Commentaires
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Il participe à son chagrin en ce qui concerne la maladie de son père : Depuis cette triste lettre, je m'attendais sur tout et à la fin de toutes souffrance de votre bonne père. Copie manuscrite par Moreau-Nélaton, AR 30 p. 30. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 1175, p. 174.) Lettre accompagnée d'une enveloppe Lettre présentée dans l'ouvrage suivant : Hefting, 1968, pp. 198-199 Gauchez ; Paris, Hôtel Drouot, mai 1908 - Etienne Moreau-Nélaton ; legs en 1927.
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