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Précision sujet représenté
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Salomon, Saba reine de, Raimondi Marcantonio, Penni Gianfrancesco ; Rome, Vatican, Logge di Raffaello, oeuvre en rapport ; oeuvre en rapport ; Genève, collection particulière, oeuvre en rapport ; iconographie religieuse ; Salomon et la reine de Saba
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Commentaires
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Considéré comme un original de Raffaello par Everard Jabach et Morel d'Arleux (Inv. ms), ce dessin a été classé à l'école de cet artiste par F. Reiset (Inv. ms) et reclassé, avec réserve, à Bartolomeo Ramenghi le Vieux en 1997 (voir note ms sur le fac-similé de l'Inv. ms F. Reiset, Paris, Louvre, Cabinet des Dessins) en suivant une proposition faite par D. Cordellier et B. Py en 1992 (Musée du Louvre, Musée d'Orsay, Département des Arts graphiques, Inventaire général des Dessins Italiens, V : Raphaël, son atelier, ses copistes, II vol., Paris, 1992, II, p. 511 n° 885 : Bagnacavallo ?). Ces deux auteurs y ont reconnu une copie d'après un dessin perdu de Raffaello (peut-être pour les Loges du Vatican, voûte de la XIIe travée ? ), ou l'interprétation, en sens inverse, d'un modello peut-être de Gianfrancesco Penni (Genève, coll. part., don Melvin M. Fagen ; D. Cordellier, in Revue du Louvre, 5/6, 1994, p. 92-93 n° 10). Le dessin a été repris, en sens inverse, dans une gravure de Marcantonio Raimondi, et/ou de son école, qui présente le même cadre d'architecture (Bartsch, XIV, 13-14, n° 13). S. Béguin (in The Burlington Magazine, CXX, n° 901, avril 1978, p. 256 note 31) le considérait plutôt comme une médiocre copie d'après un dessin plus précoce destiné à cette gravure. De la même main que les dessins INV 3600 et INV 4283 du Louvre
E. Jabach (L. 2959) ; montage à bande dorée des dessins d'ordonnance ; Inventaire Jabach, II, n° 6 (Raphaël) - Entré dans le Cabinet du Roi en 1671 ; paraphe de J. Prioult (L. 2953).
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