Education artistique et culturelle
La DRAC agit pour l’ensemble des Franciliennes et Franciliens à tous les âges de la vie, à travers notamment la déclinaison régionale de conventions interministérielles.
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Nos missions
Agir pour la jeunesse
La DRAC, en partenariat avec la région académique d’Île-de-France, les Académies de Créteil, Paris et Versailles, qui compte près de 2 400 000 élèves en formation pré-baccalauréat soit 20 % de la population scolaire nationale, met en œuvre une politique d’éducation artistique et culturelle qui se traduit notamment par les enseignements artistiques
Au cours de l’année 2021 / 2022, la DRAC Île-de-France a financé 51 enseignements artistiques de spécialité et cofinancé 91 enseignements optionnels pour 14 506 heures d’enseignement au total (théâtre, danse ou cinéma) au bénéfice de 5 945 élèves.
L’année 2021 a permis de finaliser, avec les trois académies, la mise en œuvre de la réforme du lycée et du baccalauréat pour les enseignements artistiques théâtre et danse. Son application est effective à la rentrée scolaire de septembre 2021. Le nouveau modelage des spécialités lié à l’application de la réforme permet de redéployer 7 spécialités et de réinterroger la cartographie des enseignements en renforçant l’équité territoriale et en créant un enseignement cirque qui n’existait pas à ce jour en Île-de-France.
Résidences d’artistes en milieu scolaire
un dispositif de résidence territoriale en établissement scolaire est proposé dans les rectorats franciliens, en référence à la circulaire n°2010-032 du 5-3-2010, en partenariat avec la DRAC d’Île-de-France.
La résidence territoriale en établissement scolaire a pour ambition de développer et approfondir le partenariat entre l’État et les collectivités territoriales en matière d’éducation artistique et culturelle.
Cadre de la résidence
La résidence territoriale en établissement scolaire met en œuvre trois démarches fondamentales de l'éducation artistique et culturelle :
- la rencontre avec une œuvre par la découverte d'un processus de création ;
- la pratique artistique, la pratique culturelle, à travers la mise en relation avec les différents champs du savoir ;
- la construction d'un jugement esthétique. Elle incite également à la découverte et à la fréquentation des lieux de création et de diffusion artistiques.
Elle favorise les liens avec les structures culturelles de proximité (théâtres, galeries, médiathèques, cinémas…) et contribue à enrichir l’enseignement de l’histoire des Arts.
Son ouverture sur le territoire :
- provoque la rencontre entre les publics et les œuvres ;
- favorise le dialogue inter-degré (école-collège-lycée) ;
- contribue à mettre en cohérence les différents cycles éducatifs ;
- prend en compte les différents temps de l’enfant et implique les familles dans une démarche de co-éducation.
Dans sa dimension éducative et pédagogique, la résidence est le point de convergence de plusieurs projets :
- projet artistique d'un artiste ou d'une équipe artistique ;
- projet éducatif d'une structure culturelle ;
- volet culturel du projet d'école ou d'établissement, dont les résidences peuvent utilement constituer l’axe fédérateur ;
- projet politique de développement culturel d'une collectivité territoriale.
Le projet de résidence donne lieu à une concertation étroite entre les différents partenaires. Il implique directement une structure culturelle de proximité et un établissement scolaire.
Une phase de concertation préalable conditionne la qualité du partenariat.
Parcours culturel des élèves et rayonnement de la résidence
Les partenaires de la résidence sont attentifs à la richesse et à la diversité des parcours culturels proposés aux élèves, ainsi qu'au rayonnement de la résidence sur l'ensemble de la communauté éducative de l'école, du collège ou du lycée. La résidence s’inscrit dans les apprentissages des élèves et accompagne leur progression, en particulier dans le domaine de l'enseignement de l'histoire des arts, dont elle constitue une approche vivante et sensible. Elle fédère des démarches pédagogiques diversifiées, qui conjuguent enseignements artistiques, dispositifs d'action culturelle et approches croisées.
