J’ai appris avec une grande tristesse le décès de l’écrivain américain Jim Harrison.
Des Légendes d’automne aux Péchés capitaux en passant par Dalva, Jim Harrison aura dessiné le portrait mythique de l’Amérique que nous aimons.
Je veux aussi saluer ses traducteurs, ainsi que ses éditeurs français, notamment Christian Bourgois et Flammarion, qui ont œuvré à le faire connaître des lecteurs francophones.