En raison du changement radical du contexte économique depuis la signature des accords, le Président de la République a décidé le 23 janvier 2009, lors de la clôture des Etats généraux de la presse écrite, que « la mise en œuvre de l’accord presse - Poste [serait] reportée d’un an, le manque à gagner pour la Poste étant intégralement compensé par l’Etat ».
Ainsi le report implique que les tarifs appliqués en 2009 seront les mêmes que ceux de 2008.
Cette disposition exceptionnelle en réponse à la situation d’urgence de la presse écrite, ne remet pas en cause l’accord signé le 23 juillet entre l’Etat, les éditeurs et la Poste.
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