Un rendez-vous incourtournable du cinéma espagnol
Créé en 1990 à Nantes par des enseignants chercheurs de l’université de Nantes, le Festival est maintenant géré parl’association Festival du CinémaEspagnol. Avec plus de 70 films inédits (fictions, documentaires, longs et courts-métrages), 50 invités, 250 projections en version originale sous-titrée à chaque édition, il est depuis 2007, avec l’attribution du prix de l’Académie du Cinéma Espagnol, reconnu par les professionnels comme la vitrine du cinéma espagnol en France.
Depuis sa création, le festival a accueilli plus de 260 000 spectateurs, 700 invités, projeté 1 200 films et reçu 60 000 collégiens et lycéens.
Projections, rencontres et compétitions
Quatre compétitions sont proposées dans le cadre du festival avec six prix différents : Prix du Jury Jules Verne, du Public et du Jury Jeune pour le Meilleur long-métrage de fiction, Prix du court-métrage, Prix du meilleur documentaire, Prix Opera Prima du meilleur premier film. En dehors de la compétition, le Festival Cinéma Espagnol propose des cycles thématiques qui constituent une véritable fenêtre sur la société espagnole. Le but est de mettre en perspective des formats, des genres et des langages cinématographiques divers en direction de publics hétérogènes à travers ces six compétitions officielles.
La vitrine de la culture espagnole
L’objectif du festival est de mettre en lumière le cinéma et la culture espagnole en France. Ses organisateurs tiennent à diffuser l’ensemble de la cinématographie en version originale sous-titrée. Le festival porte cette volonté de mettre en lumière des films du patrimoine cinématographique espagnol par le biais de rétrospectives, d’hommages en collaboration avec la Cinémathèque espagnole et les cinémathèques régionales.
Il s’agit aussi de réunir des grands noms du cinéma hispanique autour d’hommages et de rétrospectives. Costa Gravas, invité d’honneur de l’édition 2013, Marisa Paredes, muse de Pedro Almodovar, José Luis Borau, Goya du meilleur réalisateur en 2011; Álex de la Iglesia, réalisateur fantasque du Jour de la bête, ont déjà foulé les pavés nantais. Les jeunes talents sont également mis à l’honneur dans le cadre de la compétition Opéra Prima.
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