Présentation du dispositif
Qu'est-ce que l'éducation aux médias et à l'information (EMI) ?
Le ministère de la Culture réaffirme cette année la priorité qu’il accorde à l’éducation aux médias et à l’information (EMI).
L’EMI doit permettre à chacun de vivre une pratique citoyenne des médias. L'appel à projets "Éducation aux médias et à l'information" doit ainsi permettre à chacun et en particulier aux jeunes :
- de se réapproprier l’information et la liberté de se forger leur propre opinion, de pouvoir s'informer et s'exprimer librement,
- d'élargir son horizon, d'appréhender le monde et sa complexité, de développer son esprit critique,
- de s’affranchir des chemins tracés par les réseaux sociaux, leurs algorithmes et leurs flux ininterrompus.
Objectifs de la démarche
L'EMI poursuit deux grands objectifs :
- acquérir des compétences pour réaliser une lecture critique et distanciée des contenus proposés par l’ensemble des médias, pour rechercher, sélectionner et interpréter des informations, évaluer et analyser les sources des informations proposées,
- appréhender les médias, les réseaux et les phénomènes informationnels dans toutes leurs dimensions : économique, sociétale, technique, éthique.
Suis-je concerné(e) par la démarche ?
- Associations
- Communes
- Départements
- Entreprises privées
- Entreprises publiques locales
- Établissements publics / services de l’État
Les porteurs de projets éligibles seront issus d'environnements variés :
- Acteurs locaux de l'éducation aux médias
- Associations issues des médias, associations professionnelles ou collectifs de journalistes ou de médias
- Médias locaux, départementaux ou régionaux, quel que soit leur mode de diffusion (audiovisuel, publications de presse, services de presse en ligne, radios, webradios, télévisions, Web TV, etc.)
- Acteurs locaux de l'éducation populaire
- Collectivités territoriales au titre notamment des bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, des services des archives départementales et municipales ou des espaces publics numériques
- Organismes ou structure de formation
Pour être éligibles, les projets doivent :
- être à destination de tous les citoyens et en particuliers les jeunes
- être réalisés en partenariat avec plusieurs structures locales
Les projets suivants sont éligibles :
- Actions d’éducation aux médias et à l’information, comportant nécessairement un volet théorique et un volet pratique, à destination de tous les publics et en particuliers de jeunes publics, quelle que soit leur situation :
- Projets en temps scolaire en lien avec des enseignants
- Projets à destination des jeunes en situation spécifique (IME, protection judiciaire de la jeunesse, établissements de soins, écoles de la deuxième chance ou établissements pour décrocheurs scolaires, etc.)
- Modules intégrables pour les journées du service national universel (SNU)
- Projets de l’éducation populaire pour toucher les jeunes hors temps scolaire
- Résidence de journalisme permettant de réaliser un projet d’éducation aux médias et à l’information sur un temps plus long
- Amplification de projets déjà existants qui méritent d’être déployés plus largement pour augmenter le nombre de bénéficiaires
- Actions et programmes de formation de formateurs, intervenants ou médiateurs :
- Outils de formation mis en partage pour les bibliothèques
- Développement, valorisation et diffusion d’outils pédagogiques, d’outils de formation et de ressources
L'aide versée dans le cadre du présent appel à projets peut se cumuler avec d’autres dispositifs existant au niveau national et/ou au niveau local comme le Fonds de soutien à l’expression radiophonique (FSER) ou le Fonds de soutien aux médias d’information sociale de proximité. Dans cette hypothèse, le porteur devra cibler l'aide sur une activité ou un projet identifié d’éducation aux médias et à l’information. Toutefois, ces projets seront analysés en rapport avec les financements déjà perçus par les structures porteuses de ces projet.
Ne sont pas éligibles les projets :
- relevant strictement de l’éducation à l’image
- soutenus en 2020 et/ou 2021 qui n’ont pas été achevés ou qui ne sont pas significativement avancés dans leur mise en œuvre ou dont les bilans détaillés (qualitatif et financier) n’auraient pas été transmis
- pluriannuels, ne se déroulant pas en 2022 ou sur l'année scolaire 2022-2023
Sauf exception argumentée liée aux contraintes de la crise sanitaire actuelle, il n‘est pas possible de déposer un nouveau projet tant qu’un projet soutenu précédemment (2020 et/ou 2021) n’aura pas été mené à son terme.
L'éducation aux médias et à l'information en région
Attention : Les dates de dépôt des dossiers diffèrent suivant les régions. Merci de vous reporter aux informations régionales ci-dessous pour connaître le calendrier mis en place par la DRAC ou DAC qui vous concerne.
En complément des dispositifs nationaux de soutien à l’éducation aux médias et à l’information du ministère de la Culture, la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) en Centre-Val de Loire lance un nouvel appel à projet destiné soutenir des projets locaux et régionaux en faveur de l’éducation aux médias et à l’information.
L’appel à projets a pour vocation de soutenir des actions d’éducation aux médias et à l’information, y compris les résidences de journalisme, de rayonnement régional ou local pour un déploiement sur l’année 2024 ou l’année scolaire 2024-2025.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères de non-éligibilité des projets
Les projets ne se déroulant pas en région Centre-Val de Loire ne sont pas éligibles.
Procédure
Montant de la subvention
La part des financements publics, dont l’aide de la DRAC, ne peut pas excéder 70% du budget de l’action.
L’accompagnement financier de la DRAC ne pourra excéder 10 000 € par projet.
Modalités d'attribution de la subvention
La subvention est attribuée en un unique versement avant le 30 juin 2024. Elle a vocation à financer la rémunération des intervenants, leurs frais de déplacements et la réalisation de supports pédagogiques.
Modalités d'évaluation des dossiers
L’instruction sera organisée autour de 8 critères :
- Qualité de l'action : la cohérence du projet pédagogique notamment entre la partie théorique et les actions de pratiques
- Qualité de l'intervention : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des médias et de l’information et/ou la qualification professionnelle en matière d’éducation aux médias et à l’information des intervenants.
- Qualité du partenariat : le projet doit faire clairement apparaître le lien entre les professionnels des médias et de l’information et les structures accompagnant les publics. L’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée.
- Publics visés : les projets faisant apparaître un groupe trop restreint de bénéficiaires (par exemple une seul classe ou un petit groupe au sein d’un établissement) ne seront pas considérés comme prioritaires. Les actions s’adressant au jeune public (en temps scolaire ou non) en situation spécifique (IME, protection judiciaire de la jeunesse, établissements de soins, écoles de la deuxième chance ou établissements pour décrocheurs scolaires, jeunes en situation de handicap...) seront considérés comme prioritaires.
- Durabilité de l'action : l’aide apportée doit permettre d’encourager les acteurs à coopérer de manière durable et structurée. Seront privilégiés les projets s’inscrivant dans la durée et favorisant l’implantation et le développement d’actions d’éducation aux médias et à l’information dans le territoire, et notamment ceux qui seront en mesure de réunir les cofinancements publics et privés nécessaires à la pérennité des projets au-delà de 2024.
- Intégration d'un volet d'évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique précise des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiant des actions d’éducation aux médias, dont le nombre de nouveaux bénéficiaires de ce type d’actions) que qualitatif (résultat atteint au regard des objectifs fixés).
- Équité territoriale : la DRAC veillera, dans la mesure du possible, à une juste répartition de l’offre accompagnée à l’échelle territoriale, en ciblant prioritairement les zones considérées comme les plus prioritaires (milieu rural isolé, quartiers de la politique de la ville, établissements issus des réseaux d’éducation prioritaire…).
- Mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés au sein de l’appel à projets.
Calendrier
- Ouverture du dépôt des dossiers : 05 février 2024
- Date limite de dépôt des dossiers : 05 avril 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
- Les porteurs de projets pourront faire l'objet d'une audition lors d'une commission qui se déroulera début avril 2024
- Annonce des résultats : avant le 30 juin 2024. Les résultats seront communiqués sur Démarches Simplifiées aux usagers.
Comment déposer un dossier ?
- Pour accéder au formulaire en ligne, cliquez sur le bouton "Accéder au formulaire" ci-dessous.
- Connectez-vous ou créez un compte, puis laissez-vous guider.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Centre-Val de Loire, vous êtes invités à vous adresser par mail à Benoît LECERF, conseiller cinéma, de l'image et des usages numériques et à Meng CHIV, gestionnaire musées et éducation aux médias et à l'information par mail : emi.drac.cvl@culture.gouv.fr ; ou par téléphone : 02 38 78 85 04.
