Un maillage d’équipements qui se renforce en Île-de-France
Depuis 2018, le "Plan bibliothèque" déployé par le ministère de la Culture et destiné à "ouvrir plus, offrir plus, mieux former", a permis d’enclencher une véritable dynamique pour densifier le nombre de médiathèques – notamment en Île-de-France qui accusait un retard par rapport à la moyenne nationale – mais également pour moderniser les bibliothèques existantes, et étendre leurs jours et horaires d’ouverture. Le plan de relance consécutif à la crise sanitaire a également permis de renforcer l’action de l’État aux côtés des collectivités territoriales porteuses de la compétence "lecture publique". Par ailleurs grâce à "Loi du 21 décembre 2021 relative aux bibliothèques et au développement de la lecture publique", les missions culturelles, scientifiques, éducatives et sociales des bibliothèques ont été affirmées comme des principes fondamentaux.
La dotation générale de décentralisation, gérée au niveau du préfet de région, a permis d’accompagner plus de 780 projets depuis 2018, pour un montant de 93 millions d’euros en Île-de-France. La DRAC, en tant que service instructeur des dossiers, a veillé, au plus près des collectivités et avec chacune des préfectures de département, à un équilibrage territorial des crédits, avec un effort particulier en direction des territoires ruraux et des quartiers de la politique de la ville. Selon la nature du projet (bâtiment, aménagement, intérieur, développement des collections, équipement informatique et numérique, fonds patrimoniaux), l’État intervient à hauteur de 30 à 50 % du coût total de chaque investissement, exception faite des projets d’extension horaires, accompagnés, eux, à hauteur d’un taux incitatif de 80 %.
La ludo-médiathèque d’Herblay-sur-Seine : un équipement résolument tourné vers l’avenir
La ludo-médiathèque d’Herblay-sur-Seine © DRAC Île-de-France
Sur la seule année 2022, ce sont plus de 15 millions d’euros qui ont été consacrés aux projets d’investissement franciliens en lecture publique : 112 projets dont 20 projets architecturaux : constructions, extensions, restructurations, rénovations ou mises en accessibilité. Parmi les 112 projets, 18 concernent notamment le Val-d’Oise.
C’est le cas de la ludo-médiathèque d’Herblay-sur-Seine, baptisée L'Échappée, inaugurée le 5 septembre 2023 et qui constitue un équipement résolument tourné vers l’avenir, dans un principe de modularité et d’adaptabilité, avec une grande place laissée au numérique et aux nouveaux usages. Avec ses 2 100 m² de surface, elle participe à l’attractivité du territoire et en devient un véritable atout.
La ludo-médiathèque d’Herblay-sur-Seine © DRAC Île-de-France
Médiathèque L’Eclipse de Cormeilles-en-Parisis © valparisis
Non loin d’Herblay, la médiathèque L’Eclipse de Cormeilles-en-Parisis, elle aussi dans le Val-d’Oise, offre des espaces modernes, en bois, avec un jardin extérieur clos qui séduit les lecteurs. C’est là que le clip de la campagne nationale de communication, diffusé sur les chaînes nationales du service public à partir du 6 septembre, a été tourné.
Lieu du tournage du clip de promotion des médiathèques du ministère de la culture en juillet dernier © Isabelle Harsin/SIPA PRESS/ministère de la Culture
Ces deux équipements de lecture publique hybrides et attractifs ont un projet de services à la population articulé autour du jeu sous toutes ses formes et dans ses différentes dimensions.
Autre exemple : la médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois, faisant partie du réseau de lecture publique de Cœur d’Essonne Agglomération, un investissement de plus de 10 millions d’euros dont un tiers du coût de construction, d’équipement et d’acquisition des collections a été financé grâce à l’aide de l’État. Touchée par les émeutes de l’été 2023, la médiathèque bénéficie d’un accompagnement particulier afin de rouvrir au public. Le 6 septembre, elle accueille ainsi des jeunes bénéficiaires du Pass Culture dans le cadre de la journée nationale des bibliothèques.
Médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois Cœur d’Essonne Agglomération © Think Utopia & Sergio Grazia
Les projets foisonnent et donneront lieu en cours d’année 2023 à de nombreuses autres ouvertures, notamment à Grigny, Massy, Champlan, ou encore Pantin dès le 30 septembre prochain. Souvent, comme ce fut le cas à Garges-lès-Gonesse où la bibliothèque est insérée au sein d’un lieu dédié au numérique (le CUBE), des équipements culturels hybrides voient le jour, adaptés à la réalité des territoires ruraux et urbains. Une salle de spectacle, un conservatoire, une Micro-Folie, voisinent alors avec la bibliothèque. Cette hybridité culturelle peut également se retrouver dans les services proposés par les médiathèques, de plus en plus à l’écoute des attentes citoyennes. Ainsi, à côté de leurs fonctions traditionnelles, elles peuvent proposer des grainothèques, des fablab, des permanences d’acteurs sociaux, etc.
Pour mettre en musique les politiques de lecture publique, la DRAC intensifie sa coopération avec les collectivités territoriales
Au-delà des investissements réalisés par les collectivités avec l’appui de l’État, la politique de lecture publique s’appuie également sur une démarche active de contractualisation entre la DRAC et les territoires, afin d’adopter des stratégies d’action concertées et agir au plus près des besoins des populations.
Les contrats territoire-lecture (CTL) permettent d'initier des partenariats entre les collectivités territoriales et l’État autour de projets de développement de la lecture. Il a vocation à accompagner la collectivité dans le développement de sa politique de lecture publique, souvent dans une logique de structuration d’un réseau intercommunal, tout en s’inscrivant dans les grandes orientations du ministère de la Culture en matière de politique du livre et de la lecture. Les contrats reposent sur un cofinancement entre la DRAC et une ou plusieurs collectivités, l’objectif étant d’accompagner une stratégie permettant un accès au livre et aux bibliothèques à tous, y compris aux publics les plus éloignés.
Les contrats départementaux lecture-itinérance (CDLI) sont destinés à renforcer les réseaux de lecture publique, dans une logique d'action culturelle de proximité au plus près des besoins. Ils s'adressent aux Conseils départementaux et s'appuient sur les bibliothèques départementales. Ils ciblent prioritairement les territoires ruraux, et toutes les zones enclavées, où il est essentiel de faire venir la culture et l'ingénierie de la bibliothèque départementale au plus près des petites bibliothèques et des habitants pour garantir un égal accès à la culture sur l'ensemble du territoire.
Médiathèque Marie Curie à Saint-Michel-sur-Orge © Cœur d’Essonne Agglomération
Région majoritairement urbaine au sein de laquelle cinq départements n’ont pas de bibliothèque départementale (78, 92, 94 , 93, 75), la problématique pour l’Île-de-France est particulière. A ce jour, la DRAC a contractualisé avec 4 des 8 départements franciliens (77, 91, 95 et 94).
En 2023, 20 CTL et CDLI ont été signés ou reconduits, le plus souvent tripartites et bénéficiant majoritairement à des territoires intercommunaux. De nouveaux CTL ont été enclenchés avec la commune de Colombes (92), la Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines (78), la Communauté de Commune des Deux Morin (77), le Pays de Meaux (77), le Pays de l’Ourcq (77), Plaine Commune (93) ou encore le territoire de Sausseron-Impressionnistes (95).
Le 6 septembre : Journée nationale des bibliothèques
Afin d’inciter jeunes et moins jeunes à franchir les portes de leur bibliothèque de proximité, notamment celles et ceux qui n’imaginent pas les richesses que l’on peut y rencontrer, la ministre de la Culture a décidé de créer une journée nationale des bibliothèques, qui va s’étendre tout au long du mois de septembre et donner lieu à une grande campagne de communication grand public intitulée "Ma bibliothèque : le monde à portée de main".