Il est recommandé d'impliquer l'ensemble de la communauté éducative du territoire, en intéressant à la résidence plusieurs établissements scolaires avec lesquels des projets artistiques et culturels sont développés conjointement. Une résidence d'artiste(s) peut ainsi contribuer à fédérer les relations entre écoles, collèges et lycées d'un même bassin, ou appartenant à un réseau d'éducation prioritaire (« réseau ambition réussite », « réseau de réussite scolaire »…). Plus largement, l’action de la résidence peut rejaillir sur une diversité d’acteurs du territoire (centres de loisirs, Maisons des jeunes et de la culture, maisons de quartier, centres sociaux etc…).
Mise en œuvre
Les actions éducatives développées lors de la résidence s'articulent au volet culturel du projet d'école ou d'établissement et au projet éducatif de la structure culturelle. Les objectifs communs définis par les partenaires, les étapes de l'accompagnement pédagogique de la résidence, les modalités de son évaluation, ainsi que les moyens financiers, doivent être précisés dans une convention de partenariat dont la DRAC et l’académie concernée ont communication.
Les conditions matérielles d’accueil de l'artiste ou de l'équipe artistique doivent être garanties afin de permettre la mise en place effective de la résidence mais aussi des actions éducatives, artistiques et culturelles qui en découlent. En particulier, les écoles, collèges ou lycées accueillant une résidence en établissement scolaire doivent mettre à disposition de l'artiste ou de l'équipe artistique un espace adapté aux projets pendant toute la durée de la résidence.
Le lien entre la communauté éducative et l'artiste ou l'équipe artistique peut être développé, en amont et/ou en aval, ainsi que pendant le temps de la résidence, par le biais notamment des technologies de l'information et de la communication, dans le respect de la législation en vigueur en matière de droit à l'image et de propriété intellectuelle.
Enjeux et objectifs
Permettre au plus grand nombre d’appréhender la création contemporaine, en lien avec les enseignements et dans sa relation à l’histoire des arts en particulier ;
- Développer l’esprit critique du public scolaire ;
- Proposer une éducation artistique fédératrice pouvant concerner aussi bien les élèves que leurs familles ;
- Contribuer au développement culturel et artistique du territoire en inscrivant le projet dans une dynamique locale (communale, inter-communale…) et participative (publics, établissements scolaires, structures municipales et associatives);
- Contribuer à réduire les inégalités en matière d’accès à l’art et à la culture.
Rôle des porteurs du projet de résidence
- inscrit le projet de résidence dans son projet d’établissement ;
- implique le plus grand nombre possible d’enseignants dans la conception et la réalisation des projets, dans une logique multidisciplinaire (français-histoire-géographie-langues-mathématiques-EPS-sciences de la vie et de la terre etc…) dans l’élaboration des actions pédagogiques et éducatives, et en complément de l’enseignement de l’histoire des arts ;
- promeut la résidence auprès des établissements scolaires du territoire et construit avec eux des projets, de préférence dans une dynamique inter-degrés, en lien étroit avec la structure culturelle de proximité ;
- répond à l’appel à projets lancé par le Rectorat d’Académie, selon la procédure d’usage.
- propose un projet artistique et culturel (choix du ou des artistes) qui soit en cohérence avec les attentes de l’établissement scolaire ;
- élabore avec les enseignants des parcours culturels cohérents au regard des enjeux artistiques, culturels et éducatifs de la résidence ;
- co-construit les projets avec les enseignants et les partenaires associés (acteurs éducatifs et socio-culturels locaux, familles etc…) ;
- favorise la visibilité des projets sur son territoire (promotion, communication) ;
- répond à l’appel à projet lancé par la DRAC dans le courant du troisième trimestre de l’année scolaire N-1.
Contrat Local d’Éducation Artistique
- Pour tous les élèves de la maternelle au lycée, voire l’université, d’un territoire donné, pour le public des centres de loisirs et des centres sociaux et plus généralement pour tous les jeunes et leur famille
- Pour tout public éloigné de la culture pour des raisons sociales, économiques ou géographiques.