Si vous avez déposé un projet en 2023 et avez été soutenu financièrement par la DRAC, vous êtes invités à déposer un compte-rendu financier :
Afin d’accompagner la politique dirigée par le ministère de la Culture, un appel à projets en faveur de l’éducation aux médias, à l'information et aux images est organisé par la DRAC Grand Est, ayant pour objectifs de :
- mettre en œuvre des actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images permettant une compréhension de la fabrique de l’information et aidant à son décryptage ;
- faire découvrir la profession de journaliste et ses problématiques actuelles ;
- accompagner le développement d’une pratique et d’une réception avertie des différents médias ;
- sensibiliser à la liberté d’expression et favoriser la participation des citoyens au débat démocratique en impulsant des coproductions médiatiques concernant le territoire.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Qui peut déposer un dossier ?
- acteurs locaux de l'éducation aux médias
- acteurs locaux de l'éducation populaire
- collectivités territoriales au titre des bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, des services d’archives ou des espaces publics numériques
- structures culturelles
- médias locaux, départementaux ou régionaux : publications de presse, services de presse en ligne, radios, webradios, télévisions, webTV.
Critères d'éligibilité des projets
Actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images
Sont éligibles :
- des actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images portés par des associations, des collectivités ou des bibliothèques. Une attention particulière est accordée aux projets à destination des personnes de 6 à 25 ans ;
- des actions de formation de formateurs ou d'intervenants auprès des personnes de 6 à 25 ans ;
- des actions de développement, valorisation et diffusion d’outils de médiation et de ressources (plateforme de contenus, fiches pratiques, ateliers, vidéos…).
Résidences de journalistes
Les résidences de journalistes ont vocation à soutenir des projets portés par les territoires, afin de :
- qualifier les productions existantes ou développer de nouveaux projets éditoriaux en favorisant des partenariats entre les médias de proximité et les médias professionnels intéressés qu’ils soient locaux ou nationaux ;
- mettre en place des actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images auprès des personnes mobilisées dans des nouveaux projets éditoriaux ou de médias de proximité ;
- mettre en œuvre des actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images à destination des personnes de 6 à 25 ans, y compris en dehors de l’école et du temps scolaire.
Ces résidences devront :
- s’adresser à des journalistes professionnels (journalistes indépendants ou journalistes intégrés dans une rédaction) ;
- inclure la participation d’un ou plusieurs médias locaux ou nationaux ;
- présenter un programme d’interventions dans les établissements scolaires du territoire ;
- associer des structures culturelles locales (bibliothèques, MJC, musées….) ;
- mettre en œuvre un projet original d’enquête mobilisant les personnes du territoire.
Les résidences pourront être menées par un journaliste seul (y compris les dessinateurs de presse, photojournalistes, caricaturistes) ou une équipe/un collectif de journalistes, concerner tous types de médias et s’appuyer sur une grande diversité de structures d’accueil et/ou partenariales (culturelles, socio-culturelles, éducative, etc.).
Productions médiatiques
Ces projets, portés par des structures locales, invitent des journalistes à réaliser des productions médiatiques (papier, radiophoniques, audiovisuelles, photographiques….) en lien avec un territoire, visant notamment à tisser des liens, poser un regard et rendre compte du quotidien des habitants de territoires par l'entremise d’une résidence de journaliste qui peut être itinérante. Ce projet comprendra un volet de rencontres et de sensibilisation aux médias et à l’information, prioritairement en direction des jeunes de 6 à 25 ans. Une attention particulière sera portée aux projets en milieu rural et en quartier politique de la ville.
Procédure
Contenu des dossiers
Le dossier de demande de subvention devra comprendre :
- une lettre de demande argumentée adressée à la Directrice Régionale des Affaires Culturelles du Grand Est précisant le montant de l’aide sollicitée et démontrant son effet incitatif
- la fiche de description du projet dûment renseignée (à télécharger en bas de ce bloc)
- le budget prévisionnel de l’action (dépenses et recettes)
- pour les associations : le cerfa renseigné
- pour les collectivités : la délibération ou décision validant le projet et la dépense.
Calendrier
- Dates limites de dépôt des dossiers :
- 1er mai 2022, à 23h59 (heure de Paris) pour les projets se déroulant avant le 31 août 2022 ;
- 1er septembre 2022, à 23h59 (heure de Paris) pour les projets se déroulant à partir de septembre.
- Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte passé ces dates.
Comment déposer un dossier ?
- Pour télécharger le formulaire, cliquez sur le bouton "Accéder au formulaire Grand Est" ci-dessous.
- Remplissez le formulaire et retournez-le par mail à l'adresse : demarches.livre.lecture.drac.grandest@culture.gouv.fr
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Grand Est, vous êtes invités à vous adresser, suivant votre localisation, à :
- Coordination régionale Grand Est : Colette Gravier / colette.gravier@culture.gouv.fr
- Site de Strasbourg : Philippe Charrier / philippe.charrier@culture.gouv.fr ; et Rachel Giovannelli / rachel.giovannelli@culture.gouv.fr
- Site de Châlons-en-Champagne : Delphine Quereux-Sbai / delphine.quereux-sbai@culture.gouv.fr ; et Chantal Tabourin / chantal.tabourin@culture.gouv.fr
- Site de Metz : Colette Gravier / colette.gravier@culture.gouv.fr ; et Patricia Liboni / patricia.liboni@culture.gouv.fr
Le dépôt des dossiers est désormais clos.
L’appel à projet "Éducation aux médias et à l’information" a pour objectif de soutenir les acteurs de l’éducation aux médias et à l’information ayant un rayonnement régional ou local pour la mise en œuvre d’un projet avec un déploiement sur l’année 2024 ou l’année scolaire 2024-2025. Au-delà des acteurs impliqués dans l’éducation aux médias et à l’information, il est important de mobiliser autour de cet enjeu les médias locaux et régionaux, quel que soit leur mode de diffusion : audiovisuel, radiophonique, papier, numérique…
Une attention particulière sera accordée aux projets visant à renforcer l’accompagnement et le développement de l’éducation aux médias et à l’information en bibliothèque.
Avec cinq priorités :
- Lutter contre les contenus haineux et déconstruire les théories complotistes dont la massification de la diffusion en ligne, notamment sur les réseaux sociaux ;
- Apprendre à décrypter les fausses informations, à analyser les images, à savoir s’orienter dans les différentes sources d’information, et comprendre les mécanismes d’influence qui sont en jeu ;
- Favoriser une meilleure compréhension du travail journalistique, du fonctionnement et de l’organisation des médias et des réseaux sociaux, dans un contexte de grande défiance d’une partie de la population vis-à-vis des médias traditionnels et de circulation massive de fausses informations ;
- Appréhender les médias, les réseaux et les phénomènes informationnels dans toutes leurs dimensions : économique, sociétale, technique, éthique ;
- Renforcer l’accompagnement et le développement de l’éducation aux médias et à l’information en bibliothèque.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Qui peut déposer un dossier ?
- Associations
- Communes
- EPCI à fiscalité propre
Les porteurs de projets éligibles seront issus d’environnements variés :
- Médias : acteurs locaux de l'éducation aux médias ; associations issues des médias, associations professionnelles ou collectifs de journalistes ou de médias ; médias locaux, départementaux ou régionaux (publications de presse, services de presse en ligne, radios, web radios, télévisions, WebTV…) ;
- Artistique (notamment audiovisuel ou théâtre) ;
- Acteurs locaux de l'éducation populaire ;
- Collectivités territoriales au titre notamment des bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, des services des archives départementales et municipales ou des espaces publics numériques ;
- Organismes ou structure de formation ;
- Professionnels et réseaux de lecture publique.
Critères de non-éligibilité des projets
- Les projets soutenus en 2023 et/ou en 2024 non achevés ou dont les bilans détaillés (qualitatif et financier) n’auraient pas été transmis ;
- Les projets pluriannuels ;
- Les porteurs de projet dont le siège social est implanté en dehors de la région Hauts-de-France ;
- Les projets qui se dérouleront en dehors de la région Hauts-de-France
Procédure
Montant de la subvention
L'enveloppe totale sera répartie en fonction de la qualité des projets. La subvention pourra couvrir au maximum 70% du coût total du projet.
Modalités d'attribution de la subvention
La subvention sera versée en une fois. Le versement aura lieu dans les deux mois après acceptation du dossier.
Si une structure souhaite déposer plusieurs projets, il convient de compléter une démarche par projet et de les prioriser.
Modalités d'évaluation des dossiers
L'instruction des dossiers prendra en compte :
- La qualité de l’intervention : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des industries créatives (audiovisuel notamment), des médias et de l’information et/ou la qualification professionnelle en matière d’éducation aux médias et à l’information des intervenants ;
- La qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée. Il convient de bien préciser les partenaires qui auront co-construit le projet en amont, ainsi que les bénéficiaires du projet. Seront privilégiés les projets s’inscrivant dans la durée, favorisant le déploiement d’actions d’éducation aux médias et à l’information sur un territoire bien déterminé ;
- La mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés ;
- Le non cumul des aides : certains projets pourront être écartés lorsque le porteur de projet est une structure bénéficiant de crédits publics pour une part trop importante de son financement ;
- Le financement du projet : il est important de veiller à une pluralité de sources de financement. Le soutien financier apporté par la DRAC Hauts-de-France ne pourra en aucun cas dépasser les 70 % du coût total du projet. Pour rappel, le cumul des aides publiques ne peut dépasser 80 % du coût total du projet présenté ;
- L’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique précise des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiant des actions d’éducation aux médias, dont le nombre de nouveaux bénéficiaires de ce type d’actions) que qualitatif (résultat atteint au regard des objectifs fixés) ;
- Le bilan des actions réalisées lorsque des projets sont reconduits et les évolutions et perspectives nouvelles apportées au projet ;
Une attention particulière sera portée aux projets n’ayant pas encore bénéficié d’une aide de la DRAC Hauts-de-France.
