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Il vient de rentrer à Giverny où il se repose ; J'ai travaillé comme jamais mais j'ai tant de peine aujourd'hui à arriver à ce que je voudrais. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 3251, p. 353.) Fait partie d'un ensemble de trente cinq lettres adressées à Paul-César Helleu (1887-1925) (Aut. 3238 à 3272) Lettre présentée dans les ouvrages suivants : Howard-Johnston, 1969, n° 171, p. 76 - Wildenstein, 1979, III, p. 274 Madame Howard-Johnson, née Paulette Helleu ; don en 1975.
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