Rencontre avec Flora Gousset, directrice du Pôle Lecture publique à Cœur d’Essonne Agglomération
Quelle est la mission principale du réseau des bibliothèques de Cœur d’Essonne et comment est-elle organisée ?
Le nouveau schéma de développement de la lecture voté en juin 2023 par nos élus fixe 4 axes de développement constituant les missions actuelles du réseau : Favoriser la réussite éducative, l'éducation artistique et l'éducation aux médias, développer les solidarités en favorisant l’accessibilité, faire des médiathèques, des lieux d’expérimentations afin d’accompagner les transitions, mieux prendre en considération les attentes des habitants. Pour y répondre, le réseau s’est également organisé en trois territoires lecture, avec également un service transversal de lecture publique.
Médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois Cœur d’Essonne Agglomération © Think Utopia & Sergio Grazia
Combien de médiathèques sont rassemblées au Cœur d'Essonne Agglomération ?
Le réseau des médiathèques de Cœur d’Essonne agglomération est composé de 12 médiathèques communautaires et 11 médiathèques municipales.
L’objectif est "La culture pour tous". Justement cette culture qui s’implante, comment l’adapter pour répondre aux mieux aux différentes populations qui fréquentent les médiathèques ?
"développer nos actions en direction des publics éloignés, empêchés, participer à l’inclusion sociale et professionnelle..."
Médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois Cœur d’Essonne Agglomération© Think Utopia & Sergio Grazia
La culture pour tous s’exprime à travers les axes de développement des publics que nous nous sommes fixés dans notre schéma, et notre Contrat Territoire Lecture, à savoir développer nos actions en direction des publics éloignés, empêchés, participer à l’inclusion sociale et professionnelle et développer nos actions d’Éducation Artistique et Culturelle, et d’Éducation aux Médias et à l’Information du primaire au secondaire. Ce développement de nos publics s’appuie également sur la consolidation de nos partenariats existants et la recherche de nouveaux, en proposant des actions à la fois en médiathèque mais également hors les murs.
Que viennent chercher les publics ?
"créer du lien social dans nos actions au quotidien"
Outre l’accès à nos collections, et la fréquentation à nos actions culturelles (1100 événements par an), ils viennent également dans nos lieux pour se rencontrer, étudier, jouer (présence d’espaces ludiques et jeux vidéo) … Comme la plupart des médiathèques de nos jours, nous sommes dans des espaces publics où l’importance de créer du lien social est fondamentale dans nos actions au quotidien.
Quels sont les grands changements et les grandes nouveautés qui se sont imposés au fil du temps ?
Depuis la création de Cœur d’Essonne le 1er janvier 2016, le premier changement décisif a été la mise en réseau de l’ensemble des médiathèques du territoire qui est effectif depuis avril 2018 avec l’instauration d’une carte unique, d’un portail commun et la gratuité sur tous les équipements. Nous avons également développé de nouveaux services comme un fablab itinérant, des grainothèques, un parc commun de matériel numérique, la mise en place du prêt de jeux vidéo sur tout le réseau, et du prêt d’instruments de musique à St Michel sur Orge. En parallèle, l’engagement de nos élus pour la lecture publique s’est concrétisé également dans le plan pluriannuel d’investissement de la collectivité incluant la construction de nouveaux équipements communautaires.
Médiathèque Jacques Prévert à Villiers-sur-Orge © Cœur d’Essonne Agglomération
En l’espace de 10 ans, ont été inaugurées les médiathèques au Plessis Pâté (2014), Villiers-sur-Orge (2015), Saint-Michel-sur-Orge (2017), Brétigny-sur-Orge (2018), Sainte-Geneviève-des-Bois (2022), et nous travaillons actuellement sur un nouveau projet à Longpont-sur-Orge (ouverture en 2027).