Calendrier
- Ouverture du dépôt des dossiers : 02 février 2024
- Date limite de dépôt des dossiers : 02 avril 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
- Réunion de la commission : fin mai 2024
- Annonce des résultats : Les résultats seront communiqués sur Démarches Simplifiées aux usagers au plus tard 3 mois après la date de fin de dépôt des dossiers.
Comment déposer un dossier ?
- Pour accéder au formulaire en ligne, cliquez sur le bouton "Accéder au formulaire" ci-dessous.
- Connectez-vous ou créez un compte, puis laissez-vous guider.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Hauts-de-France, vous êtes invités à vous adresser à la DRAC :
Pôle publics, territoires et industries culturelles
clement.croise@culture.gouv.fr
03 22 97 33 01
5 Rue Henri Daussy 80000 Amiens
Le dépôt des dossiers au titre de l'année 2024 en Hauts-de-France est désormais clos.
Si vous avez déposé un projet en 2023 et avez été soutenu financièrement par la DRAC, vous êtes invités à déposer un compte-rendu financier :
Pour en savoir plus, veuillez vous référer au cahier des charges ci-dessous.
Le programme Éducation aux médias et à l'information (EMI) en DRAC Normandie porte une attention particulière aux projets d'EMI en bibliothèques et services d'archives.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères d'éligibilité du demandeur
Les professionnels de l’éducation aux médias peuvent déposer un dossier :
- acteurs locaux de l'éducation aux médias
- médias locaux, départementaux ou régionaux (publications de presse, radios, webradios, télévisions, webTV, etc.)
- associations issues des médias, associations professionnelles ou collectifs de journalistes
Peuvent étalement déposer un dossier les :
- structures régionales pour le Livre
- établissements de lecture publique
- structures et acteurs de formation (dont centres régionaux de formation aux carrières des bibliothèques, bibliothèques départementales, etc.)
- services d'archives départementales ou municipales
Critères d'éligibilité du projet
Le projet doit :
- reposer sur la participation de professionnels des industries créatives, des médias et de l'information ou de l’éducation aux médias à l’information
- viser l’action directe auprès des publics, la création d’outils et de ressources (jeux de plateau, expositions, démarches et contenus d’animation, escape games, etc), la formation des acteurs
Les publics doivent être connus et le partenariat avec les structures les accueillant déjà formalisé au moment du dépôt du projet.
Critères de non-éligibilité du projet
Les projets reposant uniquement sur des séquences d'enseignement ou d'appropriation théoriques ne sont pas éligibles.
Procédure
Montant de la subvention
La part des financements publics, dont l’aide de la DRAC, ne peut pas excéder 80% du budget.
Le soutien de la DRAC peut se cumuler avec d’autres dispositifs existant au niveau national ou au niveau local (Fonds de soutien à l’expression radiophonique ou Fonds de soutien aux médias d’information sociale de proximité par exemple). Toutefois, les projets seront analysés en rapport avec les financements déjà perçus par les structures.
Modalités d'évaluation des dossiers
Une attention particulière sera portée aux éléments suivants :
- la qualité des interventions : les projets doivent témoigner d’une démarche singulière à l’attention des publics, qui favorise leur participation active à l’analyse de contenus et à la production de contenus écrits, radiophoniques, audio-visuels, multimédias
- la qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée
- la capacité de déploiement et/ou de reproductibilité du projet : les porteurs de projets devront documenter leur méthodologie et leurs actions dans une optique de réappropriation possible de leur démarche par d’autres acteurs sur d’autres territoires
- la mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés
- la participation active des publics
Calendrier
Tout dépôt de projet est soumis au préalable à une prise de contact avec le/la conseiller.ère action culturelle et territoriale de la DRAC qui suit le territoire où se déroule le projet. (Carte à télécharger ci-dessous).
Si votre action concerne un projet en bibliothèques et services d’archives, avec les conseillers Livre et lecture :
- Idyl Bottois (idyll.bottois@culture.gouv.fr) pour la Seine-Maritime et l’Eure
- Agnès Leroy (agnes.leroy@culture.fr) pour le Calvados, la Manche et l’Orne.
- Ouverture du dépôt des dossiers : octobre 2024
- Si votre projet répond aux objectifs du programme, un dossier pourra être déposé avant le 31 décembre, (pour une première commission en janvier) et, sous réserve de crédits encore disponibles, le 31 mars puis le 30 juin pour une deuxième et une troisième commission.
Pour en savoir plus, veuillez vous référer au cahier des charges ci-dessous
Comment déposer un dossier ?
- Si le projet répond aux objectifs du programme, téléchargez le document "EMI Fiche Action 2025".
- Remplissez le formulaire et retournez-le par email à l'adresse : myriam.cure@culture.gouv.fr.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Normandie, vous êtes invités à vous adresser à Myriam Curé, assistante DRAC, myriam.cure@culture.gouv.fr.
Résidences "Education aux médias, territoires ruraux et transitions"
Appel à manifestation d'intérêt à l'attention des médias régionaux, des centres de culture scientifique et technique et du réseau régional NACSTI, des associations régionales d’éducation aux médias et à l’information.
Préambule
L’éducation aux médias, riche d’une longue histoire, connaît actuellement un renouvellement de ses objets et de ses enjeux. D’abord le fait de professionnels engagés, les pratiques pédagogiques liées aux médias ont été progressivement intégrées à l’institution scolaire par le ministère de l’éducation nationale. Cet ancrage s’est fortement accentué cette dernière décennie par la massification des outils et supports numériques. Dans ce contexte, le ministère de la Culture soutient, depuis plusieurs années, des actions d’éducation aux médias et à l’information pour permettre à chacun :
- d'élargir son horizon, d’appréhender le monde et sa complexité, de développer son esprit critique ;
- de s’affranchir des chemins tracés par les réseaux sociaux, leurs algorithmes et leurs flux ininterrompus ;
- de comprendre la valeur des contenus immatériels afin de lutter aussi contre le piratage et de valoriser la défense des droits d’auteur
- de développer chez les jeunes et les adultes une conscience et une culture médiatique à l’ère du numérique,
- de lutter contre la manipulation de l’information, via notamment la sensibilisation des enfants, des jeunes mais aussi des adultes, à la diffusion de fausses informations et au décryptage de ces informations diffusées via les réseaux sociaux ou internet.
- de lutter contre la désinformation scientifique, de favoriser une meilleure compréhension des transitions écosociétales en cours à l’heure de l’anthropocène.
- de travailler le collectif et la cohésion d’équipe dans l’analyse du texte, de la vidéo ou du dessin.
Depuis 2021 le ministère de la Culture a réaffirmé la priorité qu’il accordait à l’éducation aux médias et à l’information (EMI) dans un contexte de recrudescence de la diffusion de fausses informations et de théories complotistes en accentuant son soutien aux structures dans le cadre d’un appel à projet national et du soutien renforcé aux résidences de journalistes. Plusieurs appels à projets existent aussi au niveau régional.
La Drac Nouvelle Aquitaine a accompagné au fil des ans avec les partenaires de l’Education nationale, de l’éducation populaire, de la CSTI, du CLEMI, du Club de la Presse et les acteurs des médias, de nombreuses actions sous des formes différentes : résidences de journalistes, résidences « éclaircies-médias » en ex Poitou-Charentes, ateliers EMI portés par la ligue de l’enseignement, les cinémas et pôle d’éducation aux images, plan EMI avec Unicités en Charente déployant des services civiques “ambassadeurs des médias” dans les médiathèques, centres sociaux et établissements du second degré, ateliers EMI avec les radios associatives et médias locaux.
En 2024-25, la Drac souhaite soutenir le développement de résidences de journalistes en ruralité autour des enjeux socio-écologiques. Afin de permettre une présence plus longue sur un territoire et développer sur celui-ci des actions avec tous les publics, des lieux de lecture publique, des lieux culturels et sociaux, des médias de proximité, il est prévu que ces résidences s’étalent sur six semaines. Lorsque cela est possible, le projet peut mobiliser les acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Les orientations données par le plan culture et ruralité et la feuille d’orientation écologique du ministère de la culture sont au cœur de cette démarche d’extension de la politique d’éducation aux médias et à l’information vers les territoires ruraux. Et dans ce programme, la Drac Nouvelle Aquitaine portera une attention particulière aux projets qui croiseront les enjeux de culture scientifique et de travail sur le climat et la biodiversité.
