Commentaires
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C'est au cours d'un de ses voyages en 1852 que Daubigny fait la connaissance de Corot : Moreau-Nélaton cite cette lettre adressée à Geoffroy Dechaume (Crémieu, 20 juillet 1852) où Daubigny raconte cette rencontre. Ici, il fait allusion à un départ en bateau avec son mousse (son fils Charles) ; il s'agit des fréquents voyages que fit le peintre à bord du Botin, bateau avec lequel il remonte la Seine et l'Oise et d'où il tire le Voyage en bateau mis sur cuivre en 1861. (Paris, 1991) Il transmet à Corot les paroles d'un chanson Ronde Villervillaise, qu'il lui avait demandée. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 267, p. 76.) Lettre rédigée sur un papier à en-tête Lettre présentée dans les ouvrages suivants : Moreau-Nélaton, 1925, pp. 87-88 - Chillaz, Inventaire général des autographes, 1997, p. 27, V. de Chillaz, Inventaire général des autographes, 1997, p. 25, repr. Etienne Moreau-Nélaton ; legs en 1927.
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Exposition
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De Corot aux Impressionnistes. Donations Moreau-Nélaton, Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 1991, n°409
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