- Contrat pluriannuel entre l’État /Drac et une collectivité territoriale de 3 années (renouvelable une fois) - A l’issue de cette période, la Collectivité s’engage à poursuivre son effort en faveur d’une harmonisation et d’une généralisation de l’éducation artistique et culturelle sur son territoire. Les autres partenaires s’engagent à poursuivre une politique de mobilisation des différents dispositifs dont ils assurent la responsabilité et le suivi.
- Sur le territoire concerné, dans les établissements scolaires, les centres de loisirs, les structures culturelles et socioculturelles et les structures du champ social.
- Collectivités territoriales (communauté de communes ou d’agglomération, conseils généraux, conseil régional)
- DRAC > Services départementaux de l’Éducation nationale, Rectorat
- Direction départementale de la cohésion sociale, …
Tous les partenaires sont invités à travailler sur la base de leurs compétences et responsabilités et des moyens dont ils disposent, à l’organisation d’un projet partagé et fédérateur se donnant pour objectif la généralisation et non une simple extension de l’éducation artistique et culturelle
- de l'architecture
- des arts plastiques
- des arts appliqués
- du cinéma et de l'audiovisuel
- de la danse
- de la lecture et de l'écriture
- de la musique
- du patrimoine
- de la photographie
- du théâtre
- des arts du cirque
- des arts numériques
Pour faciliter l’accès de tout enfant, de tout jeune, aux œuvres et aux ressources artistiques et culturelles de son territoire, pour faire en sorte qu’il puisse se les approprier et enfin, s’il en a le désir, de se livrer à des pratiques artistiques.
L’objectif recherché est que l’enfant puisse exercer lui-même, sa capacité à faire partager à sa famille, son entourage, sa conviction que la culture est source de plaisirs et qu’elle contribue au développement personnel. Les enfants et adolescents, accompagnés par les professionnels (enseignants, artistes, éducateurs, professionnels de la culture, agents des Collectivités, etc…) constituent ainsi une réelle force d’entraînement pour leur entourage. Il en va de même pour tout public participant aux actions mises en place par le CLEA.
Il s’agit via un contrat local d’éducation artistique privilégiant un public jeune, de faire en sorte que l’adulte puisse faire valoir, pleinement, son droit à la culture.
- Pour créer une dynamique collective et durable en faveur d’une éducation artistique partagée par le plus grand nombre.
- Pour vivre au rythme des propositions d’artistes spécifiquement invités en résidence.
- la présence artistique forte sous forme de résidences à durée significative ; Le partenariat direct avec des artistes est un vecteur indispensable à la compréhension et à l’appropriation de leurs œuvres. Cette présence sous forme de résidences-mission, est organisée en lien étroit avec les structures culturelles de référence et avec leur propre projet artistique et culturel, en lien aussi avec les priorités définies par le collectif des partenaires. Elle visera ainsi à croiser et élargir les publics.
- en matière de facilitation d’accès aux œuvres et aux ressources artistiques et culturelles. Ces innovations portent sur les modes de communication et d’information, de première sensibilisation, de transports, etc… Il s’agit surtout de rechercher de nouveaux facteurs de déclenchement. En ce sens, le collectif de partenaires s’appuie sur les initiatives et les actions déjà expérimentées ou en cours d’expérimentation sur le territoire et ne s’interdira pas d’aller à la rencontre d’expériences menées sur d’autres territoires.
- parce qu’il est indispensable d’impliquer au mieux les différents professionnels auxquels s’adresse le CLEA, de faciliter leurs collaborations croisées, un plan de formation est envisagé dès le départ qui s’adressera en priorité mais sans exclusivité :
- aux professionnels en charge ou responsables de publics : enseignants, éducateurs, élus, animateurs…
- aux professionnels du lien social : médiateurs, techniciens des Collectivités Territoriales ou des structures…
- aux professionnels de l’art et de la culture : artistes, responsables de structures , équipes de programmation ou de communication..
Éléments pratiques concernant les résidences missions
Il peut être envisagé, pour chaque année, une ou deux résidences-mission, (en simultané ou en alterné) mais ce nombre peut varier en fonction de la taille du territoire et du nombre de personnes concernées.