La résidence
La résidence permet à un.e journaliste professionnel.le, (ou un collectif de journalistes), issu de la presse écrite, des médias en ligne, audiovisuels ou radiophoniques, à un dessinateur de presse ou à un photographe de presse, d’être présent sur un territoire donné, pour une période de 6 semaines, regroupées ou étalées dans l’année, pour des rencontres, ateliers, conférences et/ou coproductions de projets éditoriaux avec les habitants et les acteurs locaux. Durant ces 6 semaines, une présence effective sur le territoire (à temps complet), en toute exclusivité, est attendue du journaliste. Dans le cas d’un collectif de journalistes, cette présence doit correspondre à au moins un équivalent temps plein sur 6 semaines.
La résidence doit associer une multiplicité d’acteurs issus de structures culturelles, éducatives, socioculturelles, sociales, de loisirs et se dérouler prioritairement hors temps scolaire et à destination de tous les publics. Elle doit enfin être conduite en partenariat avec un lieu de lecture publique (communal, intercommunal ou départemental) ou un média local, privé ou public, assurant la diffusion des contenus journalistiques produits dans le cadre de la résidence, suivant les valeurs d’une information indépendante.
Une résidence ne peut se réduire à une suite d’ateliers d’éducation aux médias et à l’information, de type décryptage de l’information. Elle doit proposer une diversité d’actions de sensibilisation en direction des publics.
En sollicitant d’autres financeurs, la résidence pourra associer, sur le territoire déterminé, un.e chercheur.se rattaché.e à une institution universitaire ou un laboratoire de recherche et travaillant sur une problématique éco- sociologique propre au territoire. Le chercheur pourra accompagner l’ensemble de la résidence et intervenir ponctuellement toute l’année aux côtés du journaliste. Cette association sera prise en compte lors de la sélection des projets.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Qui peut déposer un dossier ?
Médias régionaux, centres de culture scientifique et technique et du réseau régional NACSTI, et associations à vocation régionale d’éducation aux médias et à l’information.
Critères d'éligibilité du projet
- L’intervention de professionnels de l’information : les porteurs de projets devront garantir la participation d’un ou de plusieurs journalistes professionnels (indépendants ou intégrés à une rédaction, disposant d’une carte de presse) de la presse écrite, des médias en ligne, audiovisuels ou radiophoniques, de dessinateurs de presse ou de photographes de presse ;
- L’intervention de scientifiques associés : les scientifiques et chercheurs devront être inscrits dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche en train de se faire ;
- Les partenariats mis en œuvre : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée ;
- Les projets doivent avoir un ancrage local : le soutien d’une ou plusieurs collectivités territoriales (financier ou en nature) est à rechercher ;
- Les actions doivent s’adresser à une diversité de personnes habitant un territoire rural ; La DRAC s’attachera à respecter une répartition équilibrée des projets soutenus à l’échelle de la région Nouvelle Aquitaine ;
- Les actions seront proposées prioritairement hors temps scolaire, ou sur une articulation temps scolaire/hors temps scolaire pour les publics jeunes ;
- La mutualisation : la mise en commun de moyens des acteurs du territoire pour l’accueil de la résidence sera un point d’attention lors de l’examen des projets.
- Ce soutien peut se cumuler avec d’autres dispositifs existant au niveau national ou au niveau local. Cependant, pour les acteurs du champ des médias, déjà aidés grâce au FSER, FSMISP et aux autres aides publiques à la presse, aux agences ou aux médias audiovisuels et numériques, les demandes de soutien seront analysées en rapport avec les financements déjà perçus par les structures porteuses de ces projets.
- L’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il doit permettre, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif que qualitatif.
- La restitution du projet : les porteurs de projets, en lien avec la personne en résidence, détermineront quelle forme choisir pour laisser une trace du projet (photos, dessin, vidéo, son, récit écrit, productions des participants, reportage… ). Avec l’accord de toutes les personnes concernées, cette production sera communiquée à la DRAC avec le bilan du projet, notamment afin de permettre sa valorisation.
Procédure
Montant de la subvention
Le montant de l’aide attribué sera de 6000€ pour une résidence de 6 semaines.
Calendrier
Pour 2024 :
- Ouverture du dépôt des dossiers : 22 octobre 2024.
- Date limite de dépôt des dossiers : 5 novembre 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
- Annonce des résultats : 22 novembre 2024.
- Phase de réalisation : de novembre 2024 à juin 2025 pour la première sélection de projets. De nouvelles dates seront communiquées pour la deuxième sélection.
Pour 2025 : relance de l’AMI en tout début d’année pour une nouvelle sélection de projets.
Comment déposer un dossier ?
Vous devez déposer un dossier sur le formulaire "Aide à la transmission, à l’action culturelle et territoriale, à la langue française et aux langues de France" en indiquant dans l’intitulé du projet « EMI Ruralité 2024-2025 ».
- Pour accéder au formulaire en ligne, cliquez sur le bouton "Accéder au formulaire - Nouvelle-Aquitaine" ci-dessous.
- Connectez-vous ou créez un compte, puis laissez-vous guider.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Normandie, vous êtes invités à vous adresser à emi.dracnouvelleaquitaine@culture.gouv.fr.
Le dépôt des dossiers au titre de l'année 2024 en région Nouvelle Aquitaine est désormais clos.
Pour plus d'informations :
La direction régionale des affaires culturelles (DRAC) Occitanie reconduit pour 2022 le dispositif de soutien à des projets d’Éducation aux médias et à l’information portés par des acteurs locaux. Elle privilégie au sein de ce dispositif EMI 2022 - Résidence de journalistes le métier de journaliste au travers de la résidence.
Présentation du dispositif
Objectifs de la résidence
La résidence permet à un journaliste professionnel, ou un collectif, de la presse écrite, de la presse audiovisuelle, de la presse radiophonique, à un dessinateur de presse ou à un photographe de presse, d’être présent sur un territoire donné, pour une période de 4 à 6 semaines, regroupées ou étalées dans l’année.
Elle doit associer sur ce territoire déterminé une multiplicité d’acteurs issus de structures culturelles, éducatives, socioculturelles, sociales, de loisirs.
Les projets de résidence doivent :
- Favoriser une meilleure compréhension du travail journalistique, du fonctionnement des médias et des réseaux sociaux, dans un contexte de grande défiance d’une partie de la population vis-à-vis des médias traditionnels et de circulation massive de fausses informations ;
- Lutter contre les contenus haineux et déconstruire les théories complotistes dont la massification de la diffusion en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, constitue un défi croissant pour notre société et notre démocratie ;
- Décrypter les fausses informations, analyser les images, savoir s’orienter dans les différentes sources d’information, comprendre les mécanismes d’influence qui sont en jeu ;
- Lutter contre le piratage et sensibiliser au rôle de la propriété intellectuelle dans la protection des auteurs et de la création.
Procédure
Montant de la subvention
La subvention de la DRAC ne pourra pas excéder 60% du coût total du projet. Les projets doivent réunir des co-financements.
Modalités d'attribution de la subvention
Certains projets pourront être écartés lorsque le porteur de projet est une structure bénéficiant de crédits publics pour une part trop importante de son financement.
Modalités d'évaluation des dossiers
L’instruction sera organisée autour de 6 critères :
- Qualité des intervenants : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des industries créatives (audiovisuel notamment), des médias et de l’information.
- Qualité du partenariat : l'aide apportée doit permettre d'encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurées. Seront ainsi privilégiés les projets s'inscrivant dans la durée, favorisant le déploiement d'actions d'éducation aux médias et à l'information et développant des modules intégrables pour les journées du service national universel (SNU).
- Mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens techniques, financiers et/ou humains seront valorisés.
- Intégration d'un volet d'éducation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d'une méthodologie précisée en amont, de mesurer l'impact de l'action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence, répartition géographique des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiaires, etc.) que qualitatif (résultats atteints au regard des objectif fixés).
Calendrier
- Date limite de dépôt des dossiers : 31 juillet 2022, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne poura être déposé ou pris en charge après cette date.
Comment déposer un dossier ?
- Complétez votre dossier de candidature en précisant les éléments indiqués ci-après.
- Transmettez votre dossier complet par mail à emi.occitanie@culture.gouv.fr en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Le dossier de candidature comprendra impérativement :
- Nom du porteur du projet
- Statut de la structure porteuse (association, collectif d’acteurs privés ou publics, collectivité ou structure relevant d’une collectivité locale, entreprise du secteur culturel, médias...)