Enfin la modernisation de nos équipements communautaires s’est accompagnée par la mise en place de l’automatisation (finalisé en 2023), la présence d’espaces jeux vidéo, et fablab, et nous travaillons actuellement sur la mise en place de système de comptages de la fréquentation des usagers.
Chaque médiathèque possède-t-elle une identité unique ?
Si la dimension réseau s’incarne encore davantage par la formalisation d’un schéma de développement de la lecture publique pour le territoire, nous accordons une importance à ce que chaque médiathèque conserve sa personnalité et le lien avec les communes. Ceci est d’autant plus essentiel avec la présence des médiathèques municipales. Ainsi des services spécifiques sont proposés dans certains équipements.
Quels sont les éléments décisifs qui conduisent à la création d’une nouvelle médiathèque ? Et combien de temps faut-il pour sa réalisation totale et son ouverture ?
"la médiathèque Olivier Léonhardt dispose d’un équipement au cœur d’un quartier populaire permettant un accès facilité à toute forme de culture"
La plupart des constructions récentes ont été mises en place suite à un diagnostic territorial sur la lecture publique élaboré en 2012 avec l’agence abcd dans la collectivité du Val d’Orge. Il en ressortait que plusieurs équipements étaient sous dotés en termes de superficie par rapport au nombre d’habitants ou manquaient d’espaces dédiés pour la programmation culturelle, d’espaces de travail, voir n’étaient plus en phase avec les nouvelles pratiques culturelles.
Médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois Cœur d’Essonne Agglomération© Think Utopia & Sergio Grazia
La construction de la médiathèque Olivier Léonhardt est une volonté forte des élus de Cœur d’Essonne agglomération de disposer d’un équipement, d’une part au cœur d’un quartier populaire permettant un accès facilité à toute forme de culture et notamment d’accès au numérique, et d’autre part de proposer par l’équipement le plus grand en surface (3000 m2 de bâtiment dont 2400 de médiathèque) un panel de services culturels innovants et diversifiés qui bénéficient à la population de toute l’agglomération. Un nouvel équipement prend plusieurs années à être conçu et construit.
Les difficultés ?
Les difficultés dans la construction d’une nouvelle médiathèque résident en particulier sur les aléas de chantier. Le chantier de la médiathèque Olivier Léonhardt a notamment subi du retard suite à la pandémie et à la difficulté d’approvisionnement en matériaux en 2021 et 2022 mais grâce à l’action combinée des services de Cœur d’Essonne, de la maîtrise d’ouvrage déléguée à la Sorgem et du maître d’œuvre, le nécessaire a été fait pour limiter le retard et pouvoir ouvrir ce service très attendu à la population le 13 septembre 2022.
Peut-on déjà établir un bilan côté demandes des publics et côté responsables ?
Nous n’avons pas encore établi un bilan précis des conséquences de ce renouvellement des médiathèques, même si nous pouvons noter une augmentation d’inscriptions, avec aujourd’hui 18% de la population de Cœur d’Essonne inscrite en médiathèque, et entre 21 et 25% sur les nouveaux équipements. Côté responsables, nous avons régulièrement des retours très positifs des élus et partenaires sur les services proposés par les médiathèques.
Les réactions des populations ?
Il n’est jamais aisé de mesurer les réactions des populations, mais cette fréquentation est déjà une réponse positive. En parallèle nous avons lancé fin 2022 une enquête sur les non-fréquentants des médiathèques. Les conclusions vont nous permettre d’améliorer et mieux prendre en considération leurs attentes, notamment concernant les horaires d’ouverture.
Quel portrait faire de la Médiathèque Olivier Léonhardt à Sainte-Geneviève-des-Bois, inaugurée le 1er octobre 2022. Les services proposées ? Quelle sont les différences et les nouveautés qu’elle propose en comparaison des autres médiathèques de Cœur d’Essonne ?
La nouvelle médiathèque Olivier Léonhardt possède des services innovants (un FabLab, un service de jeu vidéo, un auditorium de 80 places, des supports numériques innovants) et a tout de suite accueilli une fréquentation importante notamment des adolescents et des familles.
