Précision sujet représenté
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Moïse, Lenoir M, Audran Louis gravure en rapport, Gantrel Etienne oeuvre en rapport, Poussin Nicolas, Desplaces Louis gravure en rapport ; Bristol, City Art Gallery, oeuvre en rapport ; Bristol, Bristol City Art Gallery, oeuv. ; Paris, Bibliothèque Nationale, Cabinet des Estampes, oeuvre en rapport ; Paris, Manufacture des Gobelins, oeuvre en rapport ; Le Brun, Charles, Le Serpent d'airain ; Moïse et le Serpent d'airain ; Vie de Moïse ; Ancien Testament ; iconographie religieuse ; Serpent d'Airain ; Le Brun, Charles, Le Sacrifice d'Elie
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Commentaires
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Le Brun a peint 2 versions du Serpent d'Airain. Une version en petit pour l'un de ses amis, M. Lenoir et l'autre en grand pour le couvent du tiers-ordre de Saint-François, à Pique-Puce. Le premier est aujourd'hui conservé à Bristol (City Art Gallery ; fig. 60) et doit dater de 1649. Les compositions ont donné lieu à deux gravures par Louis Audran et Etienne Gantrel (BnF, est., AA4, fig. 61). Le tableau en petit a servi de modèle à l'une des dix pièces de la tenture de la Vie de Moïse, tissée aux Gobelins, d'après Poussin et Le Brun (Thuillier). Etude pour la femme, debout, tendant les bras vers Moïse, au second plan à droite, de la composition. Dans une première pensée, Le Brun lui fait joindre les mains, comme ici, dans la figure principale. Les deux bras ouverts et tendus en avant, tels qu'ils se verront dans la peinture, sont recherchés, séparément, en bas. La figure joignant les mains, ainsi que le vieillard assis, au premier plan du tableau, ont été repris dans Le Sacrifice d'Elie, tableau gravé par L. Desplaces (Weigert, 1965, n° 6). (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 1141, p. 332) Atelier de Le Brun. Entré dans les collections royales en 1690 ; paraphe de Jean Prioult (L. 2953) au verso ; marque du musée (L. 1886).
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