- Localisation de la structure (code INSEE de la collectivité d'implantation)
- Descriptif synthétique du projet de résidence (en 2 ou 3 pages), précisant notamment sa méthodologie
- Publics ciblés (nombre, âge, qualité des bénéficiaires)
- Localisation et calendrier prévisionnels du projet
- Nombre et qualité des partenaires impliqués
- Nombre d’actions sur la période (année 2022 ou saison 2022-2023) et leur durée
- Budget prévisionnel
- Le cas échéant, ressources produites et usage de ces ressources (nombre et qualité des utilisateurs) et/ou bilan (éventuellement intermédiaire) des actions d’EMI menées en 2021avec le soutien de la DRAC
Si votre projet est retenu, un dossier administratif de type CERFA devra être complété afin d'obtenir le versement de la subvention.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Occitanie, vous êtes invités à vous adresser par mail à emi.occitanie@culture.gouv.fr.
Le dépôt des dossiers est désormais clos.
L’éducation aux médias et à l'information doit donner aux citoyens, les moyens de se réapproprier l’information et la liberté de se forger leur propre opinion. Dans ce cadre, le renforcement du soutien aux acteurs de l’éducation aux médias et à l’information apparaît comme une priorité.
Par cet appel à projets, la DRAC des Pays de la Loire souhaite poursuivre son soutien aux actions d’éducation aux médias et aux actions de formation des intervenants, principalement mais pas exclusivement en direction des jeunes, des éducateurs, des personnels des bibliothèques ou des parents.
Le présent appel à projets est un élément qui s’inscrit dans le cadre global du plan EMI 2024 de la DRAC des Pays de la Loire, au même titre que les résidences de journaliste, autre priorité de ce plan dans l’accompagnement des publics et des territoires et qui fait l’objet d’un dispositif qui lui est propre.
Volet 1 - Soutien aux actions d'éducation aux médias et à l'information (EMI)
Objectifs
Soutenir des actions d’éducation aux médias et à l’information de rayonnement régional ou local pour un déploiement à compter de la rentrée 2024 ou l’année scolaire 2024-2025.
Avec quatre priorités :
- Lutter contre les contenus haineux et déconstruire les théories complotistes dont la massification de la diffusion en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, constitue un défi croissant pour notre société et notre démocratie ;
- Décrypter les infox, analyser les images, savoir s’orienter dans les différentes sources d’information, comprendre les mécanismes d’influence qui sont en jeu ;
- Favoriser une meilleure compréhension du travail journalistique, du fonctionnement des médias et des réseaux sociaux, dans un contexte de grande défiance d’une partie de la population vis-à-vis des médias traditionnels et de circulation massive de fausses informations ;
- Lutter contre le piratage et sensibiliser au rôle de la propriété intellectuelle dans la protection des auteurs et de la création.
Au-delà des acteurs impliqués dans l’éducation aux médias et à l’information, il semble important de mobiliser autour de cet enjeu les médias locaux et régionaux, quel que soit leur mode de diffusion : audiovisuel, radiophonique, papier, numérique…
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères d'éligibilité du demandeur
Peuvent déposer un dossier les :
- acteurs locaux de l'éducation aux médias ;
- associations issues des médias, associations professionnelles ou collectifs de journalistes ou de médias ;
- acteurs culturels et artistiques ;
- acteurs locaux de l'éducation populaire ;
- collectivités territoriales notamment les bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, les services des archives départementales ou espaces publics numériques ;
- médias locaux, départementaux ou régionaux : publications de presse, services de presse en ligne, radios, webradios, télévisions, webTV…
Ce soutien peut se cumuler avec d’autres dispositifs existant au niveau national ou au niveau local comme le Fonds de soutien à l’expression radiophonique ou le Fonds de soutien aux médias d’information sociale de proximité. Dans cette hypothèse, il s’agit bien de cibler l’aide sur une activité ou un projet identifié d’éducation aux médias et à l’information.
Critères d'éligibilité du projet
Les projets suivants sont éligibles :
- Actions d’éducation aux médias et à l’information en particulier à destination des jeunes quelle que soit leur situation :
- projets à destination des jeunes en situation spécifique (IME, protection judiciaire de la jeunesse, établissements de soins, écoles de la deuxième chance ou établissements pour décrocheurs scolaires…)
- projets hors temps scolaire portés par des établissements de lecture publique
- projets de l’éducation populaire pour toucher les jeunes hors temps scolaire
- Actions de formation de formateurs ou d'intervenants
- Développement, valorisation et diffusion d’outils pédagogiques et de ressources
- Amplification de projets déjà existants qui méritent d’être déployés plus largement pour augmenter le nombre de bénéficiaires
Critères de non-éligibilité du projet
Les projets touchant les publics scolaires du collège et du lycée relèvent de l’offre collective du Pass Culture. A ce titre, ils ne peuvent pas être déposés dans le cadre de cet appel à projets.
Volet 2 - Renforcement de l’accompagnement du développement de l’éducation aux médias et à l’information en bibliothèque
Objectifs
Pour permettre une diffusion large des actions en matière d’éducation aux médias et à l’information, et plus particulièrement dans les bibliothèques qui constituent le premier maillage culturel du territoire, le présent appel à candidatures a vocation à soutenir également les projets portés par des établissements de lecture publique et la formation des professionnels des bibliothèques, des bénévoles et des volontaires de service civique en bibliothèques. Les bibliothèques départementales et les réseaux de lecture publique, de par leurs missions et le rayonnement de leurs actions, ont vocation à faire évoluer leurs compétences dans le domaine de l’éducation aux médias et à l’information pour accompagner au mieux leurs publics dans la société de l’information.
Dans ce cadre, les acteurs de la formation (centres régionaux de formation aux carrières des bibliothèques, écoles de journalisme, bibliothèques départementales) peuvent également être soutenus pour accompagner les professionnels de la lecture publique dans la définition et la mise en place de programmes et plans de formation permettant le développement de l’éducation aux médias et à l’information en bibliothèque.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères d'éligibilité du demandeur
Peuvent déposer un dossier les :
- collectivités territoriales au titre des bibliothèques municipales, intercommunales, départementales ;
- structures de formation ;
- organismes assurant, en lien avec des collectivités territoriales, le portage des volontaires en service civique sur l'éducation aux médias et à l'information en bibliothèques.
Critères d'éligibilité du projet
Les projets éligibles sont les suivants :
- Actions et programmes d’éducation aux médias et à l’information à l’attention de tous les publics et en particulier des publics jeunes
- Actions et programmes de formation de formateurs, d'intervenants ou de médiateurs
- Outils de formation mis en partage pour les bibliothèques
- Développement, valorisation et diffusion d’outils pédagogiques, d’outils de formation et de ressources
Les bénéficiaires pourront être aussi bien des jeunes, leurs parents, les publics usagers des bibliothèques, éducateurs, ou personnels des bibliothèque.
Informations applicables aux deux volets
Procédure
Modalités d'évaluation des dossiers
Une attention particulière sera portée aux éléments suivants :
- la qualité de l’intervention : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des industries créatives (audiovisuel notamment), des médias et de l’information et/ou la qualification professionnelle en matière d’éducation aux médias et à l’information des intervenants ;
- la qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée. Seront privilégiés les projets s’inscrivant dans la durée, favorisant le déploiement d’actions d’éducation aux médias et à l’information ;
- la durabilité de l’action : une attention particulière sera portée aux projets réunissant des cofinancements favorisant la pérennité des projets au-delà de 2024 ;
- sa soutenabilité budgétaire : tout projet sollicitant un soutien de la DRAC à hauteur de 100 % du budget sera refusé. En fonction de l’enveloppe disponible et de la pertinence des projets, le soutien de la DRAC ne pourra (sauf exception au cas par cas) excéder plus de 50 % du coût total du projet ;
- le non-cumul des aides : certains projets pourront être écartés lorsque le porteur de projet est une structure bénéficiant de crédits publics pour une part trop importante de son financement ;
- la capacité de déploiement et/ou de reproductibilité du projet : les porteurs de projets devront documenter leur méthodologie et leurs actions dans une optique de réappropriation possible de leur démarche par d’autres acteurs sur d’autres territoires ;
- la mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés ;
- l’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique précise des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiant des actions d’éducation aux médias, dont le nombre de nouveaux bénéficiaires de ce type d’actions) que qualitatif (résultat atteint au regard des objectifs fixés) ;
- les publics visés : les projets faisant apparaître un groupe trop restreint de bénéficiaires ne seront pas considérés comme prioritaires ;
- équité territoriale : la DRAC veillera, dans la mesure du possible, à une juste répartition de l’offre accompagnée à l’échelle territoriale, en ciblant prioritairement les zones considérées comme les plus prioritaires (milieu rural isolé, quartiers de la politique de la ville, établissements issus des réseaux d’éducation prioritaire…).
Calendrier
- Date limite de dépôt des dossiers : 08 mars 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
Comment déposer un dossier ?
