Cher Jean de Loisy,
Cher René-Jacques Mayer,
Mesdames et messieurs,
Chers amis,
Je suis très heureuse d’être parmi vous aujourd’hui pour lancer les D’Days qui célèbrent le design comme discipline du partage, de la collaboration et de l’expérience.
En cela, le design est généreux et prospectif, il en « mouvement », comme le souligne si justement le thème de cette 14ème édition.
La promesse qui nous avait été faite l’an passé de donner aux Designer’s Days sa dimension festivalière a été tenue. C’est donc avec un grand plaisir et une grande fierté que mon ministère lui apporte cette année un soutien renforcé.
Le mouvement sous le signe duquel cette édition est placée, c’est celui de la remarquable mobilisation des acteurs du design dans toute la richesse de leur diversité.
C’est grâce à cette mobilisation d’acteurs publics et privés que les D’Days existent dans le paysage artistique français comme une photographie contemporaine des forces en présence. Nous pouvons êtres fiers de cette convergence des politiques publiques et des initiatives privées qui nous permet aujourd’hui d’embrasser dans un même élan cette belle cause commune du design dans nos vies.
Si l’on s’attache à résumer le chemin parcouru et à la diversité des acteurs présents ce soir, ce « mouvement », est considérable.
Je veux donc ici rendre hommage aux éditeurs qui, en plaçant le designer au centre, ont montré la voie à de jeunes maisons d’édition ou de galeries au service de la création ; aux industriels qui placent le design au cœur de leur stratégie de développement ; au réseau d’écoles qui irrigue notre territoire ; aux grandes maisons françaises, publiques ou privées ; aux fondations, musées, associations et collectifs ainsi qu’à la presse spécialisée ou généraliste qui soutiennent, valorisent et diffusent le design auprès d’un large public.
Le mouvement, c’est aussi pour moi ce qui caractérise un secteur innovant et créatif qui touche tous les aspects de la vie. Un secteur attractif, véritable atout culturel pour notre pays et son rayonnement international.
Le design, c’est une identité française fruit de ce rapport si riche et si particulier entre les arts décoratifs et les arts industriels. Ce génie qu’il nous faut mieux valoriser, a donné lieu aujourd’hui à une génération foisonnante de designers français : il y a bien, vous en êtes la preuve vivante, une écriture française, une « french touch » célébrée partout dans le monde.
Aujourd’hui, nous ouvrons ensemble une semaine où Paris et Pantin deviennent une fenêtre d’expression pour les designers, leur créativité et leur écriture, une chance pour eux de s’exprimer, de rendre visible la vitalité et la singularité du design en France.
Le mouvement, c’est aussi la dynamique forte et ambitieuse engagée par mon ministère et celui d’Arnaud Montebourg pour créer une véritable culture du design dans notre pays.
Je ne peux que me réjouir de l’entrée massive des musées dans la programmation des D’Days, pour contribuer, avec leurs espaces et le socle de leurs publics, à accroître la visibilité du design et des designers.
Je me réjouis aussi que, dans la perspective du Grand Paris, D’days continue de se déployer à Pantin et je l’espère à l’avenir dans d’autres communes limitrophes.
C’est une véritable chance pour augmenter notre mobilité, ouvrir nos regards et aller toucher des publics nombreux et variés.
C’est avec cette même ambition que j’ai demandé à ce que les grandes collections nationales du design circulent au travers des Capsules du design, modules souples et pédagogiques, dont la préfiguration est présentée aux Docks-Cité de la Mode et du Design pendant toute cette semaine.
Je veux encourager la jeunesse d’aujourd’hui à se tourner vers ce métier fantastique et c’est tout le sens de mon grand projet d’éducation artistique et culturelle où le design tient une place importante. C’est essentiel de sensibiliser les plus jeunes car le designer est un acteur essentiel du XXIème siècle et de notre avenir commun, pour penser nos usages, notre mobilité, notre rapport fonctionnel et intellectuel à l’objet qu’il soit matériel ou immatériel.
J’aurai l’occasion d‘évoquer plus longuement ces enjeux, jeudi prochain, dans le cadre des 3ème rendez-vous du design, organisé conjointement avec Arnaud Montebourg.
Ce soir, c’est mon enthousiasme qui parle, celui de constater la richesse et la singularité des propositions de cette rive de Paris, de Silvera au Musée Guimet, du design américain à l’architecture solidaire, et à commencer bien sûr par celles du Palais de Tokyo, que je me réjouis de découvrir ce soir, où se mêlent jeunes lauréats, éditeurs et designers confirmés.
« Le mouvement, c’est ce qui crée toute l’harmonie du monde », écrivait Léonard de Vinci. Placer cette 14ème édition sous le signe du mouvement, c’est aussi rappeler la noblesse sociétale d’un métier et d’une discipline qui, des designers aux commanditaires, placent l’usager au cœur de leur démarche.
J’invite chacun et chacune d’entre vous, à vivre pendant toute cette semaine au rythme de la vitalité et de l’élan du design qui se met au service de la société pour rendre nos quotidiens plus harmonieux.
Je vous remercie.