La période de résidence généralement prévue est de quatre mois (ce temps peut être fractionné sur une année)
- 1ère phase de la résidence-mission (un mois) : rencontre avec les groupes de professionnels en lien avec des groupes d'habitants du territoire (enseignants, éducateurs, animateurs d'associations, personnels soignant, travailleurs sociaux, responsables associatifs, professionnels de la culture, etc …) afin de définir le projet artistique et en définir le calendrier
- 2e phase de la résidence-mission (3 mois pleins) : mise en œuvre des temps d’actions à mener en direction des publics précisés.
Une évaluation préalable au contrat, sous forme de "diagnostic du territoire" devra faire apparaître les éventuels manques ou les points forts que la collectivité souhaite mettre en avant. Il conviendra d’harmoniser l’existant et d’en tirer, rigoureusement, méthodiquement, parti.
Le CLEA se doit de transcender les seuls dispositifs normés, afin d’atteindre ses objectifs de généralisation et d’appropriation par le territoire.
Les actions, dispositifs et programmes qui suivent sont proposés par l’un ou l’autre des acteurs de l’éducation artistique et culturelle. Ces offres coexistent déjà, très souvent, sur le territoire et constituent, réunis et harmonisés, de véritables points d’appui pour une politique partenariale et d’ampleur en faveur de l’éducation artistique .
- Ateliers artistiques, classes à PAC et enseignements artistiques en lycée
- Projets d’établissements scolaires
- École ouverte(dispositif interministériel, Collectivités Territoriales)
- École et cinéma(collectivité locale, CNC, DRAC, Éducation nationale)
- Lycéens, apprentis et cinéma(Conseil Régional, CNC, DRAC, Éducation nationale)
- Dispositifs proposés dans les collèges ou les lycées(conseils généraux ou Conseil Régional )
- Classes à horaires aménagés(Collectivité Territoriale, Éducation nationale)
- Contrats éducatifs locaux et projets éducatifs territoriaux(Collectivité Territoriale, DDCS, Politique de la Ville, Éducation Nationale).
- CUCS(État, Acsé, Collectivité Territoriale, CAF…)
- initiatives d’action culturelle et de pratiques artistiques portées par les institutions culturelles et scientifiquesdu territoire concerné
- initiatives d’action culturelle liées au protocole de décentralisation des enseignements artistique (Conseil Régional, DRAC, Collectivités, Établissements d’Enseignements Artistiques)
CLEA. Contrat de 3 ans renouvelable, le CLEA rassemble les principaux acteurs publics et privés d’un territoire donné autour d’un objectif commun : proposer une éducation artistique et culturelle citoyenne, qui prenne en compte les spécificités du territoires, tout en s’accordant aux rythmes et aux "temps de vie" propres à chacun. Piloté par un chef de file (une collectivité territoriale), le CLEA s’organise autour de résidences-mission où l’artiste, qui s’appuie sur son œuvre pour habiter l’espace public, propose des actions de médiation culturelle créatives et participatives, sous forme d’ateliers et de rencontres.
Résidence-mission. La résidence-mission est organisée à des fins d’éducation artistique et culturelle en faveur du public appartenant au territoire visé. Elle repose sur une pleine disponibilité de l'artiste (français ou étranger résidant en France) généralement sélectionné dans le cadre d’un appel à projet. La résidence-mission n’est pas une résidence de création ni de diffusion. Elle ne comporte ni enjeu de production ni commande d'œuvre. La diffusion de l’œuvre déjà existante de l’artiste dans des lieux dédiés ou non aux arts sert de support aux actions conçues tout au long de la résidence. Cette diffusion s’organise en amont, pendant et éventuellement en aval de la résidence. Durant la résidence, l’artiste s’engage dans une démarche éducative de co-construction de gestes artistiques avec le public. Par ces gestes, il donne à voir et à comprendre la recherche artistique qui l'anime, ainsi que les processus de création qu'il met en œuvre.