Chaque porteur de projet devra adresser son dossier à la DRAC des Pays de la Loire qui comprendra impérativement :
- Un descriptif du projet comprenant le nombre de personnes (dont jeunes) ciblées, le calendrier prévisionnel de l’action et les modalités (nombre de séances, temps fort…), la production médiatique envisagée, les perspectives de pérennité de l’action ;
- Un CV des intervenants ;
- Un budget prévisionnel intégrant l’ensemble des financements du projet ;
- Les indicateurs de suivi et d’évaluation des publics ciblés.
Les dossiers doivent être adressés par mail avant le 08 mars 2023 à minuit, délai de rigueur, à l’adresse suivante : stp.paysdelaloire@culture.gouv.fr
Si le projet est sélectionné, il faudra le déposer sur https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/aide-projet-fonctionnement_vie-culturelle-politiques-territoriales-2024 en précisant dans l’intitulé du projet : « appel à projets EMI ».
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en région Pays de la Loire, vous êtes invités à vous adresser à :
DRAC Pays de la Loire
Service Territoires et Publics
stp.paysdelaloire@culture.gouv.fr
1, rue Stanislas Baudry BP 63518 44035 NANTES Cedex 1
Afin d'accompagner des actions répondant aux objectifs de l’éducation aux médias et à l’information, la Direction aux affaires régionales PACA lance un appel à projet qui permettra de soutenir :
- des projets d’éducation aux médias, à l’information et aux images
- des résidences des journalistes
Le calendrier est le même pour les deux volets.
Les projets devront répondre aux priorités suivantes :
- lutter contre les contenus haineux et déconstruire les théories complotistes dont la massification de la diffusion en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, constitue un défi croissant pour notre société et notre démocratie,
- décrypter les « infox », comprendre comment se fabrique l’information, comment elle circule, analyser les images, savoir s’orienter dans les différentes sources d’information, comprendre les mécanismes d’influence qui sont en jeu,
- favoriser une meilleure compréhension du travail journalistique, du fonctionnement des médias et des réseaux sociaux, dans un contexte de grande défiance d’une partie de la population vis-à-vis des médias traditionnels et de la circulation massive de fausses informations,
- comprendre la valeur des contenus immatériels afin de lutter contre le piratage et valoriser ainsi la défense des droits d’auteur.
Projets d’éducation aux médias, à l’information et aux images
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères d'éligibilité du demandeur
Sont éligibles :
- les médias (télévisions, webTV, presse, radios, webradios, etc.)
- les structures artistiques et culturelles (notamment du secteur de l’audiovisuel, du cinéma, du numérique ou du spectacle vivant)
- les structures d'éducation populaire, associatives
- les collectivités territoriales au titre des bibliothèques municipales, intercommunales, départementales, des services d’archives ou des espaces publics numériques
Critères d'éligibilité du projet
Les projets doivent favoriser en priorité :
- la mise en œuvre des actions d’éducation aux médias, à l'information et aux images permettant une compréhension de la fabrique de l’information et aidant à son décryptage
- l’émergence des projets innovants et créatifs ainsi que de nouveaux outils
- la conception, production, diffusion et valorisation d’outils pédagogiques et de ressources quel que soit le support utilisé (papier, numérique, arts vivants, audiovisuel, etc.)
- la structuration et le développement sur plusieurs années et sur un territoire donné d’une offre d’éducation aux médias et à l’information à destination de publics diversifiés (jeunes en temps scolaire et hors temps scolaire, adultes, etc.)
Pour les porteurs de projets déjà soutenus lors des deux précédentes éditions, un bilan rétrospectif précis et argumenté sera exigé.
Procédure
Montant de la subvention
Le soutien apporté par l’Etat aux n’excédera pas 80 % du coût total du projet.
Modalités d'évaluation des dossiers
L’instruction des dossiers prendra en compte :
- la qualité de l’intervention des professionnels : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des industries créatives (audiovisuel notamment), des médias et de l’information et/ou la qualification professionnelle en matière d’éducation aux médias et à l’information
- la qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée. Seront privilégiés les projets s’inscrivant dans la durée, favorisant le déploiement d’actions d’éducation aux médias et à l’information. Seront considérés comme prioritaires les partenariats avec les structures suivantes : médias (télévisions, webTV, presse, radios, web radios, etc.) ; structures artistiques et culturelles notamment du secteur de l’audiovisuel, du cinéma, du numérique ou du spectacle vivant, bibliothèques, musées, archives, et l’ensemble des tiers lieux,
- la durabilité de l’action : une attention particulière sera portée aux projets réunissant des cofinancements favorisant la pérennité des projets,
- la capacité de déploiement et/ou de reproductibilité du projet : les porteurs de projets devront documenter leur méthodologie et leurs actions dans une optique de réappropriation possible de leur démarche par d’autres acteurs sur d’autres territoires
- la mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés au sein de l’appel à projets,
- l’équité territoriale : une attention particulière sera accordée à une répartition équitable des projets sur le territoire régional ainsi qu’aux zones considérées comme prioritaires,
- l’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiaires) que qualitatif (résultat atteint au regard des objectifs fixés)
Contenu du dossier EMI
Votre dossier devra être composé des éléments suivants :
- une note d’intention détaillant le projet et les partenaires choisis, présentant les modalités d’intervention, incluant la présentation des publics ciblés (nombre, âge, qualité des bénéficiaires), la méthodologie des interventions, les modalités de préparation, de médiation et de sensibilisation retenues,
- le CV des intervenants et le nombre d’heures d’intervention (préciser le coût horaire)
- le calendrier prévisionnel
- la fiche analytique pour les projets soutenus en 2024 (jointe à l’appel à projets)
Pour les porteurs de projets déjà soutenus lors des précédentes éditions, un bilan rétrospectif précis et argumenté sera exigé.
Résidences de journalistes
Présentation du dispositif
Ces résidences permettent à un journaliste professionnel (ou un collectif) de la presse écrite, de la presse audiovisuelle, de la presse radiophonique, à un dessinateur de presse ou à un photographe de presse, d’être présent sur un territoire donné, pour une période de 4 à 8 semaines, regroupées ou étalées dans l’année.
Elles doivent s’appuyer sur une grande diversité de structures (sociales, culturelles, socio‐culturelles, éducatives, etc.). Un lien privilégié peut être établi avec le réseau des bibliothèques du territoire.
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
Critères d'éligibilité du demandeur
Le journaliste résident doit être autonome pour ses déplacements.
Critères d'éligibilité du projet
Les résidences doivent être positionnées prioritairement :
- sur le hors temps scolaire ou sur une articulation temps scolaire/hors temps scolaire
- sur les territoires prioritaires (Quartiers politique de la ville et Zones rurales isolées). La DRAC PACA est garante d’un équilibre entre ces deux territoires prioritaires et instruira les dossiers en tenant compte d’une répartition régionale équitable des résidences
Elles doivent en outre :
- s'adresser à divers publics avec une priorité pour les jeunes de 6 à 25 ans
- bénéficier de co‐financements, notamment par les collectivités territoriales
La résidence correspond à 4 à 8 semaines de présence effective, consécutives ou non, à raisons de 5 jours par semaine.
Elle comprend :
- une phase de découverte/immersion d’une semaine qui permettra aux journalistes retenus de se familiariser avec le territoire d’action et les différents partenaires locaux : découverte du territoire et de son histoire, temps de rencontre et de rendez‐vous avec les acteurs éducatifs sociaux culturels concernés, temps de coordination nécessaire au bon déroulement de la résidence
- une phase de restitution à l'issue de la résidence. Le ou la journaliste devra être présent(e) à ces dates.
La période de résidence est prévue entre octobre 2023 et juin 2024.
Dépenses non-éligibles
La subvention de la DRAC PACA ne couvre pas :
- les frais de déplacement sur le territoire de mission et un voyage aller‐retour du lieu de domicile du journaliste au territoire de résidence
- le coût de l’hébergement et des repas sur le territoire
Dans le cadre du partenariat avec la collectivité, cette dernière pourra proposer au journaliste de prendre à sa charge les frais cités ci‐dessus notamment sous la forme de la mise à disposition d’un logement adapté à un séjour de longue durée.
Procédure
Montant de la subvention
Le soutien apporté par l’Etat aux n’excédera pas 80 % du coût total du projet.
Contenu du dossier de résidences
Votre dossier devra être composé des éléments suivants :
- une note d’intention détaillant le projet et les partenaires choisis présentant les modalités d’intervention, incluant la présentation des publics ciblés (nombre, âge, qualité des bénéficiaires), la méthodologie des interventions, les modalités de préparation, de médiation et de sensibilisation retenues ;
- un curriculum vitae ;
- le calendrier prévisionnel ;
- une convention signée spécifiant les engagements respectifs de la collectivité et du journaliste accueilli (en annexe/ sur le site).
Pour les porteurs de projets déjà soutenus lors des précédentes éditions, un bilan rétrospectif précis et argumenté sera exigé.
Calendrier commun aux deux volets
- Date limite de dépôt des dossiers : 30 septembre 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
Les projets se dérouleront entre octobre 2024 et juin 2025
Comment déposer un dossier ?
