Commentaires
|
Il se plaint que le talent de Pissarro ne soit pas reconnu. Ah, Cher ami, dans quelle sale époque nous vivons. L'âpre argent a tout perverti, tout sali, tout déhonoré. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 3455, p. 376.) Fait partie d'un ensemble de cinquante-six lettres d'Octave Mirbeau à Camille Pissarro (1891-1893) (Aut. 3435 à 3490) Lettre présentée dans l'ouvrage suivant : Michel et Nivet, 1991, p. 59 Paris, Hôtel Drouot, 21 novembre 1975 ; achat par le musée du Louvre.
|