Cher Jean de Loisy,
Cher René-Jacques Mayer,
Mesdames et messieurs,
Chers amis,
Je suis très heureuse d’être parmi vous aujourd’hui pour lancer les D’Days qui célèbrent le design comme discipline du partage, de la collaboration et de l’expérience.
En cela, le design est généreux et prospectif, il en « mouvement », comme le souligne si justement le thème de cette 14ème édition.
La promesse qui nous avait été faite l’an passé de donner aux Designer’s Days sa dimension festivalière a été tenue. C’est donc avec un grand plaisir et une grande fierté que mon ministère lui apporte cette année un soutien renforcé.
Le mouvement sous le signe duquel cette édition est placée, c’est celui de la remarquable mobilisation des acteurs du design dans toute la richesse de leur diversité.
C’est grâce à cette mobilisation d’acteurs publics et privés que les D’Days existent dans le paysage artistique français comme une photographie contemporaine des forces en présence. Nous pouvons êtres fiers de cette convergence des politiques publiques et des initiatives privées qui nous permet aujourd’hui d’embrasser dans un même élan cette belle cause commune du design dans nos vies.
Si l’on s’attache à résumer le chemin parcouru et à la diversité des acteurs présents ce soir, ce « mouvement », est considérable.
Je veux donc ici rendre hommage aux éditeurs qui, en plaçant le designer au centre, ont montré la voie à de jeunes maisons d’édition ou de galeries au service de la création ; aux industriels qui placent le design au cœur de leur stratégie de développement ; au réseau d’écoles qui irrigue notre territoire ; aux grandes maisons françaises, publiques ou privées ; aux fondations, musées, associations et collectifs ainsi qu’à la presse spécialisée ou généraliste qui soutiennent, valorisent et diffusent le design auprès d’un large public.
Le mouvement, c’est aussi pour moi ce qui caractérise un secteur innovant et créatif qui touche tous les aspects de la vie. Un secteur attractif, véritable atout culturel pour notre pays et son rayonnement international.
Le design, c’est une identité française fruit de ce rapport si riche et si particulier entre les arts décoratifs et les arts industriels. Ce génie qu’il nous faut mieux valoriser, a donné lieu aujourd’hui à une génération foisonnante de designers français : il y a bien, vous en êtes la preuve vivante, une écriture française, une « french touch » célébrée partout dans le monde.
Aujourd’hui, nous ouvrons ensemble une semaine où Paris et Pantin deviennent une fenêtre d’expression pour les designers, leur créativité et leur écriture, une chance pour eux de s’exprimer, de rendre visible la vitalité et la singularité du design en France.
Le mouvement, c’est aussi la dynamique forte et ambitieuse engagée par mon ministère et celui d’Arnaud Montebourg pour créer une véritable culture du design dans notre pays.
Je ne peux que me réjouir de l’entrée massive des musées dans la programmation des D’Days, pour contribuer, avec leurs espaces et le socle de leurs publics, à accroître la visibilité du design et des designers.
Je me réjouis aussi que, dans la perspective du Grand Paris, D’days continue de se déployer à Pantin et je l’espère à l’avenir dans d’autres communes limitrophes.
C’est une véritable chance pour augmenter notre mobilité, ouvrir nos regards et aller toucher des publics nombreux et variés.
C’est avec cette même ambition que j’ai demandé à ce que les grandes collections nationales du design circulent au travers des Capsules du design, modules souples et pédagogiques, dont la préfiguration est présentée aux Docks-Cité de la Mode et du Design pendant toute cette semaine.
Je veux encourager la jeunesse d’aujourd’hui à se tourner vers ce métier fantastique et c’est tout le sens de mon grand projet d’éducation artistique et culturelle où le design tient une place importante. C’est essentiel de sensibiliser les plus jeunes car le designer est un acteur essentiel du XXIème siècle et de notre avenir commun, pour penser nos usages, notre mobilité, notre rapport fonctionnel et intellectuel à l’objet qu’il soit matériel ou immatériel.
J’aurai l’occasion d‘évoquer plus longuement ces enjeux, jeudi prochain, dans le cadre des 3ème rendez-vous du design, organisé conjointement avec Arnaud Montebourg.
Ce soir, c’est mon enthousiasme qui parle, celui de constater la richesse et la singularité des propositions de cette rive de Paris, de Silvera au Musée Guimet, du design américain à l’architecture solidaire, et à commencer bien sûr par celles du Palais de Tokyo, que je me réjouis de découvrir ce soir, où se mêlent jeunes lauréats, éditeurs et designers confirmés.
« Le mouvement, c’est ce qui crée toute l’harmonie du monde », écrivait Léonard de Vinci. Placer cette 14ème édition sous le signe du mouvement, c’est aussi rappeler la noblesse sociétale d’un métier et d’une discipline qui, des designers aux commanditaires, placent l’usager au cœur de leur démarche.
J’invite chacun et chacune d’entre vous, à vivre pendant toute cette semaine au rythme de la vitalité et de l’élan du design qui se met au service de la société pour rendre nos quotidiens plus harmonieux.
Je vous remercie.