- Pour accéder au formulaire en ligne, cliquez sur le bouton "Accéder au formulaire".
- Connectez-vous ou créez un compte, puis laissez-vous guider.
Il est impératif d’indiquer « Education aux médias et à l’information 2024 » ou « Résidences de journalistes 2024 » dans la rubrique Intitulé du projet.
Une question ?
Pour toute question liée aux pièces à joindre au dossier et pour l'envoi des dossiers, vous êtes invités à vous adresser à Jézabel Lafon : jezabel.lafon@culture.gouv.fr ; 04 42 16 14 22.
Pour toute question sur le dispositif EMI en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, vous êtes invités à vous adresser à Isabel Martinez : isabel.martinez@culture.gouv.fr.
Pour tout question sur les résidences de journalistes en Provence-Alpes-Côte d'Azur, vous êtes invités à vous adresser à Raphaël Haziot : raphael.haziot@culture.gouv.fr
Dans le contexte de la lutte contre la manipulation de l'information, le ministère de la Culture réaffirme en 2023 la priorité qu’il accorde à l’éducation aux médias et à l’information (EMI). Dans ce cadre la DAC de Guadeloupe et des Îles du Nord lance un appel à projets spécifique à nos territoires.
Procédure
Modalités d'évaluation des dossiers
Les projets proposés seront examinés sur la base des critères suivants :
- La qualité de l’intervention : les porteurs de projets devront garantir la participation de professionnels des industries créatives (audiovisuel notamment), des médias et de l’information et/ou la qualification professionnelle en matière d’éducation aux médias et à l’information des intervenants. Les projets construits sur un binôme médiateur/journaliste-professionnel de l’audiovisuel seront privilégiés.
- La qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée. Seront considérés comme prioritaires les partenariats avec les bibliothèques, les musées, les archives, les structures cinématographiques et audiovisuelles œuvrent dans le champ de l’EMI et les tiers lieux.
- La durabilité de l’action : seront privilégiés les projets s’inscrivant dans la durée, favorisant le déploiement d’actions d’éducation aux médias et à l’information. Une attention particulière sera portée aux projets réunissant des cofinancements favorisant la pérennité des projets au-delà de 2023.
- La capacité de déploiement et/ou de reproductibilité du projet : les porteurs de projets devront documenter leur méthodologie et leurs actions dans une optique de réappropriation possible de leur démarche par d’autres acteurs sur d’autres territoires.
- La mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humain) seront valorisés au sein de l’appel à projets.
- L’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique précise des interventions et des formations, nombre de nouveaux bénéficiaires de ce type d’actions) que qualificatif (résultat atteint au regard des objectifs fixés).
Une attention particulière sera apportée à l'équité des publics concernés.
Montant de la subvention
Le soutien apporté par l’Etat n’excédera pas 80 % du coût total du projet.
Le bilan du projet devra être transmis au plus tard 2 ans après le versement de la subvention.
Calendrier
- Date limite de dépôt des dossiers : 28 février 2023, 23h59 (heure de Guadeloupe). Aucun dossier ne pourra être pris en compte passé cette date.
Comment déposer un dossier ?
- Complétez votre dossier de candidature en précisant les éléments indiqués ci-après.
- Transmettez votre dossier complet par mail à dac971.polect@culture.gouv.fr en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Le dossier de candidature comprendra impérativement :
- une note d’intention détaillant le projet et les partenaires choisis et présentant les modalités d’intervention auprès des publics et modes de médiation/sensibilisation retenus
- le CV des intervenants
- le budget prévisionnel du projet et le nombre d’heures d’intervention (préciser le coût horaire chargé)
- le CERFA N°12156*05 rempli ainsi qu’un RIB (documents indispensables pour l’éligibilité du dossier)
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information en Guadeloupe, vous êtes invités à vous adresser par mail à Laurence Selbonne, conseillère action culturelle et territoriale, par mail : laurence.selbonne@culture.gouv.fr.
Le dépôt des dossiers est désormais clos.
Depuis plusieurs années, les ministères de la Culture et de l’Education Nationale soutiennent des actions d’éducation aux médias et à l’information dont les objectifs prioritaires ont évolué en fonction du contexte.
La DAC Réunion et la DAAC de La Réunion ont accompagné au fil des ans de nombreuses actions sous des formes différentes et souhaitent favoriser le développement des résidences de journalistes sur le territoire réunionnais et y développer des actions avec les publics, les lieux, et les médias de proximité existants.
L'appel à projets "Kritikali !" est porté par la Direction des affaires culturelles (DAC) de La Réunion, la Délégation Académique à l’Action Culturelle du rectorat de La Réunion (DAAC) et subventionné par la Direction des affaires culturelles (DAC) de La Réunion.
La résidence
La résidence permet à un journaliste professionnel, ou un collectif, de la presse écrite, des médias en ligne, audiovisuels ou radiophoniques, à un dessinateur de presse ou à un photographe de presse, d’être présent durablement sur un territoire donné pour des rencontres, ateliers, conférences et/ou coproductions de projets éditoriaux avec les élèves, les habitants et les acteurs locaux. Durant cette résidence, une présence effective sur le territoire est attendue du journaliste ou du collectif de journalistes.
La résidence doit associer, sur le territoire déterminé, une multiplicité d’acteurs issus de structures culturelles, éducatives, socioculturelles, sociales, de loisirs et pourra se dérouler sur les temps scolaires comme hors temps scolaire.
Une résidence ne peut se réduire à une suite d’ateliers d’éducation aux médias et à l’information, de type décryptage de l’information. Elle doit proposer une diversité d’actions de sensibilisation en direction des publics et elle peut également inclure des jours (préalablement déterminés) de travail du journaliste sur un sujet personnel de reportage relatif au territoire, dans le respect de son indépendance.
Elle pourra également permettre aux publics cibles d’acquérir des compétences spécifiques en critique journalistique (critique théâtre, danse, musique, cinéma, arts visuels, littérature, patrimoine…). La valorisation du travail réalisé pourra se faire par le biais d’un média du territoire, en particulier et en priorité les médias d’information sociale de proximité (lien possible avec l’AAP « Fonds de Soutien aux Médias d’Information Sociale de Proximité »). Ce travail de critique journaliste peut se faire à partir de ou en lien avec des dispositifs existants (Espaces de Rencontres avec les Œuvres D’arts, troupes d’établissements, classes à horaires aménagées et options d’enseignement artistiques, dispositif « Ecole, Collège, Lycées et Apprentis au Cinéma »…) et pourra s’appuyer sur la programmation des opérateurs culturels du territoire.
Une attention particulière sera portée aux projets se déroulant dans les territoires les plus éloignés de l’offre culturelle : les zones rurales, les Cirques, les Hauts de La Réunion et le réseau de l’éducation prioritaire.
Contenu
Le travail mené doit permettre à chacun :
- une compréhension de la fabrique de l’information et aider à son décryptage ;
- de faire découvrir la profession de journaliste et ses enjeux actuels ;
- d’accompagner le développement d’une pratique et d’une réception avertie des différents médias ;
- de favoriser l’appropriation de leur territoire par les habitants à travers des productions médiatiques ;
- de sensibiliser à la liberté d’expression et favoriser la participation des citoyens au débat démocratique en impulsant des coproductions médiatiques concernant les territoires ;
- d'élargir son horizon, d’appréhender le monde et sa complexité, de développer son esprit critique ;
- de s’affranchir des chemins tracés par les réseaux sociaux, leurs algorithmes et leurs flux ininterrompus ;
- de comprendre la valeur des contenus immatériels afin de lutter aussi contre le piratage et de valoriser la défense des droits d’auteur.
Objectifs
- Aider à la structuration de productions existantes ou à la professionnalisation de démarches de médias de proximité ;
- Favoriser une meilleure compréhension du travail journalistique, du fonctionnement des médias et des réseaux sociaux, dans un contexte de grande défiance d’une partie de la population vis-à-vis des médias traditionnels et de circulation massive de fausses informations;
- Lutter contre les contenus haineux et déconstruire les théories complotistes dont la massification de la diffusion en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, constitue un défi croissant pour notre société et notre démocratie ;
- Décrypter les fausses informations, analyser les images, savoir s’orienter dans les différentes sources d’information, comprendre les mécanismes d’influence qui sont en jeu ;
- Lutter contre le piratage et sensibiliser au rôle de la propriété intellectuelle dans la protection des auteurs et de la création ;
- Permettre aux publics cibles d’acquérir des compétences spécifiques en critique journalistique (critique théâtre, danse, musique, cinéma, arts visuels, littérature, patrimoine…). La valorisation du travail réalisé pourra se faire par le biais d’un média du territoire, en particulier et en priorité les médias d’information sociale de proximité.
Les interventions réalisées par les équipes artistiques dans le cadre de cet AAP devront s’inscrire dans une régularité sur une période minimum de trois mois.