"passer du temps à la médiathèque pour dialoguer ou flâner et découvrir nos ressources culturelles..."
4000 personnes ont assisté à la journée d’inauguration, plus de 2000 nouvelles cartes d’emprunt de documents ont été réalisées sur les 4 premiers mois d’ouverture. Nous avons donc conquis un nouveau public pour le réseau des médiathèques et l’observation de la fréquentation a permis d’identifier que les espaces de travail et d’activité représentaient un des attraits principaux de l’équipement : en somme passer du temps à la médiathèque en groupe ou seul, pour dialoguer ou flâner et découvrir nos ressources culturelles est un usage nécessaire d’une médiathèque aujourd’hui. Dès la conception du projet, la prise en compte des enjeux du territoire que sont la réussite éducative et l’insertion professionnelle des enfants et jeunes était au cœur du projet.
© Cœur d’Essonne Agglomération
La diversité des services permet de desservir les adultes, les seniors et un travail important de l’équipe consiste à accueillir les personnes isolées de la culture pour différentes raisons (allophones, formes de handicap) voire à aller au devant de ces personnes par du portage à domicile ou des partenariats avec les EHPAD, la PMI et l’hôpital.
La médiathèque Olivier Léonhardt est un laboratoire comme d’autres médiathèques.
Les dégradations subies par la médiathèque Sainte- Geneviève-des-Bois à la suite des émeutes, sont-elles aujourd’hui effacées ? Comment réagit-on sur un plan pratique pour réparer au plus vite les dégâts causés et sur un plan émotionnel ?
La majeure partie des dégradations porte sur les vitrages extérieurs et intérieurs, des impacts de tirs de mortier, ainsi qu’une partie de mobilier et automates de prêt endommagés. Les vitrages endommagés ont très rapidement été sécurisés par nos services techniques, ainsi qu’un décapage des traces de mortiers nous permettant de rouvrir l’équipement 10 jours après les faits. Le remplacement définitif des vitrages sera fait à l’automne.
Médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois Cœur d’Essonne Agglomération© Think Utopia & Sergio Grazia
En parallèle nous avons également eu à déplorer un incendie dans l’espace jeunesse de la Médiathèque à Morsang-sur-Orge. Les dégâts sont ici plus importants, et la réouverture devrait intervenir avant la fin de l’année.Sur un plan pratique, il s’agissait sur le plan humain de réunir rapidement les 30 agents impactés par ces dégradations, de les accompagner par des séances de soutien psychologique, et de trouver des solutions de déploiement provisoire dans les médiathèques du réseau.
Sur le plan matériel, nous avons rapidement procédé aux inventaires des dégradations, aux premières interventions de remise en état, et aux dépôts de plainte. Le lien quasiment quotidien avec les services techniques est indispensable.
La présence et le soutien des élus de l’agglomération et des villes a été très important durant cette période et ces derniers souhaitent que nos équipements de proximité puissent rouvrir au public dans de bonnes conditions dans les meilleurs délais.
Quel est le soutien de la DRAC Île-de-France dans le réseau des bibliothèques ?
La DRAC Île-de-France est un de nos partenaires financiers essentiels dans l’ensemble des projets cités ayant été mis en place ces dernières années sur le réseau, à la fois sur les constructions, mais aussi l’investissement informatique, numérique et mobilier. Outre le soutien DGD sur nos projets d’investissement, cet accompagnement a été consolidé fin 2020 par la signature d’un Contrat Territoire Lecture portant à la fois sur la structuration et consolidation de notre réseau, et sur le développement de nouveaux publics. Aussi, nous sommes reconnaissants des conseils et accompagnement pour l’ensemble de ses dossiers par notre Conseillère Livre et Lecture.
Image d'accroche : Médiathèque Marguerite Duras à Brétigny-sur-Orge © Cœur d’Essonne Agglomération
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