Les pratiques de terrain d’amateurs non encadrées et non officielles, armés de détecteurs de métaux détruisent le travail de préservation, de découverte et de conservation du patrimoine réalisé par les archéologues professionnels. Ces pratiques nuisent à la connaissance scientifique et alimentent un marché parallèle particulièrement lucratif qui dilapide le mobilier archéologique, patrimoine commun à tous.
Du fait de la grande fragilité de la ressource archéologique, l’État a organisé sa protection par la loi et contrôle les recherches réalisées sur le territoire national comme sous les eaux (eaux intérieures et mer).
Vous trouverez dans la brochure jointe des réponses aux questions que vous vous posez sur l'utilisation des détecteurs de métaux, et l'impact de cette pratique sur le bien commun.
En cas de doute sur la législation en la matière, n'hésitez pas à contacter le service régional de l’archéologie (via le formulaire de contact en bas de ce site).