L’inscription de ces projets dans les instances de travail et discussions entre partenaires de l’EAC est souhaitée (CLEA, Contrats de Ville, Cités Educatives, CTL, Label 100% EAC, VPAH…).
A l’issue du projet ou a minima une fois par an en cas de projet pluriannuel, une restitution du travail réalisé durant le projet est souhaitée.
Durant votre résidence, merci de prévoir dans votre planning détaillé un créneau sur lequel vous inviterez les conseiller EAC de la Direction des Affaires Culturelles de La Réunion (DAC de La Réunion) et/ou la Délégation Académique à l’action Culturelle (DAAC) du rectorat de La Réunion (sur l’un des temps d’intervention et/ou la restitution).
En amont de toute demande de subvention, merci de prendre contact avec les conseillers EAC de la DAC de La Réunion (ministère de la Culture), de la DAAC du Rectorat de La Réunion (ministère de l’Education Nationale)
Suis-je concerné(e) par cette démarche ?
- Associations
- Entreprises privées
- Entreprises publiques locales
- EPCI à fiscalité propre
- Établissements de recherche
- Établissements publics / Services de l’État
Et tout particulièrement :
- Médias locaux : publications de presse, radios, webradios, télévisions, webTV…
- Journalistes et associations issues des médias, associations professionnelles ou collectifs de journalistes ou de médias ;
- Acteurs culturels et artistiques ;
- Acteurs locaux de l'éducation populaire.
Critères de sélection
- La qualité des professionnels en résidence : les porteurs de projets devront garantir la participation d’un ou de plusieurs journalistes professionnels (indépendants ou intégrés à une rédaction) de la presse écrite, des médias en ligne, audiovisuels ou radiophoniques, de dessinateurs de presse ou de photographes de presse ;
- La qualité du partenariat : l’aide apportée doit permettre d’encourager des acteurs à coopérer de manière durable et structurée ;
- Les projets doivent réunir des cofinancements, le soutien financier ou en nature d’autres partenaires étant fortement recommandé ;
- Proposer des actions qui s’adressent à divers publics, avec une priorité pour les jeunes, ainsi que pour les publics issus des quartiers politique de la ville (QPV) ou des zones rurales et des Hauts de La Réunion ;
- La mutualisation : les projets collectifs présentés conjointement par plusieurs acteurs mettant en commun des moyens (techniques, financiers, humains) seront valorisés ;
- L’intégration d’un volet d’évaluation dès la phase de conception du projet : il permettra, à partir d’une méthodologie précisée en amont, de mesurer l’impact de l’action, tant sur le plan quantitatif (nombre, durée, fréquence et répartition géographique précise des interventions et des formations, nombre de personnes bénéficiant des actions d’éducation aux médias, dont le nombre de nouveaux bénéficiaires de ce type d’actions) que qualitatif (résultats atteints au regard des objectifs fixés).
- La présence du ou des journalistes sur le territoire ou la structure d’implantation de la résidence doit être pensée sur le moyen et long terme. La résidence ne peut avoir une durée inférieure à trois mois (selon un calendrier établi avec les partenaires), afin de permettre une interaction la plus riche possible entre le ou les journalistes et le ou les publics bénéficiaires.
Les projets retenus pourront commencer après notification du montant de subvention accordé au porteur de projet et pourront s’étaler de janvier 2025 à juillet 2026 sur une ou deux années successives.
Les temps de travail et/ou de restitution et la communication qui pourraient être faits dans ce cadre devront se faire dans le respect de la législation en vigueur en matière de droit à l'image et de propriété intellectuelle.
Critères de non-éligibilité du projet
Ne sont pas éligibles :
- les projets ne prévoyant pas de présence effective d’un ou de plusieurs journalistes sur les territoires concernés par la résidence ;
- une résidence se déroulant sur une durée inférieure à trois mois ;
- un dossier administratif incomplet.
Procédure
Montant de la subvention
La subvention ne peut excéder 80 % du budget total de l'action et ne pourra pas excéder 6000€.
La complémentarité entre les financements dédiés à ce dispositif et d’autres dispositifs de soutien à l’EAC à l’œuvre sur les territoires concernés est possible et encouragée.
Modalités d'attribution de la subvention
La subvention est réalisée en versement unique sur proposition de la commission de sélection des dossiers qui se réunira début novembre 2024 et après délégation de crédits par le Ministère de la Culture à la DAC de La Réunion entre janvier et février 2025.
Modalités d'évaluation des dossiers
Les dossiers déposés seront examinés selon les critères suivants :
- la qualité du projet de résidence ;
- le lieu d'implantation de la résidence : une attention particulière sera portée aux projets qui se dérouleront dans les Cirques, les Hauts de La Réunion, les zones rurales et le réseau de l’éducation prioritaire au titre de la politique de la ville (REP, REP+) ;
- une présence minimale de trois mois sur le territoire concerné (en temps scolaire ou hors temps scolaire) ;
- l'ancrage sur le territoire réunionnais ;
- la faisabilité technique et financière du projet ;
- l’identification d’un référent au sein des structures partenaires, notamment pour celle se déroulant au sein d’un établissement scolaire.
Calendrier
- Date limite de dépôt des dossiers : 7 octobre 2024, 23h59 (heure de Paris). Aucun dossier ne pourra être déposé ou pris en compte après cette date.
- Annonce des résultats : à l'issue de la Commission de sélection qui aura lieu début novembre 2024, les usagers recevront un avis favorable ou défavorable à leur demande via la plateforme Démarches Simplifiées.
- La subvention est versée en une seule fois sur proposition de la commission de sélection des dossiers et après délégation de crédits par le Ministère de la Culture à la DAC de La Réunion entre janvier et février 2025.
- Les projets retenus pourront commencer après notification du montant de subvention accordé au porteur de projet et pourront s’étaler de janvier 2025 à juillet 2026 sur une ou deux années scolaires successives.
Une question ?
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information à La Réunion , vous êtes invités à vous adresser à :
Direction des Affaires Culturelles de La Réunion (DAC La Réunion)
nicolas.stojcic@culture.gouv.fr ; fanny.stofft@culture.gouv.fr ; marie-dominique.picard@culture.gouv.fr
02 62 21 94 47 / 06 92 45 99 47
23 Rue Labourdonnais 97400 Saint-Denis
Le dépôt des dossiers au titre de l’année 2024 à La Réunion est désormais clos.
Pour toute question sur l'éducation aux médias et à l'information, vous êtes invités à vous adresser à : rosiane.de-lizaraga@spm975.gouv.fr
Prendre contact avec votre DRAC/DAC pour en savoir plus : https://www.culture.gouv.fr/Regions.
Exemples de projets soutenus précédemment
Dans le cadre de l'EMI en région Centre-Val de Loire, le projet Balance ta fake news a été subventionné à hauteur de 3.000 € (2021) pour l'organisation d'ateliers de constitution d'une émission radio sur le thème de la désinformation avec des scolaires (8 ateliers de deux heures pour trois de classes de collège).
Dans le cadre de l'EMI en région Hauts-de-France, la Web TV Rollin et le média citoyen Rollin(g) Stones (ont été subventionnés à hauteur de 6.000 € (2021).
Depuis avril 2019, le Centre Culturel Jacques Tati mène un projet artistique et collectif avec des jeunes du quartier Pierre Rollin, afin qu’ils puissent découvrir et faire connaître leur quartier, qu’ils puissent s’initier à une pratique audiovisuelle, qu’ils puissent vivre une pratique citoyenne des médias, mais fassent également l’expérience de pratiques artistiques théâtrales et musicales... Chaque action, projet dans le quartier est prétexte à la réalisation d’un reportage qui est diffusé sur la chaine Youtube « Web TV Rollin ». Les films sont réalisés (prise d’image, de son, montage) par les jeunes encadrés par les intervenants de l’association la Fabrique d’images implantée dans le secteur sud/est d’Amiens.
En 2021, nous intégrons la Web TV au projet de média citoyen mené par Alexis Poulain-journaliste et chroniqueur télé dans le cadre du projet Rollin(g) Stones. Les jeunes rejoindront ainsi la conférence de rédaction du média citoyen.
Animé par Alexis Poulin, l’action MEDIA CITOYEN sera menée pendant deux années, accompagnant toutes les étapes du projet Rollin(g) Stones. Il se présentera sous deux formes, l’une en format papier, l’autre sous forme numérique. Le format papier sera publié tous les trimestres, le blog sera alimenté régulièrement.
À travers la création d’un média, les citoyens-participants seront amenés à s’interroger sur les média, sur la vie de leur quartier, de leur cité.
Les points de rendez-vous seront les conférences de rédaction mensuelles où tous les participants se retrouverons pour échanger et élaborer ensemble les contenus, faire les choix rédactionnels, proposer des sujets, etc. La première conférence de rédaction a eu lieu au CCJT le 23 octobre 2020.
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