la direction du Festival d’Automne à Alain Crombecque avant de la reprendre en 1976, après avoir été remplacé au secrétariat d’État à la Culture par Françoise Giroud.
Entre 1977 et 1981, après la mort d’Henri Langlois, il assure la vice-présidence de la Cinémathèque. Il démissionnera en 1981 pour laisser la place à Costa-Gavras. En 1983, il devient vice-président du Festival d’Avignon dirigé par Bernard Faivre d’Arcier. En novembre 1986, il est nommé au conseil d’administration de la Sept avant d’assurer la vice-présidence du conseil de Surveillance en 1989 avec Georges Duby. Il jouera aussi le rôle de consultant, après les élections municipales de 1981, auprès des nouveaux maires de Nîmes, d’Arles, d’Avignon. En 1982, les Clubs 89 et Perspectives et Réalités lui commandent un rapport sur « la décentralisation culturelle ».
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- [L'invitation] (pdf)
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La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
Table ronde organisée en partenariat avec le Comité d'histoire le 10 mai 2010 à l'Institut national d'histoire de l'art (75002)
A l'occasion de la publication de l'ouvrage "L'art dans les villes nouvelles : de l'expérimentation à la patrimonialisation" (sous la direction de Julie Guiyot-Corteville, Valérie Perlès et Loïc Vadelorge, éd. Artlys, 2010), le Comité d'histoire a organisé le 10 mai 2010 avec la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, une table ronde sur le thème "L'art public : expériences et perspectives".
Cette table ronde, à laquelle étaient cordialement invités les agents du ministère, les chercheurs et les étudiants, a été présidée par Germain Viatte, membre du Comité d'histoire, conservateur général honoraire du patrimoine, ancien directeur du musée national d'art moderne au centre Georges Pompidou.
Ce rendez-vous a réuni :
- François Barré (ancien délégué aux arts plastiques et ancien directeur de l'Architecture et du Patrimoine),
- Robert Cadalbert (président de la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et des élus des villes nouvelles) qui a rendu un hommage à Jean-Eudes Roullier auquel l'ouvrage est dédié,
- Jean-Luc Daval (historien et critique d'art),
- JulieGuiyot-Corteville (conservatrice en chef du Musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines),
- Loïc Vadelorge (professeur d'histoire contemporaine à l'université de Paris XIII).
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- [L'invitation] (pdf)
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2009
Table ronde organisée par le Comité d'histoire le 30 mars 2009 à l'Institut national d'histoire de l'art (75002)
A l'occasion de la publication de l'ouvrage d'Arlette Auduc "Quand les monuments construisaient la nation. Le service des monuments historiques de 1830 à 1940" (La Documentation française, 2008), le Comité d'histoire du ministère de la Culture a organisé une table ronde le 30 mars 2009 sur le thème "Le service des monuments historiques d'hier à aujourd'hui".
Présidé par Christian Pattyn, ancien directeur du patrimoine, et animé par Emmanuel Laurentin, producteur à France Culture, ce rendez-vous en présence de l'auteur a réuni :
- Alain Auclaire (ouverture), vice-président du Comité d'histoire,
- Basile Baudez, maître de conférences à l'Université Paris IV,
- Jean-Michel Leniaud, directeur d'études à l'EPHE, professeur à l'Ecole nationales des Chartes,
- Olivier Poisson, inspecteur général des monuments historiques.
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- [L'invitation] (pdf)
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2008
Table ronde organisée par le Comité d'histoire le 2 octobre 2008 à la Cité de l'architecture et du patrimoine (75016)
A l'occasion de la parution de l'ouvrage André Malraux et l'architecture sous la direction de Dominique Hervier (éd. Le Moniteur, 2008), le Comité d'histoire a organisé le 2 octobre 2008 en présence des auteurs de l'ouvrage une table ronde animée par François Chaslin (architecte, producteur de l'émission Métropolitains sur France Culture).
Ont participé à ce rendez-vous :
- Henri Godard, professeur émérite à Paris IV,
- François Loyer, historien de l'architecture et de la ville, directeur de recherches au CNRS (UMR André Chastel),
- Claude Parent, architecte, professeur à l'Ecole spéciale d'architecture à Paris,
- Maryvonne de Saint Pulgent, présidente du Comité d'histoire.
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- [L'invitation] (pdf)
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2007
Table ronde organisée par le Comité d'histoire le 13 novembre 2007 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
Paraissait à La Documentation française en 2007 dans la collection "Travaux et documents" du Comité d'histoire, l'ouvrage de Michèle Dardy-Cretin : Michel Guy, Secrétaire d'Etat à la culture 1974-1976 : un innovateur méconnu.
A cette occasion, le Comité d'histoire a organisé en présence de l'auteur une table ronde animée par Arnaud Laporte, producteur à France Culture .
Ce rendez-vous a réuni :
- Hubert Astier, ancien conseiller technique, chargé du cinéma au cabinet de Michel Guy,
- Lucien Attoun, directeur du "Théâtre ouvert" depuis les années 70,
- Alain Auclaire, membre du Comité d'histoire, ancien chef du service de l'action régionale puis Secrétaire général du Centre National des Lettres sous la mandature de Michel Guy,
- Jean-Claude Casadesus, chef d'orchestre, nommé directeur de l'orchestre national de Lille par Michel Guy,
- Bruno Foucart, conseiller technique au cabinet de Michel Guy, chargé de l'architecture et du patrimoine,
- Jean Maheu, directeur de la musique et de la danse sous la mandature de Michel Guy,
- Gérard Montassier, ancien directeur du cabinet de Michel Guy,
- Robert Poujade, ancien ministre, ex maire de Dijon, ville signataire d'une charte culturelle avec Michel Guy en 1975,
- Jack Ralite, sénateur, ancien maire d'Aubervilliers, ami de Michel Guy,
- Jacques Rigaud, membre du Comité d'histoire, conseiller d'Etat, ancien directeur de cabinet du ministre des Affaires culturelles Jacques Duhamel,
- Claude Samuel, producteur à Radio France, directeur du Festival de la Rochelle sous la mandature de Michel Guy, initiateur du Centre Acanthes,
- Jean-Pierre Vincent, nommé par Michel Guy à la tête du Théâtre National de Strasbourg,
- Jacques Vistel, ancien conseiller technique, chargé des musées sous la mandature de Michel Guy.
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- [L'invitation] (pdf)
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La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
1999
Table ronde organisée par le Comité d'histoire le 23 mars 1999 au ministère de la Culture et de la Communication (75001)
Dans le cadre des "Mardis de la Culture" et à l'occasion du quarantième anniversaire du ministère de la Culture, le Comité d'histoire organisait le 23 mars 1999 une table ronde sur le thème "La politique musicale selon Maurice Fleuret", réunissant :
- - André Dubost, ancien inspecteur général de la musique,
- - Daniel Durnay, professeur des universités,
- - Augustin Girard, président du Comité d'histoire,
- - Alain Surrans, conseiller pour la musique, direction de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles.
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- [L'invitation] (pdf)
La captation audiovisuelle de cette table ronde est consultable sur rendez-vous au Comité d'histoire
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