Suite au pillage commis sur un site archéologique à Magalas, la DRAC et l'INRAP rappellent que ce fait est un délit puni par la loi.

La protection des sites archéologiques, non renouvelables et fragiles, est l'affaire de tous, archéologues, élus (maires), propriétaires des terrains, amateurs d'histoire et d'archéologie, chercheurs, associations... Les services de l'État en charge de l'archéologie s'efforceront avec détermination, de poursuivre toute personne qui porte atteinte à notre patrimoine archéologique afin d'assurer sa protection dans les meilleures conditions et de préserver ainsi les futures études.

Pour en savoir plus se reporter à l'article mis en ligne sur le site de l'INRAP