orfèvrerie ; médiéval ; croyances - coutumes ; costume - accessoires du costume

fermail

anonyme (auteur)

France, Lorraine, Meuse (lieu de création)

13e siècle

Le fermail et le mors de chape se ressemblaient fort. L'un et l'autre étaient de vraies agrafes destinées à réunir les deux parties du vêtement, soit sur l'épaule, soit sur le col, soit sur la poitrine. Quelquefois c'étaient de simples ornements qui se fixaient sur une chape ou sur une tunique sans ouverture. C'est à dire qu'ils étaient sans emploi et servaient uniquement de parure

pierre, verre, cuivre, filigrané, ciselé, doré, champlevé, émail

Cuivre ciselé et doré, filigranes, intaille et pierres dures, émaux champlevés ; Dénommé "fermail", ce petit objet d'orfèvre ressemble plutôt à un assemblage de plaques décoratives (de fermail, de châsse ou de croix). Il est de forme allongée, à trois pans, en cuivre ciselé et doré, et orné d'émaux champlevés, de cabochons colorés et d'une pierre antique sculptée sertie dans des filigranes. (Notice de Sandrine Balan, 2013) ;

Dimensions Longueur : 13 cm ; Largeur : 5.7 cm ; Profondeur : 3 cm

Montage et réfections probablement plus tardifs

Dijon ; musée des beaux-arts

Musée de France
au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier

propriété de la commune ; legs ; Dijon ; musée des beaux-arts

1878

Collection privée, Trimolet Anthelme et Edma

CA T 1258 ; 1258 (Cat. Trimolet)

Gleize (Emile), Catalogue descriptif des objets d'art formant le musée Anthelme et Edma Trimolet, Dijon, 1883 (n° 1258 (Limoges, XIIe siècle))

Jugie Sophie ; Bardin Dominique ; Camuset Anne

© Dijon, musée des beaux-arts, © Service des musées de France, 2017

© Dijon, musée des beaux-arts

Renseignements sur le musée

01370052733