Précision sujet représenté
|
Moïse, Jéthro filles de, Séphora, Colbert Jean-Baptiste, Louis XIV roi de France, Louvois François Michel Le Tellier marquis de, Mignard Pierre, Poussin Nicolas inspiré par, Audran B. gravure en rapport, Audran Benoît I l'aîné gravure en rapport ; Modène, Galleria Estense, oeuvre en rapport ; oeuvre en rapport ; Montpellier, Musée Fabre, oeuvre en rapport ; Ancien Testament ; iconographie religieuse ; Vie de Moïse ; Le Brun, Charles, Moïse défend les filles de Jéthro ; Poussin, Nicolas, Moïse et les filles de Jéthro ; Moïse et les filles de Jethro
|
Commentaires
|
E. Starcky, Musée du Louvre - Inventaire Général des Dessins des Ecoles du Nord - Supplément - Ecoles allemande, des Anciens Pays-Bas, flamande, hollandaise et suisse XVe-XVIIIe siècles, Paris, 1988, n° 124. Numéro Guiffrey Marcel pour l'ancien classement à Charles Le Brun : 7867. - Après la mort de Colbert (1683), Le Brun peint en 1686 et 1687 deux tableaux sur l'histoire de Moïse, que Poussin avait souvent traitée : Moïse défend les filles de Jéthro et Moïse épouse Séphora. Il espère ainsi forcer l'admiration du roi malgré la cabale menée contre lui par Louvois et Mignard. Les deux tableaux, gravés par Benoît I Audran avant 1701, sont conservés à Modène (Galleria Estense). Dans le tableau Moïse défend les filles de Jéthro, le groupe de Moïse est directement inspiré par la composition de Poussin sur le même thème. Le dessin a été utilisé pour l'animal peint au troisième plan, à gauche, dans le tableau Moïse défend les filles de Jéthro peint en 1686 par Charles Le Brun. (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 1191, p. 346). - Ce dessin est repris dans une esquisse peinte , appartenant au musée du Louvre (Inv 3975) et déposée au musée Fabre à Montpellier, (Foucart-Walter, Pieter Boel 1622 - 1674, Paris, musée du Louvre, 14 septembre - 17 décembre 2001, n°13). Atelier de Charles Le Brun (1618-1690) ; entré en 1690 dans les collections du Cabinet du Roi, paraphe Prioult au verso (L. 2953), paraphes d'Antoine Coypel (L. 478) et de Robert de Cotte (L. 1963) au recto, marque du Musée du Louvre en bas au centre (L. 1886).
|