Gestes artistiques. Ces formes d'intervention de nature artistique se différencient des traditionnels ateliers de pratique artistique régis par d'autres types de cahier des charges et aux finalités différentes. Ces actions sont conçues, le plus souvent possible, de manière à concerner un nombre significatif de personnes et sont destinées à faire percevoir la singularité et la force de la démarche qui les sous-tendent. Ces gestes, peuvent s'envisager aussi bien au sein des associations, des équipements publics, des établissements scolaires, des centres de loisirs, des structures culturelles, des centres sociaux que dans l’espace public ou dans tout autre lieu paraissant approprié à l’artiste-résident(e) et aux divers professionnels avec lesquels il les aura imaginés et conçus. L'intérêt du geste artistique n'est pas dans le résultat de l'action, mais dans l'action elle-même. Il n'a pas pour but de dire, mais il prend sens dans sa réalisation. Le geste artistique doit être au maximum co-créé avec les publics pour lequel il a été imaginé.
Parcours culturel. Il doit être pensé simultanément à la résidence mission car il vient nourrir la pratique artistique. Organisé en priorité à partir des ressources du territoire concerné, il peut être élargi en tant que de besoins aux ressources extérieures. Il doit favoriser la rencontre du public avec l’œuvre de l’artiste résident(e) quel que soit son domaine et son mode d’expression.
Les enseignements optionnels
Les politiques d’éducation artistique et culturelle mises en œuvre par la DRAC s’inscrivent dans des dispositifs anciens, encadrés par la loi de 1988 sur les enseignements artistiques.
Sont inscrits dans l’emploi du temps de l’élève et font l’objet d’une évaluation au baccalauréat.
La conduite de ces enseignements se fondent sur un programme qui paraît au Bulletin Officiel (BO) et dont la réalisation est prévue en collaboration avec un partenaire artistique et culturel, partenaire
- dans le domaine de la danse, du théâtre et du cinéma (autres domaines d’enseignement optionnel : l’histoire de l’art, la musique, les arts plastiques).
Les enseignements optionnels facultatifs s’adressent à toutes les filières de l’enseignement des lycées d’enseignement général et professionnel. De la seconde à la terminale le nombre d’heures d’enseignement réglementaire est de 3h par semaine. Évaluation orale au baccalauréat et présentation d’un dossier ( coefficient 1 au bac). Cet enseignement est soutenu à parité par les Rectorats et la DRAC Île-de-France à hauteur de 3050 €
Les enseignements de spécialité s’adressent exclusivement aux élèves de la Seconde à la Terminale. Le nombre d’heures d’enseignement réglementaire est de 5h d’enseignement hebdomadaire (coefficient 6 au bac.) Cet enseignement est plus contraignant en raison d’un programme national, d’une épreuve écrite et d’une prestation artistique. Cet enseignement est soutenu par la DRAC à hauteur de 15 038€ en danse et en théâtre et de 10 000€ en moyenne en cinéma.
Les commissions académiques de suivi des enseignements artistiques (CASEAT (théâtre) CASEAC (cinéma) ou CASEAD (danse)) sont convoquées pour le suivi et l’expertise notamment lors de difficultés ou de changement de partenaires. Elles impliquent la présence du Délégué académique à l’éducation artistique et culturelle (DAAC), de l’inspecteur de l’éducation nationale responsable de la discipline au niveau académique, du chargé de mission du rectorat, du proviseur et des enseignants, de la structure culturelle, du conseiller de la DRAC.
Depuis 2008, la DRAC Île-de-France a imposé la signature d’une convention cadre triennale entre le partenaire culturel et l’établissement scolaire. Elle doit être accompagnée d’un avenant annuel précisant la programmation en terme d’intervention artistique et de rendez-vous culturels permettant un rapport aux œuvres, ainsi que le nombre d’élèves.
VOS INTERLOCUTEURS
Christine MAILLARD, conseillère territoriale (Académie de Créteil, Culture et Justice) 01 56 06 50 92 christine.maillard@culture.gouv.fr
Aides et démarches
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Aides et démarches spécifiques Ile-de-France/ Éducation artistique et culturelle
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